janvier 2010 n°34
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janvier 2010 n°34

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Extrait

°n
34 janvier 2010
 
DANS CE NUMERO
CORBEL, Mano SOLO, KRISS, ic CHESNUTT, COMEDIENNES, LA TEUF, SOUL MUSIC 2, UE EN CRISE, LE ROI DJANGo, CHANT DES BEAUX HUMAINS, RANCE INTER, Pascal AYERBE, LIK, BLUR, Alain BONNEFONT, EPREST, Albin DE LA SIMONE,  , EMMA LA CLOWN, FELOCHE, Norah JONES, Catherine MAJOR, MARY’S DREAM, Eric MIE, Davy SICARD, David SIRE, SOURYA, STASH, D.M. STITH, Gianmaria TESTA, Maurice REVERDY, Michel JONASZ, Les CARNETS BERLINOIS, MEDIAS, le BILLET d’IGNATUS,...
pagan jm col.eilonsadtgiodel.www2 eervi01 2° 0n34
cCdH/RdOvNdI/QsUEcSt la porte opueveratceles IdNisT-EmdRoiRgoiOtSeu tEiCàRlITosEieuiSls au q tu iRnEtNerCvOieNwTsR EscSriptées DECRYPTAGE reportages LbrEèDvOeIsG,Te tDcE..S.SUS L p’AaIrR  IDgnUaTtEusMPS
EDITO Il est dans l’air du temps, et on trouve toujours dans ses écrits de quoi ouvrir une lucarne sur l’es . Ou sur une idée despoir... Aucpuonire fœounvdrée de génie na jamais été e sur la haine et le mépris. C’est pourquoi l’artiste, au terme de son cheminement, absout au lieu de condamner. Il n’est pas juagveo,c atm apiesr pjéutusteil  cdaet eluar . crIéla tuerset l vivante, parce qu’elle est vivante. Il plaide vraiment pour l’amour du oc mour du lporintahiani n,qo urnia iondn é gperona udrc ea ctleéth uamsamneis mdee  contemp chi tribunal.(Camus) Tous ces artist chantent, qui meso nqteuin tj osuuer nts,c èqnuei  c’est pour demander un aujourd’hui meéitlileerur En faisant simplement leur t le mmonde  dqeu iclsh avnotieenutr.  deen l epueri fgennaêîntre,,  emt êqui continue de lemuer nat plpesa ryaeturex, me quand ils fer ou qui prennent leur guitare pour 3 petites notes de musique, qui font la vie plus belle... quand tout va mal ou quand tout va bien, le musicien, c’est un peu de champagne. Et je prends mon violon, et j’attrape mon archet, Et je joue ma vieille valse pour faire le monde danser. Vous connaissez, mes chers amis, la vie est bien trop courte Pour se faire des soucis, alors... allons  our la Bdaonnsneer  A!n Inl éfea, uot n bpieonsitiqvuee,  hpistoire de danser du bon pied, et de se réchauffer les doigts. Après ça comme disait l’insecte rapiat, vous dansiez ? eh bien chantez maintenant... La Carma-gnole,
tiens, la gnole par ces temps froids ça tue les microbes aussi bien qu’un vaccin. Le bouc maker PS : e papillote, (trou vléae  pdannss éeu nde e plaapillotte), « L’art est une démonstration dont la nature est la pensée » (George Sand) Un copain ornithorynque qui nne tarninnqéue aiat  tarvoeuc vém ocie  ppoouirn tl a dbe ovue ntéressa rès reéxctroênfmoertmaentn t piour son net,g oe. t Mtais c’est un amateur d’art abstrait, voire surréaliste. Tout s’explique. (avec l’amicale participation plus ou moins volontaire de Camus, Moustaki, Ferrat, La Baronne, Zachary Richard.
www.ledoigtdansloeil.com
 34  janvier 2010
PARTENARIAT
sQeu apnred n2n eénlte ctrons libres par la main... Tranches de scènes et le Doigt dans l’œil
sDaeispouinss ,p lEurisci eNurasd ot  filme des spectacles ose en DVD q«uAiult opruor pdun artiste eAprxvitenrcca iietpsna tld».e  ceonnsc,erts, reti compagnonnages...
vEidditéion dun magazine o sur DVD Le principe : Entre 1h20 t 2 heures 1 selon les eDVD) de vid0é (o autour d lumné  suarr tissctèen e.p rincipal, Iàl  lap asrcleè nde,e  ils opna rlrea papuosrsti  des artistes u’il aime set èque lon  mqontre sur c ne eux aussi. Diffusion gratuite aux adhérents.
visitez www.quichantecesoir.com
page 3
 j 10n0 °43naivre2 
CD/DVD/SPECTACLES Pascal AYERBE sauvages Vous voilà coincé, encore, dans les embouteillages. On est mardi soir, la semaine est encore longue, il y a peu d’espoir que les 180 voi-tures bloquées devant vous s’écartent et vous laissent atteindre la sortie n° 14 avant 19h10. Mince. Vous allez encore loupper vprotérfeé rfée ueitll elteo nm/amgantéctho sdceo pfoe,o tl/ercetaeliutry  esnhroew- irgnioscutofrr-espuuorrr cém tûuatlt-nitt- ufv-olanancstti-éo dnpasan rse -tll e,a  vueterned eorudr indaet ecuar- o st en panne. Oéne ,peut  dni fd ceilpeuimse nqtu fea irbee lplier-em caommamn e sseosi-t r enfi remariée avec un éleveur de chèvres de la Grèce profonde et qu’e l à la maison à limprovislltee . ne débarque pus Pascal Ayerbe lui ssé deux ans enfer-mé dans sa serre,  am apgaique (bon il a quand même trouvé le moyen de faire quelques centaines de concerts en France et dans le monde, pour faire briller les yeux des mô-stoi fmaierse  alav enci qsuees  garui bPoèurileli sN soowneollr eqsu,i  hnie ser ed dée- place qu’un seul jour par an, pasque les ren-nes ça coûte cher voyez-vous, surtout qu’ils réclament une prime de risque rapport que les es c’est li t etc...) à s èce de sau-vcraég etero.  ituPsan sed  idnmeo umtrveaeunlrlbsoeltg téeensip eo nnto  gné ns éso canao nrunobotltinée, eàs  teetl  poin t nqeuset  rleess écat qu’il t que les Sauvages. Vous êtes donc coincé dans votre ba no à regarder les escargoctôst évous doublger slue,r   el la rembarde ldae psécouursiteé .d eV oluas utvroeu s sou vdeen ez alors que vous avez pris soin de mettre dans votre i s e vous aviez acheté p-opuord l al eps etSitaeu vdaegrneièrqeu. Oui parce que mon-sbieelu rE nAfyaenrcbee  sEte sMt ufasiitq ueem, bqauuic hoenrt  praér- éled itLéas- ses deux premiers disques initialement sor-tis chez Depuis La Chambre. Il gribouillait si
tbien avece mseesn «jào ujoux à bruits» et il sen-end tell t faire le zouave vert sur smcêènmee  ette àm jposu, elra  a uè ccohwe bdoayn (et à  lintdoileetn , deén- on «en-fbbaioenuntc »sh. aognen éd)a nqsu uonn el ba oîrtaen cgéesg   dalieuar bperli aesày  lsà.e Grave erreur. Pas du en tenir Vous coupez donc le moteur de votre auto-mobile. Vous mettez le casque de l’i-pod sur vos oreilles. Bien au chaud sous la mous-se les voilà prêtes à vférétiller. Sortez négli-rgeemmbmarednet , dtrea vveortre hicausl ec,ô teé,n jvaomusb evzo illaà  sez le b dans la prairie, enfin ce qu’il en reste, No-mansland entre la zone commerciale et la zone franche. Assez d’herbe jaunie pour un p’tit Western. Le bruit des moteurs qui tournent s’estompe, veuillez laisser votre costume d’adulte au vestiaire sur le vieux pruéonicecru pmaotrt à votre gauche, semez au vent pr ions, obligations, montre, porta-ble, agenda, en principe ça ne pousse pas, mais on ne sait ja mbeaisso.i..  cDee  stooiru tce efsat çroén vous n’en a -cré. Vous êtveesz t opluuts étonnén ,de savoir encore our le machouiller peler un brin dherbe pllant une âet-ttrea, ntiqeunilsl,e cmeesnatt   jeào nlli  ale effse puiâqune rreitrtee sip,d ifoqutuc evhrosiuas,  belnavnach, itf,u cléhgsier,, comfmoeli ed. eUs  amalnuttsô ros, es pas ceux ddoen ncahieezn tA liàc ec oDeiusrn ey,i ep sur t Bcreauinx  qDuai msaegne . Passée leuphorie jdoes premiers instants, un chat cha-cha qui passe dans lesn satirrsu it( tiuenn sc laenso en)n favnots déu voisinagne  poenut  co us coutez u plus attentivement. C’est dingue ce que ça peut faire comme musique un crayon qui cToaudrenaeu.m bAossururriéque sur usncea lf enueil le de papier ment Pa lâchera pas cette année encore s e nesez surtout paos nd tei trree sdtee r Gsréibrioeuuyx aern,  a vacances im-peétc oauusit sacaéyanests q,ç uee,n,   odnfef  r pegrzné-fovélloréueesns c daee,u s p putiitssq zuoognn ivoonuss,  rov dit que vos oreilles sont mieux quand elle sont au chaud sous la mousse... Tiens c’est drôle comme c’est toujours mou la mous-se... Uku... Oïolole... Dodo... Leslie Tychsem www.pascalayerbe.com www.myspace.com/gribouilleursonore
CHRONIQUES
lieomoc. 4gepalsnadtgiodel.www
pga ew5wwieolsnadtgiodel.mcol.ja  ienv20r 
C’était le cadeau de Noël 2008 du NME (New Musical Express) à ses lecteurs : une photo et une interview de Damon Albarn et de Graham Coxon en exclusivité ui an fqormatnioonn çdaiue nBtL lUeRu ros rirgeitnroalu vcianilqle sa nest  laap rrèe-s le licenciement de Coxon, le guitariste gé-nial, pour cause d’alcoolisme. La nouvelle faisait l’effet d’une bombe en Grande-Bre-x com èr -tçSpaaooigyuenron enlt. s é  utcEénl nea(  iurps nléueert si  emlr ieédnsaie l i tdsocetoueu rn:nc éeBretL ssU pReà n  eHessysut  idvapen r)onPboarank- it . blement le meilleur groupe Anglais apparu depuis … On ne sait plus mais ça fait long-m blement le tmeusipcsi,e ne tl eD aplmuos n dAolubéa rnd ep rsoab agénération. Mais pour relancer ce BLUR si triomphant ue il ava our au bete rcmaailg dnie  sqocne  gdéénbiuatli  tJg uubiiltelasertoi isn2t 0ed.0 u9C  ero efutut chrèo-se faite en , ap s quelque mini-concert de rodage, le BLUR original (Albarn et Coxon mais aussi le bas-siste Alex James et le batteur Dave Rown-tree) monte sur scène devant 60 000 fans en folie. Que dire ? Pas grand-chose si ce n’est que le groupe envoie ses tubes (Boys and girls, Parklife, Coffee and cigarettes…) Avec un mordant et une hargne qui lui font reprendre sa place de plus grand groupe Anglais (surtout depuis la panade Oasis). cTohuatn téy s eàs tl :u nimélodies parfaites, refrains sson avec le public, accent Cockney … Blur durant ces soirées mémo-est rqaubluens  éennifèomnce e gtroouutp, ee td pe roBurivt eP qoup ilm ais plluuns des plus grands groupes de sa générat le plus grand peut être ! À lécoute dei ocne,  ddeo urbellee vaelrb ulam t,ê otn :s aBitL UqRu ee lstA nvigvleatnetr r! eP rviioennst  e pour que maintenant les rumeurs se confir-ment et qu’ils retournent en studio, prions mes frères, prions… François Olle-Laprune  www.youtube.com/blurhydepark www.blur.co.uk
BLUR live at h e 2 and 3 jyudly 2p0ar0k9 
CHRONIQUES
BATLIK l’art des choix
Lui c’est le parcours du chanteur de fond, comme les coureurs du même tonneau, le baladin qui est sur la route des 4 chansons, comme les points cardinaaus xd, el e  màénestrel sans attache, et surtout p l la patte avec une major qui lui marketerait les idées. En fait de market, il est plutôt dans la marquetterie, cet art de l’ébénisterie qui met de la fantaisie dans la rigueur des bois dont on fait les beaux meubles et parfois les instruments de musique. Dans la chanson, il pratique cet art en osirriègineasl  dqeu il an ef ascielint él asishsoew pbiazse scqounet.e r par les n C’est un homme de scène, et de contact, Batlik, un authentique , un vrai de vrai, si tu ne viens pas à lui, c’est lui qui vient à toi, il chante en tous lieux, par tous les temps, sans tergiverser, il se produit, s’autoproduit r son «art des choix» a«làli eb rrelûals e  eqptu oaualimtpéuo inédts»e,  s eàt tedxetse sm urdssoi qubuxr eosda éms  earus,  tend s nes et subtilement mises en déco et pDe ilt ap toriènst . bonne chanson, qui sait mettre les mots et les notes en situation, celle de proposer des mots et des notes qui s’aiment, comme disait Wolfgang Amadeus, un connaisseur ... Il fait le Zèbre, à Belleville, mais pas seulement, suivez la piste, et ouvrez vos agendas, il est par ici, il repassera par là. Et au besoin, invitez-le ! Norbert Gabriel te s ci chanson «l’effo Une nop» éuale à lao actuel ràt  Ldae  sBoouétmieis :s ionqi est un éch «Ils ne s sommes ào gnte ngoruaxn»d s que parce que nous www.myspace.com/batlik batlik.canalblog.com
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