UN COUTEAU SUISSE A L HOPITAL
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Description

1 Alexis Miquel UN COUTEAU SUISSE A L'HOPITAL Hôpital Lapeyronie, Montpellier, 15-17 février 2008 Cette histoire commence à l'hôpital. Quand je suis arrivé, je me suis senti mieux. Mon petit pied aussi. Je voyais des personnes malades, comme moi. Des infirmières m'ont installé dans une chambre. Elle était grande, décorée par des Pokémon et d'autres personnages. Sur les murs blancs, une télé était accrochée. Il y avait plein d'appareils : un écran qui mesurait ma respiration, des espèces de thermomètres et quelque chose qui me faisait grossir le bras pour prendre ma tension. Je pouvais soulever mon grand lit grâce à une télécommande. Avant mon opération, on m'a donné des médicaments pour m'endormir. Ils avaient mauvais goût. Quand je me suis retrouvé dans la salle de réveil avec ma maman, je ne savais pas que j'avais été opéré. Mais ma maman me l'a dit. Ensuite, nous sommes montés dans ma chambre, numéro 922, et mes parents m'ont donné des cadeaux : un

  • personnages dessinés sur le mur

  • beau pied

  • dit

  • espèce de scie

  • porte jaune de la salle de bains

  • ton pied bot


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Informations

Publié par
Publié le 01 février 2008
Nombre de lectures 74
Langue Français

Extrait

Alexis Miquel UN COUTEAU SUISSE A L’HOPITAL Hôpital Lapeyronie, Montpellier, 15-17 février 2008
Cette histoire commence à l’hôpital. Quand je suis arrivé, je me suis senti mieux. Mon petit pied aussi. Je voyais des personnes malades, comme moi. Des infirmières m’ont installé dans une chambre. Elle était grande, décorée par des Pokémon et d’autres personnages. Sur les murs blancs, une télé était accrochée. Il y avait plein d’appareils : un écran qui mesurait ma respiration, des espèces de thermomètres et quelque chose qui me faisait grossir le bras pour prendre ma tension. Je pouvais soulever mon grand lit grâce à une télécommande. Avant mon opération, on m’a donné des médicaments pour m’endormir. Ils avaient mauvais goût. Quand je me suis retrouvé dans la salle de réveil avec ma maman, je ne savais pas que j’avais été opéré. Mais ma maman me l’a dit. Ensuite, nous sommes montés dans ma chambre, numéro 922, et mes parents m’ont donné des cadeaux: un
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