Souvenez-vous : au lendemain des élections et après une dernière soirée dans l'hôtel particulier de Carla situé dans le XVIe arrondissement, le couple s'envolait pour Marrakech à destination d'une résidence mise à sa disposition à Marrakech par le roi Mohammed VI. Alors que certains spéculaient sur un riad qui aurait été offert à l'ancien président, il n'en est rien, le couple était bien invité par le roi du Maroc. Au coeur de la palmeraie, Carla, Nicolas et leur petite Giulia, née en octobre, ont donc profité du soleil. L'ancien président a, comme toujours, fait beaucoup de sport et du quad, son nouveau dada. Pendant leur séjour, ils ont reçu la visite d'Isabelle Balkany et des fils aînés de Nicolas, Jean et Pierre Sarkozy. Mais comme toutes les bonnes choses ont une fin et après deux grosses semaines de vacances bien méritées, les Sarkozy sont finalement rentrés en France. Et ni une ni deux, Nicolas Sarkozy a enfilé ses baskets pour un petit footing. Sous la protection de deux agents de sécurité, l'ex-numéro 1 de la France s'est vidé la tête. En polo rouge, le teint bronzé et une barbe de trois jours, il est assez différent de l'image qu'il renvoie d'habitude : moins austère, moins strict, on le prendrait presque pour un aventurier ! Cette sortie lui a permis de se rendre compte qu'il était toujours populaire auprès de certains Français. Nicolas Sarkozy a donc posé pour des photos et signé quelques autographes. Pendant ce temps, Carla était photographiée devant son
domicile, très souriante. Le couple devrait passer le mois de juin à Paris avant de rejoindre le Cap Nègre. Et maintenant ? On sait déjà que Carla va terminer son quatrième album pour le sortir probablement cet automne. Quant à Nicolas Sarkozy, il ne devrait pas s'exprimer sur son avenir avant le mois de septembre. Il devrait, en toute logique, siéger au Conseil constitutionnel, une place à vie octroyée à tous les anciens Présidents de la République française. Ironie du sort, il devrait occuper un bureau qui fait face à celui de son meilleur ennemi, Jean-Louis Debré. L'ancien président aura donc à juger les lois qui seront initiées par celui qui l'a battu, François Hollande. Il va y avoir de l'ambiance !