Revue des périodiques  ; n°40 ; vol.8, pg 387-397
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Revue d'histoire de l'Église de France - Année 1922 - Volume 8 - Numéro 40 - Pages 387-397
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Publié le 01 janvier 1922
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Revue des périodiques
In: Revue d'histoire de l'Église de France. Tome 8. N°40, 1922. pp. 387-397.
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Revue des périodiques. In: Revue d'histoire de l'Église de France. Tome 8. N°40, 1922. pp. 387-397.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/rhef_0300-9505_1922_num_8_40_2244DES PÉRIODIQUES REVUE
Bulletin de la Société nationale des Antiquaires de France. 1920.
M. Aubert : Monument funéraire du chanoine Pierre de Fayel
à N.-D. de Paris, p. 297-228. Petit monument récemment entré au
musée du Louvre et ayant jadis appartenu aux parties détruites de
la clôture du chœur de N.-D. de Paris. Il représente un chanoine
agenouillé, en costume' de diacre, qui, d'après une inscription, doit
être Pierre de Fayel, chanoine de Paris, mort en 1344.
Ch. Barbarin ; Bas-relief de N.-D. de Pitié au musée du Louvre*,
p. 246-247. Recueilli au musée des monuments français, par Alexan
dre Lenoir, ce bas-relief provient de l'église Sainte-Geneviève de
Paris et le donateur figuré aux pieds de la Vierge n'est autre que
Philippe Le Bel, abbé de cette! église», mort en 1558.
Ch. Barbarin : Missel du cardinal de Givry, p. 165. Missel exé
cuté vers le milieu du xvie siècle pour le cardinal de Givry dont le
portrait se trouve parmi les enluminures de ce manuscrit.
Mgr Batiffol : L'origine de la mitre des évêqués, p. 193. Mgr
Batiffol réfute l'opinion des auteurs qui pensent trouver l'origine de
la mitre dans le mot « corona » employé par saint Augustin. Get
insigne episcopal n'apparaît en effet que beaucoup plus tard et le
mot « corona » n'est au temps de l'évêque1 d'Hippone qu'une ex
pression emphatique at protocolaire.
Villeneuve^' Archevêque, A. Boinet : Portail nord de l'église de
p. 147i-148. du xnie siècle dont la sculpture, tant par le faire
que par les sujets représentés, décèle des influences rémoises et
sénonaises.
P. Beaufils : Pierre tombale de l'église de Craches, p. 145-147.
Il existe dans cette église une dalle sépulcrale donnant l'effigie de
deux curés décédés au cours du xvi* siècle. M. Beaufils montre
qu'en la circonstance, le graveur ne s'est nullement astreint à cher
cher la ressemblance puisque les deux visages s'ont absolument
identiques. C'était d'ailleurs une habitude chez les tombiers ; tou
tefois, ainsi que le fait remarquer M. P. Vitry, il y a de nombreuses
exceptions à cette règle.
Deneux-L. Demaison ; Chronologie des maîtres d'œuvre de la ca
thédrale de Reims, p. 196-231, 236-242. M. Deneux, architecte de la
cathédrale, expose l'opinion qu'il s'est formée sur l'ordre dans l
equel il convient de placer les maîtres d'œuvre dont les noms et les
images étaient gravés dans le « labyrinthe » aujourd'hui détruit. M.
Demaison, répondant à M. Deneux indique les raisons pour lesquel
de les tenir il lui compte semblé de qu'il l'emplacement n'y a pas lieu, occupé au point par de les vue effigies chronologique, des archi
tectes dans le labyrinthe. II maintient que Jean d'Qrbais d/ojt çonti- .
REVUE D'HISTOIRE DE i/ÉGLISE DE FRANCE 388
nuer à être considéré comme le premier de ces maîtres d'œuvre et
non le troisième ; il montre que les copies des inscriptions du l
abyrinthe sont loin d'être sans valeur.
F. Deshoulières-À. Mayeux : Bases des colonnes des cathédrales
de M eaux et de Chartres, p. 114-118, 135. M. Deshoulières, classant
les divers types de bases qui sont dans la cathédrale de Meaux, es
time que cet élément peut être d'un grand1 secours pour discerner
les trois campagnes entre lesquelles se répartit l'ensemble de la
construction de cette cathédrale. M. Mayeux qui à procédé à un
travail analogue sur des bases de la cathédrale de Chartres est, au
contraire, d'avis que la grande diversité des profils dé bases que
l'on remarque à Chartres et dans beaucoup d'autres édifices ne
permet pas de se fier à ces détails pour établir la chronologie d'un
monument.
C. Enlart : Architecture gothique en Corse, p. 267. M. Enlart
passe en revue les édifices gothiques de la églises et clochers
notamment j qui se trouvent en majeure partie dans les environs de
Bonifacio et dénotent un art d'importation génoise1.
E. Lefevre-Pontalis : Sculptures romanes en Tourainë, p. 131,
141, 309. M. Lefèvre-Pontalis fait ressortir l'intérêt d!e magnifiques
chapiteaux romans appartenant à l'église ruinée du prieuré de
lisle-Bouchard ; il signale dans d'autres églises, de cette région îe
remploi de sculptures de l'époque carolingienne semblables à cel
les dont M. Deschamps a constaté la présence sur les faces du clo
cher de l'église de La Charité-sur-Loire. ; •
F. Pasquier : Chapelle Saint-Roch à Toulouse, p. 243-244. M. P.
attire l'attention des archéologues sur la situation où se trouve la
chapelle Saint-Roch, à Toulouse, petit édifice de date très reculée,
élevé sur des constructions gallo-romaines et qu'il est question de
démolir pour agrandir la place voisine.
Max Prinet : Eglise Saint-Etienne-du-Mont à Paris, p. 136. M*
Max identifie les blasons qui se voient sur deux colonnes
placées dans la chapelle de la Vierge ; ce sont les armes dei Guilr
laume Le Duc, abbé de Sainte-Geneviève, de 1517 à 1534.
Paul Vïtry : Sculpture à la cathédrale de. Reims, p.- 140. M. Vitry
étudie une Présentation de la Vierge, logée aujourd'hui dans l'une
des voussures des portails occidentaux de la cathédrale de Reims et
qui lui paraît avoir appartenu au tympan de la porte principale,
détruit au xvme siècle pour être remplacé par une inscription.
" • . Louis Serbat.
, Revue des Etudes historiques. Année 1921.
xiiie M. siècle, D. Constant p. 19-27. : Saint-Dominique On ne saurait mieux et les exposer Fraternités les idées laïques dével- au
loppées dans cet article qu'en reproduisant la conclusion où l'au
teur résume très exactement lui-mêmei en quelques mots lès pages
qu'il vient de consacrer à ce sujet : « Le Tiers-Ordre dominicain,
dit-il, a été constitué au xm* siècle par deux éléments : les Fratec- ;
ÔÈVÎJÈ DES PERIODIQUES
nités Pénitentielles qui, spontanément, se sont formées à l'ombre
des couvents dominicains avec l'autorisation et sous la bénédiction
de saint Dominique et des Maîtres généraux, ses successeurs ; la
Milice de Jésus-Christ fondée dans le Midi de la France pendant la
guerre des Albigeois et l'apostolat de saint Dominique en Langued
oc, transportée ensuite en Italie quelques années après. Vers la
fin du xin" siècle, la Milice de Jésus-Christ est venue se fusionner
arec ïes Fraternités de Pénitence dominicaines, régies officiell
ement par la règle de. Maître. Munio de Zamora (1285). »
François Rousseau : Une grande bienfaitrice de la jeunesse fran
çaise, Mme de Sainte-Beuve, p. 37-51. Magdelaine Luillier, devenue
veuve à vingt-deux ans, après trois ans die mariage avec Claude Le
Roux, sieur de avait pris une part ardente à la Li
gue. Après le triomphe d'Henri IV elle} abandonna la vie mondaine
et au bout d'un certain temps se laissa tenter par la mission qu'on
lui proposait d'installer à Paris les Ursulines, religieuses qui se
vouaient, dit Du Breul, « à l'instruction des petites filles, tant de
celles qu'elles ont en pension que de cell.es qui viennent du dehors
pour apprendre la piété et bonnes mœurs ». M. Rousseau suit
Aime de Sainte-Beuve dians ces différentes phases de sa vie et
donne d'intéressants détails sur la façon dont elle consacra toute
sa fortune à l'établissement des Ursulines dans le faubourg Saint-
Jacques et sur l'existence qu'elle mena, installée près du couvent
dans une maison particulière d'où elle suivait et encourageait l'œu
vre des religieuses pour l'éducation chrétienne des jeunes filles.
A. Auzoux : Une institution d'autrefois. Les Charités normandes,
p. 171-190. Intéressante étude sur les confréries créées au moyen
âge, en Normandie, pour assurer l'inhumation décente des morts
et les prières

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