Première partie FEUERBACH Table des matières A. L'idéologie en général et en particulier l'idéologie allemande 1. Histoire 2. De la production de la conscience B. La base réelle de l'idéologie 1. Échanges et force productive 2. Rapports de l'État et du droit avec la propriété 3. Instruments de production et formes de propriété naturels et civilisés C. Communisme - Production du mode d'échanges lui-même Annexe: Thèses sur Feuerbach Index PRÉFACE Jusqu'à présent les hommes se sont toujours fait des idées fausses sur eux-mêmes, s sont ou devraient être. Ils ont organisé leurs rapports en fonction des représentation faisaient de Dieu, de l'homme normal, etc. Ces produits de leur cerveau ont grandi ju dominer de toute leur hauteur. Créateurs, ils se sont inclinés devant leurs propres c Libérons-les donc des chimères, des idées, des dogmes, des êtres imaginaires sou desquels ils s'étiolent. Révoltons-nous contre la domination de ces idées. Appren hommes à échanger ces illusions contre des pensées correspondant à l'essence de l'h l'un, à avoir envers elles une attitude critique, dit l'autre, à se les sortir du crâne, dit l et la réalité actuelle s'effondrera. -Ces rêves innocents et puérils forment le noyau de la philosophie actuelle des Hégéliens, qui, en Allemagne, n'est pas seulement accueillie par le public avec un res d'effroi,maisestprésentéephaéroposilpheesquhielsosvictconionmêsexum-calaev solennelle que ces idées d'une virulence criminelle constituent pour le monde un révolutionnaire. Le premier tome de cet ouvrage se propose de démasquer ces mout prennent et qu'on prend pour des loups, de montrer que leurs bêlements ne font qu dans un langage philosophique les représentations des bourgeois allemands et fanfaronnades de ces commentateurs philosophiques ne font que refléter la dérisoire de la réalité allemande. Il se propose de ridiculiser ce combat philosophique contre l'o la réalité, qui convient à la somnolence habitée de rêves où se complaît le peuple all de lui ôter tout crédit. Naguère un brave homme s'imaginait que, si les hommes se noyaient, c'est unique qu'ilsétaientpossédél'sidpéaer.Qnteepaslaeduisoast''ni,lrntseréeprteetcetêtaledtnetô 2