L'art de la gastronomie

Bthenet

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Comment bien manger?

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• Publié par: jamie
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Extrait

L’ARTDE LA GASTRONOMIE PAGE1/2 Laissezvous charmer par l’atmosphère de cette ville où tout est gourmandise, tantôt pour les yeux, tantôt pour les papilles. Car entre tous les arts, celui du bien vivre fait l’orgueil de Lyon et son renom dans le monde entier. Avecde restaurants étoilés, de chefs célèbres, de brasseries au décor centenaire, de cafés nombre comptoirs, quel que soit votre penchant, vous êtes servi. Autour de chaque table, Lyon décline à l’infini, d’une manière traditionnelle ou inventive, les trésors de ses terroirs voisins. Une symphonie de saveurs et de couleurs que l’on retrouve au gré des étals de marchés de plein air qui fleurent bon déjà le Sud, ou dans les Hallede Lyon Paul Bocuse, un marché couvert permanent ou se ravitaillent les grands chefs. Mais à Lyon,s tradition rime aussi avec innovation. La ville fait sa révolution culinaire avec l’ouverture de nouveaux restaurants à thèmes, nés de l’imagination de cuisiniers porteurs de concepts pionniers. Déco chic ou choc, esprit différent, cuisine plus légère, mélange sucré salé, chaud et froid, mix de couleurs, la cuisine se fait spectacle pour la plus grande joie des Lyonnais et de leurs hôtes. Et surtout, Lyon réveille en vous ce côté épicurien, ce goût pour les bonnes et belles choses où l’art de vivre atteint la distinction. Attablé devant l’une des nombreuses créations culinaires des chefs lyonnais, vous retrouverez des saveurs de votre enfance dans ces bons produits des terroirs alentours, le tout accompagné d’un des nombreux crus célèbres de la vallée du Rhône*. Célèbre depuis des siècles, la gastronomie lyonnaise doit beaucoup aux femmes, en particulier depuis le XVIII siècle où les « mères » tenaient table ouverte pour les Compagnons du tour de France, jouant un rôle essentiel dans l’édification d’un savoirfaire culinaire. On compte près de1500 restaurants à Lyon! > Les bouchons ou la tradition culinaire lyonnaise L’origine du terme bouchon remonte à l’époque où les auberges servant du vin en dehors des repas se signalaient par un bouchon de paille accroché à leur enseigne. Ce signe était lié à l’arrêt habituel des malles postes et diligences devant les auberges. Ainsi, pendant que l’on bouchonnait les chevaux, les cochers étaient invités à venir boire. Dans certains bouchons lyonnais, on peut encore déguster unmâchon, cassecroûte pris en dehors des heures habituelles de repas. Jadis, les canuts partageaient d'une façon très conviviale avec le fabricant ou le négociant le "mâchon", principalement composé de charcuterie arrosée de Beaujolais*. * à consommer avec modération

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