Homme, femme - L humanité en danger !
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Homme, femme - L'humanité en danger !

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- Un thème de société - Édition numérique Gillovy Homme ? Femme ? L'humanité en danger ! Et Dieu créa l'homme à son image; il le créa à l'image de Dieu; il les créa mâle et femelle (Genèse 1,27). Et Adam dit: Celle-ci enfin est os de mes os, et chair de ma chair. Celle-ci sera nommée femme, car elle a été prise de l'homme. C'est pourquoi l'homme laissera son père et sa mère, et s'attachera à sa femme, et ils seront une seule chair (Genèse 2,23-24). À l'heure où le gouvernement socialiste français s'apprête à présenter une loi visant à la destruction de la notion même de mariage, il paraît urgent de rappeler ce qui devrait être évident à tout un chacun, mais qui hélas fait débat chez quelques-uns. Cette modeste contribution se propose d'exposer les fondements de la société humaine en puisant à la source plurimillénaire de la tradition judéo-chrétienne, la Bible. La société en danger Notre planète Terre, œuvre du Tout-Puissant, est dominée par une créature réputée intelligente... Enfin jusqu'à un certain point ! Son aire de répartition est extrêmement étendue et manifeste une pluralité de population. Chaque peuple se compose de familles agrégées entre elles par le lien de la langue, de la culture et du territoire. Un regard extra-terrestre n'aurait aucun mal à concevoir que l'unité et la pérennité de l'humanité procède de l'union d'un être masculin et d'un être féminin formant un couple stable à vocation reproductive.

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Publié le 01 décembre 2012
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Langue Français

Extrait

- Un thème de société -
Édition numérique Gillovy
Homme ? Femme ? L'humanité en danger !
Et Dieu créa l'homme à son image; il le créa à l'image de Dieu; il les créa mâle et femelle (Genèse 1,27). Et Adam dit: Celle-ci enfin est os de mes os, et chair de ma chair. Celle-ci sera nommée femme, car elle a été prise de l'homme. C'est pourquoi l'homme laissera son père et sa mère, et s'attachera à sa femme, et ils seront une seule chair (Genèse 2,23-24).
À l'heure où le gouvernement socialiste français s'apprête à présenter une loi visant à la destruction de la notion même de mariage, il paraît urgent de rappeler ce qui devrait être évident à tout un chacun, mais qui hélas fait débat chez quelques-uns. Cette modeste contribution se propose d'exposer les fondements de la société humaine en puisant à la source plurimillénaire de la tradition judéo-chrétienne, la Bible.
La société en danger
Notre planète Terre, œuvre du Tout-Puissant, est dominée par une créature réputée intelligente... Enfin jusqu'à un certain point ! Son aire de répartition est extrêmement étendue et manifeste une pluralité de population. Chaque peuple se compose de familles agrégées entre elles par le lien de la langue, de la culture et du territoire. Un regardextra-terrestre n'aurait aucun mal à concevoir que l'unité et la pérennité de l'humanité procède de l'union d'un être masculin et d'un être féminin formant un couple stable à vocation reproductive. Ce mêmeextra-terrestre, doué, comme il se doit, d'une volonté belliqueuse et d'un minimum d'entendement, comprendrait immédiatement que pour mettre en péril cette société humaine et la faire progressivement disparaître, il suffirait de la déstabiliser en s'attaquant à son fondement même: le couple et la famille. Ainsi gênée dans la nécessité où elle se trouve – ainsi que toutes les autres créatures – de transmettre l'existence par la procréation dans un cadre sécurisé pour sa progéniture, la population mondiale connaîtrait une chute dramatique de ses effectifs en quelques générations. Des adversaires au nombre réduit et désorganisés seraient en effet une cible de choix dans l'hypothèse d'une invasion de la Terre par une bande de petits bonhommes verts... Œuvre de science-fiction ? Théorie du complot ? Pas tout-à-fait, mais toute ressemblance avec un roman de gare à succès ne serait pas forcément fortuite ! Car en effet le phénomène de la dépopulation, en passe de se réaliser dans levieux-mondesous l'effet conjoint de conceptions malthusiennes et hédonistes, risque fort de s'accentuer fortement avec la radicalisation de la revendicationhumanophobemouvements libertins et homosexuels. Sous des
couvert deliberté de choix et de protections depseudo-minorités, des États occidentaux ont choisi dejeter aux pourceauxdu mariage l'institution monogame et d'instaurer légalement le désordre civil au sein de leurs populations. S'arrogeant le droit de décider de ce qui est vrai et bon ou pas, de ce que l'on doit croire ou pas, et aussi du simple sens des mots, ces états aux velléités autoritaires et tyranniques se sont faits les hérauts de la débauche en banalisant le divorce, l'union libre et les comportements déviants de tous types. Il en a résulté, comme chacun le sait, une chute phénoménale de la natalité, une multiplication des familles monoparentales et du nombres de célibataires. Les adultes, au nom de la « liberté » d'aimer – forniquer, en fait -quand et qui bon leur semble ont institué égoïstement une situation de confusion dont les enfants sont les principales victimes (2)... quand ils n'ont pas été remplacé tout bonnement par des animaux de compagnie ! Un tel phénomène exige que l'on porte attention aux fausses conceptions qui ont engendré un tel désordre social.
Le rejet des valeurs chrétiennes
Il ne date pas d'hier et du refus politique d'intégrer ce concept dans la constitution de l'Union Européenne. Sans vouloir refaire toute l'histoire occidentale, il faut néanmoins préciser certaines choses. Après la Renaissance réintroduisant la culture et la philosophie antique grecque, le mouvement rationaliste dit desLumièresa tourné le dos à la pensée chrétienne, ouvrant la voie principalement aux conceptions matérialistes et naturalistes dont l'époque contemporaine est l'héritière. Ces conceptions se sont fondues dans une nouvelle compréhension des rapports de l'homme avec lui-même et au sein de la nature; nous parlons donc de l'évolutionnisme. Le commun des mortels a été enseigné à penser que la théorie de l'évolution était une explication scientifique de nos origines. Or ce n'est pas du tout le cas (1), nous avons affaire à une philosophie globale instrumentalisant les disciplines scientifiques à ses propres fins, au détriment de la vérité et du savoir authentique. Ce mouvement s'est dogmatiquement construit au creuset de l'athéisme militant (2), en prenant pour hypothèse de travail le contre-point systématique de toutes les affirmations chrétiennes. Ainsi, l'homme a été ravalé au rang d'animal, à peine plus évolué que le singe, réparti en plusieurs races au degré d'intelligence d'autant plus élevé que la couleur de sa peau était claire. La nécessité de ses guerres et de ses conquêtes coloniales a été justifiée au nom du principe de la survie des plus forts et des plus adaptés sur les plus faibles. Au nom du même principe la stérilisation des handicapés et des inadaptés sociaux a été pratiquée à grande échelle au XXème siècle. Puis après avoir aligné la morale sexuelle des humains sur les pratiques des cochons et autres bestioles, le libertinage (3), appelé par l'euphémisme à peine déguisé de libération des mœurs, a été consacré au pied de l'autel des sacrifices des enfants à naître (4). L'avortement et la contraception chimique étaient le prix à payer à l'idole du désir et du plaisir. Or non content de cette « révolution sociale », la folie de certains de nos concitoyens les conduit à revendiquer la reconnaissance officielle de l'homosexualité et autres perversions au même titre que ce qu'ils nommenthétérosexualité. Poussant l'impudence jusqu'à nier la différenciation des sexes et à réclamer le droit au mariage et à l'adoption, les lobbys homosexuels entendent imposer leur débauche comme simple choix proposé à tous, et qu'il serait pénalement condamnable de réprouver et refuser ! Le refus de la morale chrétienne a pour conséquence le négationnisme de la réalité de l'être humain, dans sa nature, son unité et sa complémentarité.
L'homme selon son Créateur
Selon Karl Marx (5) « l'athéisme est une négation de Dieu et par cette négation il pose l'existence de l'homme ». Ceci dit, au delà de l'affirmation dialectique d'une chose par la négation d'une autre, cette existence évidente de l'homme pose le problème de son origine. Le même personnage se félicitait des thèses darwiniennes allant dans la même direction que la sienne (6). Or ce que le matérialisme marxiste allié à la philosophie évolutionniste a de meilleur s'est déployé dans toute son horreur au cours du XXème siècle, et il n'est pas besoin d'y insister tant les faits sont abondants... La négation de Dieu, c'est la tragédie de l'humanité, c'est la négation de son œuvre par elle-même ! Le vase de terre dira-t-il au potier: « Tu ne m'as pas fait ? » (Cf. Romains 9,20). Qui d'autre que le Créateur de l'univers serait en effet le mieux placé pour décrire sa créature ? Toutes les religions monothéistes reconnaissent le récit de la Genèse, où Dieu nous donne la compréhension de ce que nous sommes (7). Tout d'abord, nous sommes distincts des animaux, même si biologiquement nous sommes composés des mêmes cellules. Car, en effet, l'homme a reçu le souffle de vie (néphèsh Khaya) et est conçu à l'image de Dieu (8), c'est-à-dire avec une ressemblance aux caractéristiques de la Personne divine. Aussi, nous ne sommes pas que doués d'intelligence, de volonté et de sentiments, mais nous sommes également dotés d'une conscience morale, laquelle fonde la responsabilité de nos actes. De plus, ce qui est le plus important, nous sommes aussi des êtres spirituels, non comme les anges puisque nous sommes terrestres, mais des êtres spirituels quand même, avec la capacité d'entrer en communion avec le Créateur. La notion d'âme, niée par les matérialistes, englobe toutes ces caractères là. Ayant posé le fondement premier de ce qu'est l'humanité, il faut de suite ajouter un second fondement, et non des moindres: l'homme est duel, il se conjugue au masculin comme au féminin. Qu'est-ce à dire ? Qu'il y a une part de masculin et une part de féminin en chaque être ? Pas du tout: il y a (et il n'y a que) deux variations de l'être humain: des mâles que l'on appelle simplementhommes, et desfemmes. L'un et l'autre sont semblables en tant que créature, et ils sont aussi fondamentalement distincts, et pas seulement par l'apparence, ce que le premier homme, Adam, remarqua aussitôt.
Différences et complémentarité
Lorsque l'on veut souligner les différences entre les hommes et les femmes, aussitôt des voix criant au loup s'élèvent. Il est exact que par le passé, et encore maintenant dans certaines cultures, les premiers s'en sont prévalus pour s'arroger une supériorité sur les secondes. Cependant il n'est pas de notre propos d'aller dans ce sens, car ce n'est pas du tout ce que la Bible dit. Hommes et femmes sont différents donc de par leur anatomie, et de par leur personnalité. C'est une caractéristique irréversible depuis la conception de chaque individu, et elle n'est pas acquise par l'éducation ou le choix personnel comme on l'enseigne désormais aux jeunes français dans la faussethéorie du genre (9). Chaque sexe possèdes des paires de chromosomes qui lui sont propres. On naît donc génétiquement homme ou femme, avec une anatomie propre et une spécificité propre au genre. Ainsi l'homme est physiquement plus robuste, doté de muscles puissants qui font la différence dans les efforts physiques. Tandis que la femme possède une silhouette harmonieuse, plus fine et plus arrondie adaptée notamment à la maternité, laquelle aucun homme ne pourrait supporter. L'homme et la femme sont complémentaires morphologiquement bien-sûr, mais aussi par leurs qualités personnelles et leur psychisme. Par exemple, toutes les observations honnêtes sur les jeunes
enfants convergent vers une seule conclusion: garçons et filles ont des comportements différents depuis la naissance. Les premiers sont davantage enclins aux activités et jeux physiques, tandis que les secondes sont intéressées par des jeux plus calmes, plus subtils, qui laissent plus de place à l'appréciation des formes, des textures et des couleurs. Ce sont des caractères innés qui peuvent être certes modulés par l'influence du milieu extérieur, mais en aucun cas anéantis par une quelconque volonté. Le mouvement féministe, dans sa tentative de transposer lalutte des classes marxistes dans les relations entre individus de sexe opposé, a souvent nié la spécificité féminine, désirant transformer les êtres en éléments interchangeables. Puis la revendication homosexuelle - qui n'est pas sans lien avec le féminisme - a cherché une justification de sa perversion par la négation de l'immuabilité de la nature masculine ou féminine. Car c'est bien de cela dont il s'agit: pour pouvoir épancher leurs pulsions déréglées sans s'entendre rétorquer qu'ils font des choses contre-nature, ils ont décidé de « modifier » eux-mêmes la réalité de la nature sexuelle des individus. Ainsi, en répandant le flou et la confusion dans les jeunes esprits, en plaçant un écran de fumée devant les frontières intangibles distinguant les deux versants de l'humanité, ceshumanophobes que sont les homosexuels comptent asseoir une argumentation visant à se dédouaner de leurs actes mauvais et, partant, clouer la bouche des opposants indistinctement affublés du qualificatif d'homophobes. De là leur détermination d'hier de se faire passer pour une « minorité » en danger nécessitant des droits spécifiques (10). De là leur détermination d'aujourd'hui à inscrire leur déviance jusque dans l'état-civil. De là leur revendication éhontée de pouvoir adopter des enfants pour les instruire de leurs pratiques dépravées !
De la sexualité
Sitôt l'homme et la femme créés, leur rapports se voyent signifier: L'homme s'attachera (se liera) à sa femme etils seront une seule chair (Genèse 2,24). Jésus lui-même, qui considérait la Genèse comme la Parole inspirée de Dieu – et pour cause ! - reprend l'affirmation et la complète:Mais au commencement de la création, Dieu ne fit qu’un homme et qu’une femme. C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme; et les deux seront une seule chair: ainsi ils ne sont plus deux, mais ils sont une seule chair. Que l’homme ne sépare donc point ce que Dieu a uni (Marc 10,6-8). Dès lors, il n'y a pas d'autre modèle que celui de l'union durable d'un homme et d'une femme. Cette union est constitutive de l'alliance harmonieuse de deux individus. Elle constitue le mariage monogame, le couple fécond qui perpétuera la race humaine, avec tous les autres couples fécond, et par lesquels l'humanité s'est développée depuis l'origine jusqu'à nos jours. Leune seule chairaussi à la sexualité, qui n'était pas l'objet de la chute de renvoie nos premiers parents, selon la fausse conception d'origine platonicienne répandue hélas dans les siècles passés, mais est voulue par Dieu même pour le bonheur et la solidité du couple. Cette sexualité n'est envisagée bien-sûr que dans le cadre du mariage. L'union libre, le concubinage et les rapports pré-maritaux ne sont pas voulus par Dieu. Ils constituent une perversion de l'amour vrai, un détournement qui est l'œuvre du diable et que le christianisme authentique n'admet pas et n'admettra jamais en son sein. La sexualité est offerte au couple régulier et non à ses dévoiements. Toute autre voie ne peut tourner qu'au malheur des individus et de la société tout entière.
Le sens demariage
Puisque la nuit intellectuelle et spirituelle que nous traversons devient si profonde que les choses les plus simples deviennent obscures, il convient de redéfinir le terme demariage. Au sens premier, se marier, pour une femme, signifieprendre un mari; pour un homme cela désigne l'acte dedevenir le mari d'une femme. Aucune société humaine, même dans les temps les plus reculés, n'a jamais compris les choses autrement (11). Au sens figuré, le termemarier s'applique à l'association intime de deux objets distincts. Ainsi, on peut marier le chocolat et la vanille, mais nullement le chocolat au chocolat, la vanille à la vanille ! Par conséquent vouloir marier des êtres de même sexe résulte d'une grotesque et monstrueuse confusion. La Bible a des mots durs envers le péché d'homosexualité:Tu ne coucheras point avec un homme, comme on couche avec une femme; c'est une abomination... Vous ne marcherez point selon les lois de la nation que je vais chasser de devant vous; car ils ont fait toutes ces choses, et je les ai en abomination (Lévitique 18,22; 20,23). Par conséquent, personne ne peut se réclamer du nom de croyant et pratiquer les choses que Dieu réprouve:Ils font profession de connaître Dieu, mais ils le renoncent par leurs œuvres, étant abominables, rebelles, et incapables de toute bonne œuvre (Tite 1,15-16). Le Nouveau Testament n'est pas en reste non plus:Car la colère de Dieu se déclare du ciel contre toute l’impiété et l’injustice des hommes qui suppriment la vérité injustement... C’est pourquoi aussi Dieu les a livrés aux convoitises de leurs cœurs et à l’impureté, en sorte qu’ils ont déshonoré eux-mêmes leurs propres corps... car les femmes parmi eux ont changé l’usage naturel en un autre qui est contre nature. De même aussi les hommes, laissant l’usage naturel de la femme, ont été embrasés dans leur convoitise les uns pour les autres, commettant, homme avec homme, des choses infâmes, et recevant en eux-mêmes la récompense qui était due à leur égarement (Romains 1,18,24,26,27).
L'on récolte ce que l'on sème !
La marée nauséabonde qui est en train de submerger l'Occident n'est que le résultat duTsunami spirituel qui a renversé les fondements des nations christianisées. Le rejet de la Réforme du XVIème siècle en France a conduit ce pays au jugement que constituait la Révolution de 1789 et sa période de terreur. Le rejet de l'enseignement biblique et des normes morales chrétiennes précipitent l'Europe à un niveau de décadence que l'Empire romain païen n'avait pas même atteint ! Laissera-t-on la société se corrompre au point que les gens droits seront bientôt oppressés de toute part par les injustes, comme ce fut littéralement le cas pour Loth, le neveu d'Abraham ? Seule une intervention providentielle le délivra et détruisit les citadelles de l'infamie qu'étaient Sodome et Gomorrhe. Cherchez-les bien sous l'épaisse couche de roches et de sel qui les recouvre (12). Ces villes n'ont jamais été rebâties ! Il en est de même des civilisations qui se détournent des lois divines pour établir à la place leur propre folie... elle disparaissent à tout jamais. Qu'en sera-t-il de la nôtre ? Levons-nous et apportons notre témoignage à cette génération qui se perd !
Gilles VEUILLET
Notes
1 – En faire la démonstration ici nous écarterait de notre sujet, mais je vous invite à consulter mon site à cet effet:En finir avec l'évolution ! 2 – Voici deux citations intéressantes émanant d'évolutionnistes convaincus: « Il n’y a que deux explications possibles concernant l’apparition de la vie: une génération spontanée selon l’évolution, ou un acte créateur surnaturel de Dieu (…) La génération spontanée a été prouvée erronée par Louis Pasteur et d’autres, il y a cent vingt ans, ce qui ne nous laisse qu’avec une seule autre possibilité – que la vie est apparue grâce à un acte créateur surnaturel de Dieu, mais je ne peux pas accepter cette philosophie parce que je ne veux pas croire en Dieu. Je choisis donc de croire à ce qui est impossible scientifiquement, une génération spontanée qui génère l’évolution ».G. Wald -Frontiers of Modern Biology on Theories of Origin of Life, New York, Houghton Mifflin, 1972 p.187, cité in Rex Russell,What the Bible Says About Healthy Living(Ventura, CA: Regal Books, 1996). « En raison de notre adhésion a priori à des causes matérielles, nous sommes contraints de créer un appareil d’investigation et un ensemble de concepts qui fournissent des explications matérielles, explications en flagrante opposition à l’intuition, et complètement hermétiques pour le non-initié. En outre, ce matérialisme ne peut être remis en question, car nous ne pouvons en aucun cas laisser un Pied Divin passer la porte ».Lewontin, R. Billions and Billions of Demons, The New York Review of Books (January 9, 1997).
3 - Autre aveux intéressant; il émane de Julian Huxley, théoricien de l'eugénisme et premier président de l'Unesco:« [Je suppose la raison] pour laquelle nous avons tous sauté sur l'Origine [Origine des espèces] était parce que l'idée de Dieu interférait sur nos mœurs sexuelles ».The Troubled Waters of Evolution(1974), p. 58. 4 – Cette citation illustre le mépris pour la vie humaine à son humble commencement: « La vie d'un nouveau-né n'a pas plus de valeur que celle d'un cochon, d'un chien ou d'un chimpanzé ». Peter Singer, titulaire de la chaire d'éthique de l'Université de Princeton (USA). 5 –Manuscrits de 1844, Karl Marx, Éditions sociales, p 99. 6 – En 1860, Karl Marx écrivit à Ferdinand Lassalle: « Le livre de Darwin est important et me convient comme base de la lutte historique des classes ». Encore la même année, il écrivit aussi au philosophe socialiste Friedrich Engels: Ce Darwin est tout à fait sensationnel. Il y avait un côté par lequel la téléologie n'avait pas été démolie, c'est maintenant chose faite ». 7 – Lire l'article:Dieu, la Bible et nous(http://amour-amours.blogspot.com/p/dieu-la-bible-et-nous.html).8 – Ce que ne semble pas comprendre Yves Coppens, paléoanthropologue français et professeur honoraire auCollège de France. Selon lui (cité dans un entretien avec Didier Sénécal): « L'homme ne peut recevoir qu'une définition biologique ». 9 – Cette théorie scandaleuse s'est invitée dans les manuels de SVT. Consultez ce qu'on enseigne aux jeunes lycéens:http://www.educpros.fr/uploads/media/Hatier.pdf; http://www.educpros.fr/uploads/media/Hachette.pdf; http://www.educpros.fr/uploads/media/Bordas-1.pdf
10 – Lorsqu'on en arrive à accorder des droits spécifiques limitant la liberté d'expression des uns, et en alourdissant les sanctions envers les contrevenants dont on fera tout pour affirmer qu'ils avaient agi en fonction de l'orientation sexuelle des victimes, le Droit du pays accepte la gangrène qui dévorera les libertés individuelles pour tous les individus sans distinction d'opinion, de sexe ou de religion.
11 – Même la polygamie a respecté le principe d'union en homme et femme. 12 – Commentaire surWikipédia: « On a notamment proposé la localisation de Sodome sur le site archéologique de Bab edh-Dhra, en Jordanie, découvert dans les années 1920 dans la péninsule d’El Lisan et qui laisse apparaître dans la région les vestiges d'une cité forteresse très ancienne, habitée de 3200 à 1900 avant notre ère. La poursuite des fouilles dans la région a permis de découvrir les vestiges de quatre autres villes, près du plateau jordanien, occupées vers la même époque et dont certaines, Numeira et Bab edh-Dhra, portent les traces d'une destruction brutale due à un tremblement de terre accompagné d'un incendie. Les archéologues W. Rast et R. T. Schaub ainsi que d’autres chercheurs ont pensé identifier Bab ed-Dhra avec Sodome et Numeira avec Gomorrhe mais cette théorie demeure encore largement discutée ». David Neev et Kenneth Orris Emery,The destruction of Sodom, Gomorrah, and Jericho: geological, climatological, and archaeological background, éd. Oxford University Press, 1995.
Reproduction, copie et citation autorisées sous réserve de la mention de l’auteur et de la non modification du présent document.
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Octobre 2012
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