Corrigé du baccalauréat S Amérique du Nord mai
8 pages
Français

Corrigé du baccalauréat S Amérique du Nord mai

Le téléchargement nécessite un accès à la bibliothèque YouScribe
Tout savoir sur nos offres
8 pages
Français
Le téléchargement nécessite un accès à la bibliothèque YouScribe
Tout savoir sur nos offres

Description

Niveau: Secondaire, Lycée
[ Corrigé du baccalauréat S \ Amérique du Nord 27 mai 2011 EXERCICE 1 5 points Partie A 1. Pour tout point M du plan d'affixe z, son image M ? par rA a une affixe z ? définie par : z ??i= ei pi 2 (z?i) ou encore : z ??i= i (z?i) ?? z ? = i+iz+1 ?? z ? = iz +1+ i. D étant l'image de C rA, on a donc : d = i(3i)+1+ i=?3+1+ i=?2+ i. 2. De même, pour tout point M du plan d'affixe z, son image M ? par rB a une affixe z ? définie par : z ??(1+i)= ei pi 2 (z?1?i) ?? z ? = 1+i+i(z?1?i) ?? z ? = 1+ i+ iz ? i+1 ?? z ? = iz +2. Donc g = i(?2+ i)+2=?2i?1+2= 1?2i. Enfin pour tout point M du plan d'affixe z, son image M ? par rO a une affixe z ? définie par : z ? = e?i pi 2 z =?iz. Donc h =?i(3i)= 3. 3.

  • ???mc ?

  • affixe z

  • vecteur ??n

  • ?6 mod

  • mod

  • férieure au rayon de la sphère

  • ?up?2 ?

  • p?1 ?

  • ??


Informations

Publié par
Publié le 01 mai 2011
Nombre de lectures 32
Langue Français

Extrait

EXERCICE1
[Corrigé du baccalauréat S\ Amérique du Nord 27 mai 2011
Partie A
5 points
′ ′ 1.Pour tout pointMdu plan d’affixez, son imageMparrAa une affixez π i′ ′ définie par :zi=e (zi) ou encore :zi=i(zi)⇐⇒z=i+iz+1⇐⇒ 2 z=iz+1+i. D étant l’image de CrA, on a donc : d=i(3i)+1+i= −3+1+i= −2+i. 2.De même, pour tout pointMdu plan d’affixez, son imageMparrBa une π ′ ′iaffixezdéfinie par :z(1+i)=e (z1i)⇐⇒z=1+i+i(z1i)⇐⇒ 2 ′ ′ z=1+i+izi+1⇐⇒z=iz+2. Doncg=i(2+i)+2= −2i1+2=12i. Enfin pour tout pointMdu plan d’affixez, son imageMparrOa une π ′ ′ i affixezdéfinie par :z=ez= −iz. 2 Donch= −i(3i)=3. 3.On adc= −2+i3i= −22i et gh=12i3= −22i. Ordc=gh⇐⇒CD=HG⇐⇒CDGH est un parallélogramme. 2 De plusgc=12i3i=15i, donc CG=1+25=26 et 2 hd=3(2+i)=5+i, donc DH=25+1=26. 2 2 On a donc CG = DH⇐⇒CG = DH. Conclusion : le parallélogramme CDGH a ses diagonales de même lon gueur : c’est un rectangle.
Partie B
1.En reprenant les définitions des rotations trouvées dans la partie A, on a : n=im+1+i. De même :p=in+2=i(im+1+i)+2= −m+i1+2= −m+1+i. Enfinq= −im. 2.D’une part :nm=im+1+im=m(i1)+1+i, d’autre part : pq= −m+1+i(im)=m(i1)+1+i. Doncnm=pq⇐⇒M N PQest un parrallélogramme mn m(im+1+i)m(1i)1i [m(1i)1i](1+i) 3. a.= = = = pnm+1+i(im+1+i)m(i1)m(i1)(i1) 2mi+2mi+1 1 = =i+(carM6=Om6=0). 2mm m ³ ´ −−→−→π b.M N PQest un rectangle si et seulement siN P,N M=modπ)⇐⇒ 2 mn est un imaginaire pur. pn
Baccalauréat S
A. P. M. E. P.
1 1 Donc comme i+est un imane peut être un imaginaire que si m m ginaire, c’estàdire simest un imaginaire,M N PQest un rectangle si et seulement sim=αi, avecα6=0 etα6=1, puisqueMne peut être ni O ni en A.
EXERCICE2
Les parties A et B sont indépendantes
Partie A
4 points
Puisque tous les ordinateurs ont la même probabilité d’être choisis la probabilité est égale à : 3! ¡ ¢ 3 3 1 22! ¡ ¢= == = 0, 01. 25 25! 25×12 100 2 2!×23! Partie B
1.On ap(X>5)=1p(X65). Donc : p(X>5)=0, 4⇐⇒1p(X65)=0, 4⇐⇒0, 6=p(X65)⇐⇒0, 6= Z 5h i 5 λxλx5λ5λ λe dx⇐⇒0, 6= −e⇐⇒0, 6= −e+1⇐⇒e=0, 4⇐⇒ 0 0 (par croissance de la fonction logarithme népérien)5λ=ln 0, 4⇐⇒λ= ln 0, 4 . 5 ln 0, 4 3 Orà10 près.0, 183 5 5λ p(X>5) e 2λ0,36 2.Il faut calculer :p(X>3)(X>5)= = =e=e0, 698. 3λ p(X>3) e 3. a.On fait 10 fois le même tirage de façon indépendante. On a donc une loi binomiale de paramètre 10 et 0, 4. La probabilité cherché est donc le complément à 1 de la probabilité de n’avoir aucun ordinateur en état de marche soit : 103 1(0, 6)à10 près.0, 994 b.Avecnordinateurs on a à resoudre l’inéquation : n n 10, 6>0, 999⇐⇒0, 001>0, 6⇐⇒ln 0, 001>nln 0, 6⇐⇒ ln 0, 001 ln 0, 001 n>. Or13, 5. ln 0, 6 ln 0, 6 Le nombre minimal est donc 14 ordinateurs.
EXERCICE3
Partie A : Restitution organisée de connaissances
5 points
Commea+b+c6=0 le barycentre G de A, B et C affectés des coefficients respec tifsa,betcet vérifie : aGA+bGB+cGC=On a donc grâce àla relation de Chasles :0 .
Amérique du Nord
2
27 mai 2011
Baccalauréat S
A. P. M. E. P.
−→−→−→ka MA+b MB+c MCk =k⇐⇒ ka MG+aGA+b MG+bGB+c MG+cGCk =
−→−→ k⇐⇒aGA+bGB+cGC+(a+b+c)MG=k⇐⇒ |a+b+c|°MG°=k⇐⇒ { } °−→° =0 k GM=. |a+b+c| k Cette dernière égalité montre que tous les pointsMsont àla distance |a+b+c| k du point G, donc appartiennent àla sphère de centre G et de rayon . |a+b+c|
Partie B
−→→ −→ −→→ −→ 1.On a BC (0 ; 0), BE 1 ; (1 ; 0 ; 1) d’oùnBC=0+0+0=0 etnBE= 0+0+0=0. −→→ −→ Comme BC et BE ne sont pas colinéaires, on déduit que le vecteurnest normal au plan (BCE). 2.M(x;y;z)(BCE)⇐⇒nBM=0⇐⇒1(x1)+0(y1)+1(z0)= 0⇐⇒x+z1=0. 3.La droite (Δ) étant perpendiculaire au plan (BCE) admet pour vecteur di −→ recteurnet contient E. Une des équations paramétriques est donc : x=0+t M(x;y;z)(Δ)⇐⇒il existetRtel quey=0+0t⇐⇒ z=1+t x=t y=0tR z=1+t 4.Le plan (ABC) a pour équationz=0. Un point est commun à(Δ) et à(ABC) si ses coordonnées vérifient le système :   x=t x=t x= −1     y=0y=0y=0 tR⇐⇒ ⇐⇒ z=1+t1=t1=t     z=0z=0z=0 Il y a donc un seul point commun le point R de coordonnées (1 ; 0 ; 0). µ ¶ 11 0+0 0+0 Or le milieu de [BR] a pour coordonnées ; ;=(0 ; 0 ; 0) : 2 2 2 c’est le point A. Donc R est le symétrique de B par rapport à A. 5. a.SoitGle barycentre des points R, B et C affectés des coefficients res pectifs 1,1 et 2 : ce barycentre existe puisque 11+26=0 et vérifie donc par définition : GR1GB+2GC=0 . Les coordonnées deGsont donc : 1xRxB+2xC xG= =0 ; 2 1yRyB+2yC yG= =1 ; 2 1zRzB+2zC zG= =0. 2 Ces coordonnées sont en fait celles du point D.
Amérique du Nord
3
27 mai 2011
Baccalauréat S
A. P. M. E. P.
b.Comme D est le barycentre de R, B et C affectés des coefficients res pectifs 1,1 et 2, on a donc par définition : 1DR1DB+2DC=0 . En utilisant la relation de Chasles : −−→ −−→ −−→−→−→−→ kMRMB+2MCk =2 2⇐⇒ kMD+DRMDDB+2MD+ −→−→−→ 2DCk =2 2⇐⇒ kDRDB+2DC+MDMD+2MDk =2 2⇐⇒ {z } −→ =0 p −→ k2MDk =2 2⇐⇒DM=2 : les pointsMappartiennent donc à, la sphère de centre D et de rayon 2. Rem. : on aurait utiliser directement le résultat de la R. O. C. 2 2 2 c.On a DB=1+1=2, DE=1+1=2 et DG=1+1=2, d’où DB = DE = DG=2, ce qui démontre que B, E et G appartiennent à l’ensemble (S). d.Calculons la distance du centre de la sphère au plan (BCE) : |0+01 1 2 d(D, (BCE))= = = <2. Cette distance étant in 2 2 1+1 2 2 férieure au rayon de la sphère, ceci démontre que (S) et (BCE) sont sécants selon un cercle, dont le centre est le projeté orthogonal de D sur le plan (BCE) et son rayonrvérifie l’égalité de Pythagore à ! 2 ³ ´ 2 2 1 3 3 2 2 2 r+ =2⇐⇒r+ =2⇐⇒r= ⇐⇒r= = 2 2 2 2 3 6 =. 2 2
E
A
EXERCICE3 Enseignement de spécialité
H
D
F
B
G
C
Partie A : Restitution organisée de connaissances
5 points
Soienta,betc; supposons quetrois entiers non nuls adivise le produitbcet queaetbsoient premiers entre eux.
Amérique du Nord
4
27 mai 2011
Baccalauréat S
A. P. M. E. P.
Il existe donc un entierktel quebc=k a. D’autre part puisqueaetbsoient premiers entre eux, il existe d’après le théorème de Bezout deux entiersuetv tels que :au+bv=1 ou en multipliant parcnon nul : ac u+bc v=cet en remplaçantbcpark a: ac u+k a v=c⇐⇒a(c u+k v)=c. Cette égalité montre queadivisec.
Partie B
1.On calcule :u1=2+3+61=10 ; u2=4+9+361=48 ; u3=8+27+2161=250 ; u4=16+81+1 2961=1 392 ; u5=32+243+7 7761=8 050 ; u6=64+729+46 6561=47 448. n 2.On a : 20 mod 222 ;0 mod n 31 mod 231 mod 2 ; n 60 mod 262.0 mod n n n Doncu=2+3+610+1+0120 mod n unest donc pair. n n n Ou encore 2 et 6 sont pairs ; 3 et 1 sont impairs, donc leur différence est paire et par sommeunest pair. 3.nest pair : il existe donckNtel quen=2k. 2k2k2k k k2k2k On peut donc écrire :u=u=2+3+61=4+9+2×31= n2k k k k k 4+4×9+91. k Comme 40 mod 4, 44 ;0 mod k k 4×90 mod 4 ; k 94, donc 91 mod 4, d’où par somme :1 mod u0+0+11=4, c’est àdire que0 mod uest un multiple de 4. 2k2k 4.On a vu que 2 diviseu, que 3 diviseu, que 5 diviseuet 7 diviseu. 1 2 3 5 Donc 2, 3, 5 et 7 appartiennent à l’ensemble (E) p1 5. a.D’après le théorème de Fermat, 2 étant premier avecp, on a 21 modp. p2p1 Donc 6×2=3×2⇐⇒3 modp. p1 D’autre part 3 étant premier avecp, 31 modp. p2p1 Donc 6×3=2×32 modp. ¡ ¢ p2p2p2 b.Par définition : 6up2=6 2+3+61= p2p2p1 6×2+6×3+66. p2p2 On a vu que 6×23 modp, que 6×32 modpet on a p1 61 modpcar p premier avec 2 et 3 est premier avec 6. Donc 6×up23+2+16 modpsoit 6×up20 modp. c.On vient de démontrer que 6×up20 modp: doncpdivise 6×up2, maispet 6 sont premiers entre eux, donc d’après le théo rème de Gausspdiviseup2. Conclusion : tout entierppremier appartient à l’ensemble (E)
Amérique du Nord
5
27 mai 2011
Baccalauréat S
EXERCICE4
Partie A
A. P. M. E. P.
6 points
1.gsomme de fonctions dérivables sur [0 ;+∞[ est dérivable et sur cet in tervalle : x g(x)=e1. ′ ′ g(0)=0 et pour tout réelx[0 ;+∞[,g(x)>0 par stricte croissance de x0 la fonction exponentielle (x>0e>e>1). Conclusion :g(x)>0 sur [0 ;+∞[, la dérivée ne s’annulant qu’en 0 donc la fonctiongest strictement croissante sur cet intervalle. 2.On ag(0)=101=0. La fonction étant strictement croissante sur [0 ;+∞[, on a, quel que soit x,g(x)>g(0), doncg(x)>0. 3.On vient de démontrer que pour tout réel de l’intervalle [0 ;+∞[, x x g(x)>0⇐⇒ex1>0⇐⇒ex>1.
Partie B 11 e1 1.On af(0)= =0 etf(1)= =1. 1 e1 Comme la fonctionfest croissante sur [0 ; 1], 06x61f(0)6f(x)6f(1)⇐⇒06f(x)61. x x x2x2 e1 e1xe+xe (1x)+x1 2. a.f(x)x= −x= = = x x x exexex x x x e (1x)+(x+1)(x1) e (1x)(x+1)(1x) (1x) (ex1) = = = x x x exexex (1x)g(x) . x ex b.La position relative de la droite (D) et de la courbe (C) sur [0 ; 1] est donnée par le signe de la différence précédente :f(x)x. Or on a vu x sur [0 ; 1],g(x)>0 et ex>1>0. Comme de plus 1x>0, tous les termes du quotient sont positifs, doncf(x)x>0, ce qui signifie que la courbe (C) est au dessus de la droite (D). xx 3. a.En posant :u(x)=ex,u; 1] etest dérivable sur [0 u(x)=e1, u(x) doncf(x)=. u(x) On reconnaît la dérivée de la fonction ln|u(x)|, mais comme on a vu x queu(x)=ex>1>0,|u(x)| =u(x). Conclusion : une primitive sur [0 ; 1] defest la fonctionFdéfinie par ¡ ¢ x F(x)=ln ex. b.On a vu que sur [0 ; 1], la courbe (C) est au dessus de la droite (D), donc l’aire, en unités d’aire, du domaine du plan délimité par la courbe (C), la droite (D) et les droites d’équationsx=0 etx=1 est égale à l’intégrale : Z · ¸1 1 2 x1 [f(x)x] dx F(x)− =F(1)− −F(0)= 02 2 0 ¡ ¢1¢¤£ ¡ 1 1 0 ln e1− −ln e0=ln(e1). (u. a.) 2 2
Amérique du Nord
6
27 mai 2011
  • Univers Univers
  • Ebooks Ebooks
  • Livres audio Livres audio
  • Presse Presse
  • Podcasts Podcasts
  • BD BD
  • Documents Documents