De l’or en barres de Crichton Charles
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Fiche produite par le Centre de Documentation du Cinéma[s] Le France.
Site : abc-lefrance.com

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Langue Français

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De lÕor en barres The Lavender Hill Mob de Charles Crichton FICHE FILM Fiche technique
G.B. - 1951 - 1h22
RÈalisateur : Charles Crichton
ScÈnario : T.E.B. Clarke
Montage : Seth Holt
Musique : Georges Auric
InterprËtes : Alec Guiness (Henry Holland) Stanley Holloway (Pendlebury) Sidney James (Lackery) Alfie Bass (Shorty) Marjorie Fielding (Mrs. Chalk) John Gregson (Farrow) Audrey Hepburn (Chiquita) Clive Morton (le sergent de police)
RÈsumÈCritique AprËs avoir travaillÈ pour la banque L'apparition d'Audrey se limite ‡ une seule d'Angleterre pendant vingt ans, un ligne de texte, dans la scËne d'ouverture convoyeur de fonds doux et sophistiquÈ qui se passe en AmÈrique du Sud. (Alec Guinness) imagine et rÈalise le vol Le grand acteur britannique Alec Guinness parfait d'une fortune en lingots d'or. remarqua Audrey : "Elle n'avait qu'une Il se fait aider de son vieil ami (Stanley demi-rÈplique ‡ dire, et je ne pense pas Holloway), qui fabrique des presse-papiers qu'elle l'ait jouÈe de faÁon spÈcialement souvenirs bon marchÈ. intÈressante. Mais elle avait une beautÈ de Une fois l'or dÈtournÈ, ils le fondent en jeune faon et une prÈsence remarquable." miniatures souvenirs de la Tour Eiffel, Il finit par la recommander au cÈlËbre rÈali-qu'ils envoyent ‡ Paris directement sous sateur Mervyn Leroy. "Je ne me rappelle les nez des douaniers britanniques alertÈs pas avoir vu Alec Guinness recommander du vol.É qui que ce soit, avant ou depuis. [...]
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Venant d'un acteur accompli comme Guinness, le compliment ne passait pas inaperÁu. Cela n'a pas d'importance qu'elle ne sache pas jouer ! J'ai eu envie de voir cette crÈature hors sÈrie !" Le rÈalisateur Charles Crichton s'illustre-ra plus d'un quart de siËcle plus tard, en 1988, en rÈalisant le film culte ‡ trËs grand succËsUn Poisson NommÈ Wanda(A Fish Called Wanda). Le film remporta les Oscars du meilleur scÈnario (T.E.B. Clarke), et du meilleur acteur (Alec Guinness). Ainsi que le British Academy Awards du meilleur film britannique. Aussi nommÈ pour le meilleur film. http://audrey.hepburn.free.fr
Tout est contraste entre lÕapparente res-pectabilitÈ du hÈros et la minutieuse prÈparation de son forfait, entre la sim-plicitÈ de lÕescroquerie et le coup du destin qui fait un moment Èchouer le projet. Contraste encore entre la tran-quillitÈ du hÈros qui commande tout le film et une fin inattendue. CÕest dans cette opposition constante entre lÕapparence et la rÈalitÈ, ainsi que dans la drÙlerie des dialogues et le pit-toresque des situations, quÕÈclate lÕhumeur de ce film dÈlicieux o˘ lÕinimi-table Alec Guiness a pour partenaire Stanley Holloway, vedette de cette autre rÈussite que fut en 1949 Passeport pour Pimlico. Les scËnes sur la tour Eiffel sont particu-liËrement savoureuses. On dÈcouvre mÍme Audrey Hepburn dont cÕest la quatriËme apparition juste avant son premier rÙle important dansNous irons ‡ Monte-Carlo. De quoi cultiver sa nostalgie ! Robert Chazal
Fiche distributeur
Le comique L'apport comique du montage est trËs important, jouant parfois sur le contras-te par l'emploi du montage parallËle et
toujours sur le rythme L'effet comique du contraste est rendu notamment par un montage parallËle dÕun type particulier puisqu'il ne consis-te pas ‡ confronter deux actions Èloi-gnÈes dans l'espace ou le temps, mais ‡ opposer la rÈalitÈ ‡ l'interprÈtation de celle-ci par la presse. C'est ainsi qu'aux articles parlant d'habiletÈ ÒdiaboliqueÓ ‡ propos du voleur, rÈpond l'image dÈj‡ citÈe o˘ Holland nous apparaÓt en brave Lucifer en plein travail de fonderie. Du mÍme ordre est la juxtaposition de l'ar-ticle prÈcisant que lÕun des voleurs avait un fort accent Ètranger et de l'image o˘ le dit voleur s'exprime avec un accent typiquement faubourgrien. L'apport comique du rythme est essen-tiel. Cela, est trËs apparent dans les poursuites qu'impliquait d'ailleurs la trame policiËre. L‡ encore il s'agit d'opÈ-rer le glissement du ÒsuspenseÓ inhÈ-rent ‡ la poursuite au comique pur du mouvement. Toutes les scËnes de pour-suite sont menÈes ‡ un rythme effrÈnÈ o˘ les plans se succËdent de plus en plus rapidement, passant du poursuivant au poursuivi, ou dans la descente de la Tour Eiffel, de la vision objective des deux compËres se cramponnant en dÈvalant les escaliers ‡ la vision subjec-tive du vide qui leur paraÓt tournoyer alors qu'eux semblent rester sur place. Mentionnons aussi la poursuite finale o˘ la ÒpagaieÓ se dÈveloppe d'une maniËre dÈmentielle et logique, un peu comme dans la scËne de la chaÓne de montage deA nous la LibertÈ, mais sur un rythme frÈnÈtique. L'effet comique ne dÈpend pas que de la rapiditÈ du rythme, mais de l'interprÈta-tion que donne des ÈvÈnements, le ryth-me choisi. C'est ainsi que la lenteur de ce rythme peut aboutir aux mÍmes effets comiques comme dans cette sorte de procession o˘ Holland accompagnÈ d'un chef de bureau pÈnËtre dans le bureau du sous-directeur, en sort suivi des deux hommes qui rentrent avec lui dans le bureau du directeur, qui ressort avec eux et ainsi de suite en un dÈvelop-pement logique, imperturbable et cocas-
se. Le rythme basÈ sur la durÈe des plans rejoint ici par ses moyens propres la courbe d'intensitÈ dramatique fondÈe sur la nature des ÈvÈnements en s'ac-cordant ‡ leur tonalitÈ propre pour les amener ‡ leur point maximum d'intensi-tÈ comique.
La musique ComposÈe par Georges Auric, un des meilleurs musiciens de film, elle par-court l'Ïuvre, non comme un fond sono-re mais comme ÈlÈment crÈateur, notamment sur le plan du rythme, sans jamais perdre de vue la nÈcessitÈ comique qui l'amËne ‡ prendre un ton volontiers parodique comme dans la sÈquence des bureaux de la banque o˘ elle Èvoque irrÈsistiblement certains thËmes musicaux deA nous la LibertÈ, dont la partition Ètait signÈe du mÍme auteur.
Genre et style Ce film est une comÈdie. Mais des Vacances de Monsieur HulotNoblesse oblige, deL'homme tran-quilleSept ans de malheur, du MillionL'extravagant Monsieur Deeds, desLumiËres de la VilleDrÙle de drame, les diffÈrences sont plus marquÈes que la parentÈ. Il nous faut donc voir maintenant en quoi consiste le comique dans ce film. On a dit que le scÈnario, la construction dramatique, ne diffÈraient pas essentiel-lement de ce qu'ils seraient dans un film policier dontDe l'or en barresgarde le schÈma et le ressort. En effet, la matiËre n'est pas comique en soi. La situation gÈnÈrale n'est pas une situation cocasse. La matiËre est en un certain sens, rÈaliste. Il faut la rendre comique. C'est dire l'importance des dÈtails comiques au niveau du scÈnario. Cette matiËre rÈaliste doit Ítre truffÈe de dÈtails, de trouvailles jusqu'‡ en chan-
L EF R A N C E SALLE D'ART ET D'ESSAI C L A S S … ER E C H E R C H E 8 ,R U ED EL AV A L S E 42100 SAINTETIENNE 04.77.32.76.96 2 R…PONDEUR : 04.77.32.71.71 Fax : 04.77.32.07.09
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ger complËtement la nature. Il faut que cette invention comique soit suffisam-ment riche pour que jamais le film ne retombe dans le policier ÒsÈrieuxÓ auquel le voue naturellement le scÈna-rio. Dans ce contraste entre la matiËre et le traitement qui lui est donnÈ rÈside le ressort comique essentiel dont tous les autres dÈcoulent ou s'inspirent. Ce rÈalisme de la matiËre n'empÍche pas l'apparition d'un comique de situa-tion sous la forme de situations comiques ‡ l'intÈrieur d'une histoire qui ne l'est pas en soi. C'est ainsi que le redoutable malfaiteur ne sait pas faire du vÈlo, qu'on arrÍte pour le vol d'un tableau sans intÈrÍt, vol commis par dis-traction, Pensburry qui est prÈcisÈment en train de jouer son rÙle dans l'attaque du camion d'or. C'est ainsi qu'on fÈlicite gravement Holland pour son courage, etcÉ Le comique de personnages est Ègale-ment important. L‡ encore il ne s'agit pas de personnages qui seraient comiques par eux-mÍmes. Ils ne sont drÙles que par le contraste entre leur apparence, leur caractËre et leur entre-prise ou entre leur apparence et leur vÈritÈ profonde. C'est ainsi que le timi-de, le ponctuel, I'honnÍte Holland va devenir le chef de bande, que le brave Pensburry va se lancer dans cette aven-ture, que le ÒdurÓ est un bon Èpoux ‡ qui sa femme ne tolËre ni retard, ni absence prolongÈe, que la vieille et digne demoi-selle se repaÓt de romans argotiques, etcÉ Le comique d'interprÈtation ne peut pas jouer seul ici, puisque le comique naÓt du contraste entre l'apparence et la rÈa-litÈ. Les personnages sont banals, quoti-diens rejoignant en quelque sorte le rÈa-lisme du dÈcor. Aussi le jeu est-il tout en demi-teintes, plus suggÈrÈ qu'impo-sÈ. Alec Guiness excelle dans cet exerci-ce qui demande beaucoup de mÈtier, la difficultÈ Ètant de rendre sensible sous l'apparence de timiditÈ, de mÈdiocritÈ, la rÈalitÈ du personnage et de faire cohabiter les deux aspects du hÈros
sans que l'invraisemblance Èclate. Le comique de mots pour abondant qu'il soit ne peut se comparer ‡ ce qu'on appelle en France ÒI'espritÓ. Le dialogue n'est pas drÙle en soi. Le comique, l‡ encore, naÓt du contraste. Ce contraste se manifeste parfois sous la forme du double sens comme lorsque le Directeur dit ‡ Holland : ÒQuand la chance passe, il faut la saisir par les cheveuxÓ, ce que Holland va s'empres-ser de faire en mettant ‡ exÈcution son projet. Mais ce contraste joue le plus souvent avec l'image. Le dialogue dans ce cas ne va Ítre drÙle que par son insertion dans un contexte inattendu. La lecture que fait Holland ‡ la vieille demoiselle n'est pas drÙle, elle ne le devient que par la personnalitÈ de lÕauditrice. Dans le comique visuel, il faut distinguer deux aspects principaux. TantÙt le comique naÓt de l'opposition entre ce qu'on sait et ce qu'on voit (situations et personnages), tantÙt il rÈ side dans la trouvaille comique au niveau du scÈnario, trouvaille que la camÈra vient mettre en valeur en l'iso-lant (gros plan du pied), tantÙt il tient ‡ la construction dramatique (rÈpÈtition de scËnes - le convoyage). Dans tous ces cas, la camÈra n'invente pas, elle montre dans les meilleures conditions de lisibilitÈ quelque chose dont l'effica-citÈ comique lui doit peu. Notons tout de mÍme des images dont la cocasserie est dÈlicieuse, comme celle de Holland portant ‡ plein bras une statue de femme ou celle encore o˘ il apparaÓt affublÈ d'un maillot de sport de la police. Mais il y a aussi un comique qui doit tout aux moyens d'expression cinÈmato-graphiques. Ce sont toutes les scËnes de poursuite et notamment la descente de la Tour Eiffel et la poursuite finale. L‡, le rythme, le mouvement de la camÈ-ra, le montage crÈent vÈritablement le comique de la scËne mÍme si d'autres ÈlÈments interviennent comme les fausses prisons en carton ‡ l'exposition de la police, les mannequins, etcÉ
A ce moment le film tourne presque au burlesque, mais ce burlesque n'est pas gratuit. Il est le dÈveloppement logique de la situation de dÈpart. Si on admet que Holland ait pu s'emparer d'une voi-ture radio, il est logique qu'il brouille complËtement les pistes en donnant de fausses indications. Rappelons la scËne solennelle des bureaux, celle des guichets, qui sont trËs ÒcinÈmaÓ, parce que basÈes sur le mouvement, le rythme, le cadrage. (É) L'humour anglais consistant [É] ‡ dÈvelopper logiquement un point de dÈpart absurde dans un contexte nor-mal, ici, le cas de cet employÈ qui depuis 20 ans met son plan au point, il apparaÓt que le film s'intËgre facilement dans cette dÈfinition de l'humour. Mais on peut se poser une question. L'humour anglais a-t-il une traduction proprement cinÈmatographique ? Sans doute, il existe de bons films d'humour anglais, celui-ci en est, mais leur qualitÈ comique tient ‡ l'abondance des dÈtails drÙles, ‡ la construction, au dialogue, au ton, gÈnÈral de flegme, de cynisme, autant de choses en quelque sorte antÈ-rieures ‡ la prise de vue et que la camÈ-ra se contente de mettre en valeur. On constate que, dËs que l'auteur utilise les moyens d'expressions spÈcifiques du cinÈma, le film change de genre et a tendance ‡ virer au burlesque qui pour Ítre un dÈveloppement logique n'en reste pas moins burlesque. C'est trËs net ici, dans les poursuites. Ce film qui est mieux rythmÈ que beaucoup de ses pareils qui pÍchent souvent par manque de `ÓnerfÓ nous apparaÓt un peu comme un film hybride, comme un film d'hu-mour anglais qui aurait reÁu une Òinjec-tionÓ de burlesque. En ce sens, il n'a peut-Ítre pas toute l'unitÈ de style requise, mais c'est peut-Ítre ‡ cause de ce rythme qu'il nous retient davantage, tant l'humour anglais pur nous reste tout de mÍme Ètranger.
PortÈe du film (É) Il apparaÓt dÕabord comme une
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revanche sur le conformisme de la vieHolland riche et Holland pauvre) veille ‡ Filmographie anglaise. Respectant toutes les appa-ce que la victoire reste aux reprÈsen-rences de ce conformisme (dÈcors, cos-tants de l'ordre que l'humour prÈtend For those in peril1944 tumes, attitude morale et physique designorer, comme s'il avait peur qu'on le Painted boat1945 personnages), il le nie de l'intÈrieur.prenne au sÈrieux. Sans doute il fait une Dead of night Holland garde son chapeau melon, restederniËre concession ‡ notre esprit fron-Au cÏur de la nuit (corÈalisateur) correct, dÈcent, mais n'en commet pasdeur en nous montrant que son hÈros a Hue and cry1947 moins un hold-up.pu profiter quelque temps de l'argent A cor et ‡ cri L'humour est aussi une faÁon de prendrevolÈ, mais finalement tout rentre dans Against the wind1948 du recul, de garder ses distances. C'estl'ordre. Guerriers dans lÕombre une faÁon de ne pas Ítre dupe. Au fondPour conclure. disons queDe l'or en Another shore l'humour est une tentative d'Èchapperbarresn'est pas un des films d'humour Un autre rivage aux fanatismes et mÍme aux contraintesanglais les plus purs, qu'il ne constitue Train of events1949 sociales ou morales.pas un apport original au cinÈma, mais corÈalisateur Car en fait, cet humour qui n'est pasqu'il est une bonne utilisation d'un lan-Dance hall1950 l'ironie, ni la satire, sauf peut-Ítre dansgage existant. Par ailleurs ses qualitÈs The lavender Hill Mob1951 la scËne des guichets de douane, nied'entrain et de rythme, son interprÈta-De lÕor en barres avec dÈsinvolture la morale et la vietion en font un trËs bon film de divertis-Hunted1952 sociale. Il n'attaque pas la police parcesement. (É) Rapt qu'elle est mal faite (satire) il refuse deFilm et Jeunesse Saint-Etienne The titfield thunderbolt1953 reconnaÓtre une nÈcessitÈ morale ‡ son Tortillard pour Titfield existence. Il ne s'attaque pas aux insti-The lovelottery1954 tutions, il les ignore. Dans l'humour, le La loterie de lÕamour problËme moral n'intervient pas. Pour The divided heart Holland, voler un camion d'or est seule-Les hommes ne comprendront jamais ment un problËme technique ‡ rÈsoudre, The man in the sky1957 la valeur morale de son acte n'entrant Flammes dans le ciel jamais en ligne de compte. En fait l'hu-The law and disorder1958 mour transpose sur le plan de la logique LÕhabit fait le moine intellectuelle pure des problËmes qui Floods of fear sont de l'ordre de la morale et du senti-Le rÈalisateurFroid dans le dos ment. (Cf.Noblesse Oblige). The battle of the sexs1959 Devant l'impossibilitÈ d'attaquer de CinÈaste pour familles, anglaises il vaLa bataille des sexes front les forteresses morales et sociales de soi : amour des enfants (The boy who stole a millionHue and1960 (imaginezNoblesse Obligeen film cry), go˚t des vieilles choses (la loco-The third secret1964 sÈrieux), I'humour pense les neutraliser motive deTortillard pour Titfield) et,He who rides a tiger1965 en faisant comme si elles n'existaient bien s˚r, sens de lÕhumour (le fort drÙleA fish called Wanda1988 pas. On est loin de l'ironie qui les De lÕor en barre)s. Cette Ïuvre typi-Un poisson nommÈ Wanda attaque et de la satire qui vise ‡ les quement britannique offre aujourdÕhui amÈliorer. encore un certain charme. Retour fracas-Il est frappant de constater que l'humour sant avec le dÈlirantPoisson nommÈ est le produit d'un pays o˘ ces forte-Wandaqui doit beaucoup ‡ lÕesprit des resses sont les plus Èvidentes. Monty Python. Vu sous cet angle l'humour serait des-Jean Tulard tructeur par essence, mais en fait il ne Documents disponibles au France Dictionnaire des rÈalisateurs l'est pas tellement car il empÍche l'iden-tification au hÈros. Nous sommes avec Film et document n∞8 lui pour la durÈe du film, ce qui rÈjouit nos tendances latentes ‡ l'anarchie, Pour plus de renseignements : mais nous ne sommes pas lui. tÈl : 04 77 32 61 26 D'ailleurs l'auteur aprËs avoir fait l'apo-g.castellino@abc-lefrance.com logie de la richesse (la diffÈrence entre
L EF R A N C E SALLE D'ART ET D'ESSAI C L A S S … ER E C H E R C H E 8 ,R U ED EL AV A L S E 42100 SAINTETIENNE 04.77.32.76.96 4 R…PONDEUR : 04.77.32.71.71 Fax : 04.77.32.07.09
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