Eden de ton sourire
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Poème : Eden de ton sourire Mes yeux pleurent d’un bonheur infini de contempler l’Eden de ton sourire, Comme une source de l’eau vive, la lumière éclatante de ton corps ruisselant Le miel

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Publié le 19 février 2013
Nombre de lectures 369
Licence : Tous droits réservés
Langue Français

Extrait




Poème : Eden de ton sourire
Mes yeux pleurent d’un bonheur infini de contempler l’Eden de ton sourire,
Comme une source de l’eau vive, la lumière éclatante de ton corps ruisselant
Le miel d’éternité, comme l’oiseau de l’aurore dans une ville sans clarté.
Ton corps, une lune de ma plume, est une terre envoûtante de ses richesses !

Ton retour est pareil aux visions de la Vierge Marie, la mère des pauvres.
Ton parfum qui déchire les déchirements de mon cœur rêveur,
Ma passion, une flamme pour tes yeux bleus d’espoir, candides d’infidélité.
Tes ongles comme le rouge des becs, une ville de convoitise aimable.
Ma violence, un feu et une épine, trouble les solitudes des nuits rouges

Le rosier de ton corps est miroir de mes joies enivrantes. Ô distance lointaine !
Aude, ton visage est une mer qui agite le calme et la solitude de mes rêves sans
une compagne, sans cri de rossignol, sans une voix et sans une lèvre rouge.

Ton sourire, une rose et un don céleste. Ta beauté angélique faite de Vénus et
d’Ebène, un jardin des rois. Toute ta présence n’est ni malheur, ni laideur ni
haine pour l’œil en tristesse et en deuil de regarder les trésors secrets de ton
sourire

La conquête de ton corps ouvre les portes close de l’Eden. Si tu étais une amande
ou une pomme, mon cœur de mouche reposerait ses rêves sur ce grand festin. La
lumière féconde la terre, ton apparition féconde les esprits captifs dans une terre
froide.

Tout dans ton corps, tout sur ton corps, est beautés et délices éternelles. Ton
corps est sans doute un don d’une possession nuptiale, un vivant bonheur sans fin
comme les gouttes d’un grand océan semé d’azur et d’agitation éternelle.

Si on ne se rencontre pas, le plus beau cadeau que je te dédie, est ce poème
comme mémoire vivante de ta beauté. Je ne pouvais pas comprendre tout au long
de mon existence les secrets de la lumière cachée par ton sourire.

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