Pourquoi faut-il, dans un siècle de gloire, Mes vers et moi, que nous mourions obscurs !… Que demander à qui n'eut point de maître ? Du malheur seul les leçons m'ont formé, Et ces épis que mon printems voit naître Sont ceux d'un champ où ne fut rien semé. BÉRANGER
Éphémère première - Aux littérateurs du pays Éphémère deuxième - Le Talent et l’Envie Éphémère troisième - Épithalame Éphémère quatrième - Amour et Douleur Éphémère cinquième - Déception et Tristesse Éphémère sixième - Ode à Béranger Éphémère septième - Mosaïque Éphémère huitième - Le Délire Éphémère neuvième - À Mademoiselle Adèle *** Éphémère dixième - Sur la mort de H. Boussuge Éphémère onzième - Épître Éphémère douzième - À Corinne *** Éphémère treizième - Désenchantement Éphémère quatorzième - À Madame C*** Éphémère quinzième - Le Départ Éphémère seizième - Réponse Éphémère dix-septième - Prière Éphémère dix-huitième - Mélancolie Éphémère dix-neuvième - Au Dr. P. A. Lambert Éphémère vingtième - Sur les charmes de la solitude Éphémère vingt-et-unième - À Barthélemy Éphémère vingt-deuxième - À mon grand-père Éphémère vingt-troisième - Le poète souffrant Éphémère vingt-quatrième - À mon père et à ma mère