Crains qu’un jour un train ne t’émeuve plus (Apollinaire.)
Comme il y a une InterteXtualité, il y a une Intertranité : prendre le train, c’est le prendre avec tous ceuX qui l’ont pris avant vous (Marc Brisset.)
L’ancienne gare de Cahors(Larbaud.)
Les trains ont un but ; la vie n’en a pas. Mais c’est précisément l’originalité de la vie de n’en pas avoir, de but. Parfois je lui trouve, ainsi qu’à une vieille dentelle, le charme même de l’inutilité (Gourmont.)
Qui trop embrasse manque le train (A. Vermot.)
AuX aiguilles le train oublie le refrain et bafouille. Nous sommes gobés par la gare comme un œuf (Mo-rand.)
24. — DEKOBRA (Maurice),La Madone des Sleepings.Ro-man cosmopolite.Paris, Editions Baudinière, 1925. In-12 br. 307 pp. E.O. Envoi :« A José de Bérys, au Prince des Revuistes ce ro-man écrit chez le garde-barrière du P.O. Très amicalement. Maurice Dekobra. » — On joint :Une carte postale et une carte de visite autogra-phes du même au même. Remerciements. 40€(catalogue d’À la Venvole.)
L’hiver, nous irons dans un petit wagon rose (Rimbaud.)