Dutilleul Charles De l’extrême satisfaction de la féminité Popofe karlimage En table de matière Avoir ensemble. Jesais pas de trop de ce qui existe ou pas Ilne suffit pas de ma suffisance que pour en savoir. Commede nombreux lecteurs assidu de Paulette en redemandent à poser de toutes les questions qui peuvent provenir des confins de l'univers J'essaye en tentatives, entre texte qui font partie de constuction aléatoire, et surtout de ses dessins preuves vivantes de son existence. Pour une première Comme de la sensibilité Les fiancés Malgré, l'appréhension générale. Une histoire, une autre de Popofe A savoir ou commence les vies je ne sais, il lui à été nécessaire d’accepter le fait de naître à Ciney, en une période éloignée ou chacun faisait sa vie en son temps. Comme une déterminante surgie de nulle part, elle à parcourus les couloirs et les salles de l’Académie de Namur, et même y trouver un Grand prix, dessin céramique étaient en ses temps sa nourriture quotidienne. Lestrente premières années ont été consacrées au dessin à l’encre de chine, laissant vivre le papier, à se laisser dévoré le temps en échange de sa subsistance.
Je sais pas de trop de ce qui existe ou pas Il ne suffit pas de ma suffisance que pour en savoir.
Comme de nombreux lecteurs assidu de Paulette en redemandent à poser de toutes les questions qui peuvent provenir des confins de l'univers
J'essaye en tentatives, entre texte qui font partie de constuction aléatoire, et surtout de ses dessins preuves vivantes de son existence.
Pour une première Comme de la sensibilité
Les fiancés Malgré, l'appréhension générale.
Une histoire, une autre de Popofe
A savoir ou commence les vies je ne sais, il lui à été nécessaire d’accepter le fait de naître à Ciney, en une période éloignée ou chacun faisait sa vie en son temps. Comme une déterminante surgie de nulle part, elle à parcourus les couloirs et les salles de l’Académie de Namur, et même y trouver un Grand prix, dessin céramique étaient en ses temps sa nourriture quotidienne.
Les trente premières années ont été consacrées au dessin à l’encre de chine, laissant vivre le papier, à se laisser dévoré le temps en échange de sa subsistance.
Le tournant de sa vie est son apparition en un Portugal pleurant encore l’enterrement de son dictateur, moult dessins aux crayons de couleurs et pastel, avec la préoccupation de visualiser une image Californienne de cette région, tout en ne se roulant pas des pétards de quarante mètres de long, couleurs, émotions, pour et les amants déchus de Salazar tentaient de se payer désespérément les clous de leurs cercueils.
Région très particulière, marginale, archaïque, construite de pierre d’âmes simples, d’impossibles espaces, elle y à trouver les ferments de son œuvre, toute rencontre confondue, oiseaux vert, chat errant, femmes éperdues, alcoolique anonyme, fous errant à la recherche de la terre promise, tous ses modèles sous ses regards chaque jour différent.
Dix années de construction en ses univers changeant, et retour à Bruxelles, changement aussi en ses approches, ses techniques et ses nombreuses manières de voir les choses, car cette période qui se continue à pris de la profondeur, peinture à l’huile, acrylique, ambiance enrichie des nombreuses questions que nous pose la vie. Popofe a surtout publié des dessins en des revues de poésies, émaillés sont les parcours de quelques expo, mais apparemment cette question n’est pas sa passion.
Avec le soleil Tout va bien En mes existences
A l'ombre, ils dorment aussi inoffensif En tant que pétales de roses oubliés.
J'en sais rien des regards
J'en sais des présents qui me renouvelle
Qui me donne à l'insatiable envie
De perdurer la nuit des temps Encore pour les soirs Ou plus rien n'existera