é d i t i o n d e P o i n t s d   i m p a c t
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Description

cp, Primaire, CP
  • exposé
1R ue Lissignol 10, cp 1963, C H -1211 G enève 1 tél. 022 731 04 41 info@ pianonobile.ch w w w .pianonobile.ch Av e c o u s a n s p a r o l e dans le cadre de WHO'S AFRAID OF PERFORMANCE ART? Artistes invités: Céline Ahond (FR), Jean-Marc Chapoulie (FR), Pamina de Coulon (CH), Brigitte Dätwyler et Boris Brüderlin (CH), Andrés Galeano (ES), Zacek/ Köppl (CH), Nina Langensand et Thomas Köppel (CH), Chloé Maillet et Louise Hervé (FR
  • ancien bâtiment industriel
  • lieu de recherche et de création pour la jeune création
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Langue Français
Poids de l'ouvrage 1 Mo

Extrait

PianoNobile
Rue Lissignol 10, cp 1963, CH-1211 Genève 1 tél. 022 731 04 41 info@pianonobile.ch www.pianonobile.ch
ème6 édition de Points d’impact
A vec ou sans par ole dans le cadre de WHO’S AFRAID OF PERFORMANCE ART?
Artistes invités:
Céline Ahond (FR), Jean-Marc Chapoulie (FR), Pamina de Coulon (CH),
Brigitte Dätwyler et Boris Brüderlin (CH), Andrés Galeano (ES), Zacek/
Köppl (CH), Nina Langensand et Thomas Köppel (CH), Chloé Maillet et
Louise Hervé (FR), Andrea Marioni (CH), Loreto Martinez Troncoso (ES),
Ceel Mogami de Haas (NL), Rabih Mroué (LB)
Conférences:
Paul Bernard (FR), Alexis Guillier et Sébastien Rémy (FR)
11-15 novembre 2011
Performances 11-13.11
Conférences 14-15.11
Entrée libre
Bar et petite restauration chaque soir
Ouverture des portes et du bar une heure avant le début des performances
Le Commun, Bâtiment d’Art Contemporain
Rue des Bains 28, Genève
Programmation: Marie-Eve Knoerle et Jeanne Macheret
Contact presse: contact@pianonobile.ch / +41 76 395 05 01 1
Avec ou sans parole
6ème édition de Points d’impact (Piano Nobile)
Sommaire:
page 3: historique du festival Points d’impact
page 4: introduction et présentation de la programmation 2011
page 5: programme Avec ou sans parole
Présentation des artistes et des performances
page 6: Céline Ahond
page 7-8: Jean-Marc Chapoulie
page 9: Pamina de Coulon
page 10: Brigitte Dätwyler et Boris Brüderlin
page 11: Andrés Galeano
page 12: Zac̆ek/Köppl
page 13: Nina Langensand et Thomas Köppel
page 14: Chloé Maillet et Louise Hervé
page 15: Andrea Marioni
page 16: Loreto Martinez Troncoso
page 17: Ceel Mogami de Haas
page 18: Rabih Mroué
Conférences
page 19: Paul Bernard
page 20: Alexis Guillier et Sébastien Rémy
page 21: contacts et informations pratiques
photographie de couverture: Error404, performance d’Andrea Marioni présentée au GRÜ - White Box, Genève, en juin 2011.
Crédits prhotographiques: HEAD - Genève 2Historique du Festival Points d’impact performé. Des pièces dont le son est l’élément central, des pièces plus chorégraphiées,
l’exploration de la forme de la conférence étaient présentes dans cette édition. Le
2005 corps de l’artiste engagé dans un processus dont la fnalité est une sculpture, avec
La première édition mettait en parallèle des performances et des performances vidéo; une économie de moyens, était aussi un élément clé. Enfn, deux performances se
ces dernières donnaient à voir une action réalisée par un artiste pour l’oeil de la caméra. déroulaient dans l’espace public, l’une de longue durée dans un parc public, l’autre
L’espace Duplex, ancien espace artisanal situé derrière la gare utilisé pour des concerts dans un contexte qui accentuait l’aspect incongru de la pièce.
et des expositions, était investi. Ses deux étages aux confgurations très différentes,
ainsi que le parking extérieur permettaient de larges possibilités d’interventions.
Une exposition documentaire à Piano Nobile était consacrée aux archives de la perfor-
mance et elle invitait Forum Itinérant (Strasbourg), Kaskadenkondensator (Bâle), Live
Art Agency (Londres) et Perforum (Zurich)
2006
L’accent a été mis sur des performances sonores: la plasticité du son travaillé selon
une facture performative. Un autre aspect de cette édition a été le développement d’un
travail sur la durée: un groupe d’étudiants de la HEAD (atelier Josep Maria Martin) a
investi le lieu durant les trois jours avec actions, conférences et installations. Tous les
soirs, un duo d’artistes canadiens a réalisé une performance développant à chaque
fois un autre aspect in situ. C+H, Cartes postales en provenance du
Points d’impact se déroulait dans un ancien complexe industriel situé au confuent du futur, 2007
Rhône et de l’Arve. L’Usine Kugler, ancienne manufacture de robinets, présente une
Nino Baumgatrner, Blind side, 2008salle d’environ 80 m2 coiffée d’une verrière. S’inscrivant dans le prolongement de la
salle, une cour intérieure était également exploitée par les artistes.
En parallèle, une exposition réalisée à Piano Nobile regroupait vidéos et dessins docu- 2009
mentant des actions artistiques dans l’espace public. Le vaste espace ouvert du Bâtiment d’Art Contemporain (BAC), ancien lieu industriel,
a été investi pour cette cinquième édition comme un plateau où plusieurs «scènes»
préparées s’activaient successivement et guidaient le spectateur dans son parcours.
À l’instar des années précédentes, le festival a tendu à rendre visible différentes
approches de la performance contemporaine par le biais de trois générations d’artistes,
certains ayant démarré leur carrière artistique dans les années 1970. Issus de diverses
niches culturelles et socio-politiques, ces artistes ont choisi ce médium comme une
forme d’indépendance, une posture rebelle, résistant à un système de présentation
ou à certaines conventions du marché de l’art. Le déroulement des performances
s’articulait par des jeux d’affnités et de contrastes. En outre, le festival proposait une
approche théorique qui se déclinait en un atelier et deux conférences.
Katia Bassanini, Mon oeil, 2006 Katja Schenker, Wirbel, 2005
2007
Des performances issues de l’expérience théâtrale et une carte blanche donnée à une
curatrice polonaise qui travaille régulièrement dans le contexte du théâtre ouvraient
de nouveaux champs. Un groupe d’artistes a investi l’espace public lors d’une perfor-
mance en trois volets.
Le lieu choisi, MottattoM, situé non loin du quartier des Nations à Genève, est un
ancien bâtiment industriel reconverti en ateliers d’artistes et d’artisans, qui se décline
sur deux étages. Outre la grande salle d’une surface de 400 m2 qui accueillait les
performances, l’espace offrait de nombreuses possibilités annexes.
2008
La quatrième édition se déroulait dans le contexte domestique d’une villa bourgeoise
reconvertie en espace culturel, créant des relations intimistes entre les performances
et le public: la Villa Dutoit. La programmation intégrait pour la première fois le texte Anne-James Chaton & Andy Moor, Transfer, 2009 3Avec ou sans parole
6ème édition de Points d’impact (Piano Nobile)
dans le cadre de WHO’S AFRAID OF PERFORMANCE ART?
Performances du 11 au 13.11
Conférences les 14 et 15.11
Programmation: Marie-Eve Knoerle et Jeanne Macheret
WHO’S
festival de performances Depuis 2005, le festival «Points d’impact» atteste d’un intérêt pour le
médium de la performance à l’intérieur du programme de Piano No-
bile. Au fl des éditions, un large éventail de possibles a été déployé, AFRAID OF rendant compte de la variété et de la richesse des pratiques liées à un 11—27.11.2011 domaine souvent transversal, à la frontière entre théâtre, littérature,
danse, arts plastiques ou même cinéma. «Points d’impact» poursuit
également la volonté de mêler des travaux d’artistes confrmés à ceux PERFOR d’artistes en début de parcours.
piano nobile / ex-machina / grü—transthéâtre
Cette sixième édition, pointant sur une récurrence de la performance
actuelle, accorde une attention particulière à des «fgures de narra-MANCE
teurs», en parallèle à quelques démarches dont la forme est davantage au commun / bac / rue des bains 28, genève
«plastique». Des «espaces discursifs» sont en jeu: les artistes prennent
la parole, explorent les registres de l’art oratoire en s’appuyant sur des
sources scientifques ou d’autres documents et hypothèses person-ART
nelles. Si la parole constitue elle-même l’action dans les situations re-www.waopa.ch
jouées telles que la conférence, la visite guidée, ou encore le discours
d’inauguration, les performances de cette programmation se créent ? aussi au travers d’objets manipulés, d’images ou encore de gestes
simples; pratiques fragmentaires du récit.
Deux conférences amèneront un point de vue théorique et historique
sur des «fgures de narrateurs-conférenciers-performeurs», des pra-
tiques de l’oralité et sur des dispositifs spectaculaires qui leur sont
associés.
421h30 — 30’Programme Avec ou sans parole
Nina Langensand & Thomas Köppel (CH)
Comment savoir quand arrêter de faire quelque chose? 2011
22h — 30’
Jean-Marc Chapoulie (FR)
Monsie

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