Études critiques sur le feuilleton-roman

Alfred François Nettement

Description

* Malode Saint ^-4î ^•V»- PR IX.^ ^/'^i=%-^ '^^ m,^. CRITIQUESÉTUDES FEUILLETON-ROMiN rc^- ;^3fioiTiH0 i:ï filMim-YlOTllUl^Vl pa^iutt»^P'"^^ 2.TTPOORArtUB LACRAMCE ET COUP.. CRITIQUESTUPES FEÔttLETON-ROMAN M. ALFRED NETTEMENT —LE JUIF ERRANT. LES MYSTERES DE PARIS. LES MÉMOIRES DU DIABLE. PARIS LIBRAIRIE DE PERRODIL, ÉDITEUR, 241, PLACE DU PAT.AIS-ROYAL. 1845 ' INTRODUCTION, devantures; dans les églises, oii l'on dore jusqu'aux confessionnaux le repentir etoù doivent s'agenouiller l'humilité sur les fontaines de nos places publiques, et; jusque dans les funérailles hommes les plus igno-des luxe, etrés. Un enterrement est devenu une chose de la mort, cette fin de toutes les vanités, une vanité de plus, l'occasion d'un nouveau développement deet goût ef-toutes les superfluités de la magnificence. Ce fréné de parure qui se manifeste dans les vêtements, ameublements,dans l'architecture des églises, dans les dans la décoration des appartements et dans les fêtes, est descendu, de proche en proche, jusqu'au cercueil. queOn a des enteriements parés et coquets on exige; la mort ait du savoir-vivre, et l'on enjolive jusqu'au néant. furent sui-Jamais funérailles plus brillantes ne profondvies de deuils moins longtemps portés. Ce signe de l'affaiblissement sens moral, l'oubli des mortsdu portera pascommence à se répandre, et bientôt on ne certainplus longtemps deuil d'un père, dans unle monde, que d'un gouvernement.

Informations

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• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 29 Mo

Extrait

* Malode Saint
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'^^m,^.CRITIQUESÉTUDES
FEUILLETON-ROMiN
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filMim-YlOTllUl^Vl
pa^iutt»^P'"^^ 2.TTPOORArtUB LACRAMCE ET COUP..CRITIQUESTUPES
FEÔttLETON-ROMAN
M. ALFRED NETTEMENT
—LE JUIF ERRANT. LES MYSTERES DE PARIS.
LES MÉMOIRES DU DIABLE.
PARIS
LIBRAIRIE DE PERRODIL, ÉDITEUR,
241, PLACE DU PAT.AIS-ROYAL.
1845'
<-;,, nH
PS
^.il/-:Goritz, le 16 avril 1845.
Études cri-Monsieur, vosviens de recevoir,Je
extraits qu'enligues sur lefeuilleton-roman. Les
le désirontpubliés les journaux m'avaient inspiré
remarquabledé connaître dans son ensemble ce
travail, et je vous remercie de me l'avoir envoyé.
Vous la dé-avez consacré votre beau talent à
fense des di-saines doctrines, et.vous remplisseiiil
gnement la noble mission que votre zèle vous a
imposée. aimeJ qu'un homme tel que vous rap-
pelle à la France tout ce qu'elle doitde véritable
gloire aux génies si élevés et si purs qui ont tant
contribué à illustrer le siècle de Louis XIV.
Recevez, Monsieur, l'assurance de mon estime
et de mon affection.
HENRY.
A M. NeUemenLAlfred
Il a des croix que Ton refuse ou que Ton oublie dans ley
en esttiroir d'un secrétaire; il d'autres que l'on porte avec
du Ellefierté ; celle-ci est nombre. a d'autant plus de prix aux
l'auteur et il s'en pare avecyeux de plus de complai-
qu'elle vient de l'exil. U avait envoyé àsance Henri de France
exemplaire du livre tout moral et tout littéraireun donton pu-
avaitblie une nouvelle édition, et joint à cet envoi U lettre qui
suit:
a Monseigneur,
«Je saisqueVotre AltesseRoyale ne reste indilTérente à aucun
des effortsqui sont tentés dans l'intérêt de lacause du vrai et du