LA PUBLICITÉ DANS LES JOURNAUX une solution quand tout va bien, et quand tout va mal Quand tout va bien « Un avion vole à environ 300 milles à l’heure. Quand tout va bien, la publicité aide les ventes à garder le cap. Pourquoi le pilote ne coupe-t-il pas les gaz pour Une étude par l’Advertising Research Federation et l’American laisser l’avion continuer sur sa lancée? » Business Press mesurait la rentabilité de produits annoncés dans - William Wrigley, expliquant pourquoi il a continué d’annoncer autantles journaux selon diverses fréquences (beaucoup et peu). Selon même quand son produit était déjà très connu (et si populaire) cette recherche, un produit annoncé plus souvent rapporte des profits plus élevés! Et quand tout va mal « Les auditeurs qui sont vraiment intéressés devraient lire un des meilleurs journaux demain »De la même façon, dès que le vent commence à tourner (récession, guerre, ou autres) certains annonceurs coupent leur publicité en se - Dan Rather, présentateur d’un journal télévisé, faisant référence à la grande disant qu’ils doivent resserrer les rangs, couper les dépenses (c’est- nouvelle de la journée : la controversée recherche sur les cellules souches à-dire la publicité) et essuyer les tempêtes. Des études comme celle effectuée récemment par McCann Erickson, ont découvert que les annonceurs qui continuent d’annoncer en périodes difficiles ont de meilleurs résultats à long terme.