(compte rendu histoire 2nd théâtre antique)
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(compte rendu histoire 2nd théâtre antique)

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IUn art populaire  la porte morale et politique 1- Quellessont les trois grandes ftes annuelles dans lAthnes du Ve sicle? Les trois grandes ftes dAthnes sont : - LesDionysies urbaines - LesLnennes - LesDionysies rurales2- Parquoi dbutaient les ftes? Les ftes dbutaient par une troupe qui dfilait devant le public puis un hraut arrivait en proclamant le nom du pote. 3- Quisont les "Bacchantes"? Quel est leur rle? Les Bacchantes sont des femmes qui clbraient le dieu Dionysos, Bacchus. Les premires taient des nymphes (nourrices de Bacchus). Elles taient des prtresses du culte du dieu Bacchus. Elles clbraient les bacchanales.4- Quitaient les "Satyres"? Quest ce quils incarnaient? Les Satyres, dans leur premire origine, navaient que le plaisir et la joie. Leur rle taient de servir damusement pour les gens de lassemble afin que ceux-ci se reposent aprs leurs travaux. 5- Quelletait la double fonction du thtre dans la Grce antique? Le thtre avait une double fonction. Ctait tout dabord un devoir des citoyens daller au thtre. Les citoyens athniens avaient aussi le devoir de les entretenir quelque peu. Le thtre jouait un rle de distraction mais aussi le devoir dexcuter les cultes religieux. La comdie servait  critiquer la cit et le gouvernement alors que la tragdie permettait de dmontrer la grandeur de la cit et l’importance des lois. IIart rpondant  des rgles prcises Un 1- Pouvez-vousnommer et expliciter les trois grandes parties composant la structure de la tragdie grecque? Le thtre athnien de lantiquit se droulait sur trois grandes parties : - Leprologue avec lentre du cœur (parados) - Entreles actes des sastimas -La sortie du chœur (exedos)1
2- Aquoi servait lOdon? Ce grand btiment (62,4 mtres sur 68,6), dont le toit en bois est soutenu par 90 colonnes, fut construit par Pricls pour abriter les Jeux des Panathnes,  l’est du thtre. 3- Raliserun schma du thtre antique grec.
La skn: ce nest pas notre scne mais le mur du fond,  un ou deux tages.L’autel :du dieu Dionysos Le prosknionqui se dtachait de la skn et o jouaient les acteurs
L’orchestra :partie circulaire au pied de la skn o voluait le chœur
Les parodoipar o entait et sortait le chœur
Le thatron: toute la partie des gradins
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4- Quipouvait assister aux reprsentations thtrales? Existait-il un code particulier pour loccupation des gradins? Le thtre  Athnes ntait pas seulement rserv aux citoyens. Les femmes ne pouvaient pas tre actrices mais avaient le droit dassister aux reprsentations. Les mtques et les trangers avaient aussi le droit dy pntrer. Il est possible que les esclaves aient eu le droit dassister aux reprsentations mais rien ne le prouve. Les bouleutes et les phbes ont des places rserves. Chacune des dix tribus athniennes avait un emplacement  elle. Les places taient offertes par lEtat aux citoyens les plus pauvres (Thtes).Les places du premier rang taient rserves aux prtres et aux magistrats. Les places restantes, au premier rang, taient rserves aux Athniens et aux htes trangers de marque. 5- Commentles dcors taient-ils introduits sur scne? Laction se situe dans un palais, un temple pour la tragdie ou dans une maison pour la comdie. Les murs sont peints sur la skn. Il est certain que les Grecs connaissent le systme de reprsentation en perspective, afin dobtenir un effet proche de la vision humaine. Il y avait peu de changement de lieu : les vnements extrieurs sont simplement raconts par un rcit de messagers. Autres lments de dcor : rochers, statue de dieu, tombeau,... Les dcors sont rutiliss plusieurs fois. Il y avait une grue qui servait  dposer les dieux sur scne ainsi quune plate-forme sur roues permettant de montrer se qui se passait  lintrieur dun btiment. Aux toiles peintes cachant les murs, ou les portes, de la skn et des parasknia, on ajoute progressivement des machineries permettant des apparitions et des disparitions vers le theologeion (deus ex maxima). Certaines apparitions peuvent galement se faire par la porte centrale de la skn, dite “porte royale”, au moyen dun plateau tournant ou roulant, leccyclme. A la fin du Vme sicle av. J.-C., apparurent dans les parodoi deux dcors latraux mobiles, les priactes, peints sur de grands prismes droits triangulaires. On changeait les dcors par simple rotation autour de laxe vertical du priacte, ce qui permettait de montrer trois lieux diffrents. 6- Dfinirbrivement les rgle de la tragdie, de lpope et de la comdie. La tragdie, ou le “chant du bouc”, met en scne le hros  l’instant le plus tragique de sa destine. C’est principalement le chœur qui s’exprime (environ 50 personnes). Le public entoure les choreutes, qui interprtent le dithyrambe (cantiques en l’honneur de Dionysos), pars des attributs du satyre (peaux de bouc) pour voquer l’homme dionysiaque. Lpope trouve son origine des rhapsodes qui, aux VIe et Ve sicles, chantaient des passages saillants de l’Iliade et de l’Odysse. La comdie, ou “chant du cosmos” (cortge de Dionysos), fait prendre conscience au spectateur des problmes majeurs de l’existence par le rire, contrairement  la tragdie qui le fait par la peur. 3
IIIAristophane et Sophocle : prcurseurs des dramaturges classiques du XVIIe sicle? -Raliser une biographie dAristophane et de Sophocle-Nommer quelques unes de leurs œuvres principales
Aristophane est un auteur dramatique de la Grce antique. Il est n vers 450 avant J.-C. et mort vers 386 ; il est sans doute n prs dAthnes et a reu une excellente ducation, sans que lon sache avec certitude de quelle famille il est issu; en tout cas il tait considr comme linventeur de la comdie, et reconnu comme lun des plus grands comiques de la littrature de tous les temps. Ses fils, Philippos, Araros et Nikostratos ont dailleurs suivi son exemple, puisquils sont tous trois devenus des auteurs comiques. Sur le plan des ides, Aristophane tait plutt conservateur : fidle  la tradition, il dfendait des valeurs comme la paix, la sagesse et la franchise. En politique, il nhsitait pas  attaquer la dmocratie athnienne chaque fois que des erreurs taient commises. Les Nues Le thme de la pice est le conflit des gnrations qui oppose un vieil athnien Strepsiade et son fils Phidippide. Elle met en scne Socrate, et cest  ce titre queLes Nuesfurent l’une des pices les plus tudies depuis l’Antiquit Les Gupes Deux esclaves surveillent la maison de Philoclon pour empcher quil ne schappe. Celui-ci tente divers stratagmes, qui chouent. Le chœur des jurs, dguiss en gupes, vient  la rescousse de Philoclon mais Bdlyclon intervient  temps. Sensuit une joute entre le pre et le fils, au terme duquel le fils est dclar vainqueur par le chœur. Philoclon se voit offrir de juger un chien pour vol. Aprs une dispute, Philoclon accepte loffre de son fils de prendre part  un banquet. Il en revient mch et avec une prostitue
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Sophocle, qui a vcu de 496  406avant J.-C.,cest un pote tragique grec, contemporain dEschyle et dEuripide. N  Colone, qui fait aujourdhui partie dAthnes, il reoit lducation traditionnelle des jeunes gens issus dune famille riche.  lge de seize ans, il dirige un chœur de jeunes hommes qui clbre la victoire de Salamine. Douze ans plus tard, en 468 avant J.-C., il dtrne son an Eschyle dans un concours de tragdies:  partir de cette date, il remportera encore vingt fois le premier prix, plusieurs fois le deuxime, avant dtre dpass  son tour par Euripide en 441 av. J.-C. Antigone Crn, nouveau roi de Thbes, aprs avoir proclam se vouer au bien de la cit, prend sa premire dcision politique. Celle-ci vise spcifiquement ses nices, particulirement Antigone (interdiction daccomplir les rites funraires pour leur frre Polynice), sa future belle-fille quil qualifie de «folle de naissance», retourne ainsi  un destin familial vou au malheur qui semble dfinitif. Antigone, par amour pour ce dfunt frre, mprise le dcret.  travers cette preuve, la parole de ce tout nouveau roi se rvle sans autorit. Cette faillite se termine dramatiquement par trois suicides qui anantissent le roi.
Oedipe roi
Cruaut du sort qui amne Oedipe  commettre  son insu lacte criminel prdit par loracle ! Averti arDel hesuil tuerait sonre et ouserait sa mre, il fuit les lieux de son enfance, esprant ainsi prserver Polype et Mrope, ses parents prsums... Que ne lui a-t-on dit, hlas, uiltait le fils de Laos ! Inorant du drame ancien, aveul arle hasard, Oedie court  saerte. Il tue un voa eurui lui barre la route, libre Thbes de la Shin e, ouse la reine de la cit, occupe le trne royal et accomplit son terrible destin.
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