Les résultats et la gestion budgétaire de l Etat - Exercice 2012
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Description

La Cour des comptes rend public son rapport sur les résultats et la gestion budgétaire de l'Etat en 2012 en application du 4° de l'article 58 de la loi organique relative aux lois de finances (LOLF). Le budget de l'Etat présente un déficit de 87,2 Md€ en 2012, en amélioration de 3,6 Md€ par rapport à l'exécution budgétaire de 2011, dans un contexte marqué à la fois par une croissance économique nulle, qui a freiné l'augmentation des recettes et donc la réduction du déficit, et un niveau exceptionnellement bas des taux d'intérêt, qui, inversement, a facilité cette réduction en allégeant la charge des intérêts de la dette. Le déficit 2012 reste toutefois supérieur de 8,4 Md€ à celui fixé en loi de finances initiale (LFI) et demeure loin des niveaux constatés avant la crise.

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Publié le 01 mai 2013
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Langue Français
Poids de l'ouvrage 3 Mo

Extrait

 
         RESULTATS ET  GESTIONBUDGETAIRE  DE LÉTAT exercice 2012    
 
Mai 2013
 
 
 
Sommaire
DÉLIBÉRÉ ...................................................................................................11 INTRODUCTION .........................................................................................17 
PREMIÈRE PARTIE - LES RÉSULTATS DE LA GESTION BUDGÉTAIRE DE 2012 .....................................................................................................21 
CHAPITRE 1 - LES SOLDES DE L’EXERCICE 2012 ..........................................23 I  - UNE POURSUITE DE LA REDUCTION DU DEFICIT MAIS A UN RYTHME RALENTI...... 23 .... II  - L’IMPACT DAUTRES ENTITES PUBLIQUES SUR LE BUDGET DE L’ÉTAT.................... 36 III  - LES RESULTATS DE2012EN COMPTABILITE GENERALE,EN COMPTABILITE NATIONALE ET EN TRESORERIE................................................................2 5..........  
CHAPITRE 2 - LES RECETTES DU BUDGET DE L’ÉTAT ..................................67 I  - LES RECETTES FISCALES........86 ....... ................................................................ II  - LES RECETTES NON FISCALES,LES FONDS DE CONCOURS ET LES ATTRIBUTIONS DE PRODUITS.................................................................................................... 80 III  - LES DEPENSES FISCALES............................................................................ 86 
CHAPITRE 3 - LES DÉPENSES DU BUDGET DE L’ÉTAT ..................................97 I  - UNE PROGRESSION MODEREE DES DEPENSES DE L’ÉTAT EN2012 ....................... 98 II  - UNE DEPENSE MAITRISEE SUR LE CHAMP DES NORMES DE DEPENSES..... 101 ............ III  - L’EXECUTION BUDGETAIRE EN2012 ......................................................... 110 DEUXIEME PARTIE - LES GRANDES COMPOSANTES DU BUDGET DE L’ÉTAT ................................................................................................129 
CHAPITRE 1 - LA GESTION DE LA MASSE SALARIALE ET DES EFFECTIFS....131 I  - UNE MASSE SALARIALE EN RALENTISSEMENT CONTINU.......... .....................2..... 13 II  - UN PLAFOND DE CREDITS PLUS CONTRAIGNANT QUE LE PLAFOND DEMPLOIS..... 134 CHAPITRE 2 - LES DÉPENSES DE FONCTIONNEMENT ................................141 I  - UN OBJECTIF IMPRECIS ET INVERIFIABLE DE REDUCTION DE10 %DE LA DEPENSE SUR LE BUDGET TRIENNAL................................................................................... 142 II  - UNE BAISSE MODEREE DES DEPENSES DE FONCTIONNEMENT........... 145 ................ CHAPITRE 3 - LES DÉPENSES D’INTERVENTION ........................................149 I  - PERIMETRE ET EVOLUTION DES DEPENSES DINTERVENTION SUR LA PERIODE2008-2012 ....................................................................................................... 150 
4
 
 COUR DES COMPTES
II  - DDECALAGE AVEC LES AMBITIONS DE MAITRISE DES DEPENSESES RESULTATS EN DNTNIIVOENETR154.................... ..................................................... ................  
CHAPITRE 4 - LES DÉPENSES D’INVESTISSEMENT .....................................163 
I  - ANALYSE DE LEXECUTION.4.6.1....................................................... .............. . II  - L’IMPACT DES DEPENSES DINVESTISSEMENT SUR LE BUDGET DE L’ÉTAT A MOYEN TERME...................................................................................................... 170 
CHAPITRE 5 - LES DÉPENSES DESTINEES AU FINANCEMENT DES OPERATEURS ...........................................................................................175 I  - UN PILOTAGE BUDGETAIRE INSUFFISANT................ ...177... ................................ II  - L’APPLICATION AUX OPERATEURS DES OUTILS DE MAITRISE DE LA DEPENSE RESTE INEGALE.................................................................................................... 181 
TROISIEME PARTIE - L’APPRÉCIATION D’ENSEMBLE DE LA GESTION BUDGETAIRE ...........................................................................................187 
CHAPITRE 1 - LA RÉGULARITÉ DE L’EXÉCUTION BUDGÉTAIRE .................189 I  - LA REGULARITE DE LEXECUTION DU BUDGET GENERAL.................................... 190 II  - LES DEROGATIONS AUX PRINCIPES DUNIVERSALITE ET DUNITE:LE CAS DES BUDGETS ANNEXES ET DES COMPTES SPECIAUX............................................................... 193 III  - LES RETABLISSEMENTS DE CREDITS EN FAVEUR DE LABANQUE PUBLIQUE DNITESNSEIMTSEV...................................................................................... 199 CHAPITRE 2 - LA DÉMARCHE DE PERFORMANCE .....................................205 I  - LA PRATIQUE DE LA PERFORMANCE NE PERMET NI EVALUATION DE QUALITE NI MAITRISE DE LA DEPENSE............................................................................... 206 II  - LES PISTES DELAMTRIAOINO.................................................................... 211 
CHAPITRE 3 - LA SOUTENABILITÉ DES MISSIONS DU BUDGET DE L’ÉTAT.217 I  - LA COUVERTURE DES ENGAGEMENTS:STOCK DE RESTES A PAYER EN BAISSE MAISUN TOUJOURS IMPORTANT..... ..821........ .................................................................. II  - LES RISQUES PESANT SUR LES DEPENSES............912 .... ...................................... III  - LES RISQUES PESANT SUR LES RECETTES..................................................... 225 RÉCAPITULATIF DES RECOMMANDATIONS DE LA COUR DES COMPTES...233 
LE SUIVI DES RECOMM
    
ANDATIONS .........................................................235
 
SOMMAIRE
 5
ANNEXES .................................................................................................243 I   ANNEXE1 :LA CONSTRUCTION DE LAGREGAT DE DEPENSE............................. 245 -II  - ANNEXE2 :EFFET SUR LE SOLDE DES LOIS DE FINANCES RECTIFICATIVES............ 246 III  - ANNEXE3 :LE SOLDE DES COMPTES SPECIAUX............................................ 247 IV  - ANNEXE4 :LES SUBVENTIONS EXCEPTIONNELLES ACCORDEES AUX COMMUNES49 2 . V  - ANNEXE5 :LES RELATIONS ENTRE L’ÉTAT ET L’UNION EUROPEENNE........ 252 ........ VI  - ANNEXE6 :LES DISPOSITIFS FISCAUX DES PROJETS DE LOIS DE FINANCES RECTIFICATIVES........................................................................................... 258 VII  - ANNEXE7 : ANALYSE DES EVOLUTIONS PAR IMPOT ........1........62 ..................... VIII  - ANNEXE8 :LEVOLUTION DU RESULTAT EN COMPTABILITE GENERALE............ 264 
GLOSSAIRE ..............................................................................................265 
RÉPONSE COMMUNE DU MINISTRE DE L’ÉCONOMIE ET DES FINANCES ET DU MINISTRE DÉLÉGUÉ AUPRÈS DU MINISTRE DE L’ÉCONOMIE ET DES FINANCES, CHARGÉ DU BUDGET..............................................................267 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Le rapport de la Cour des comptes surÉ les résultats et la gestion budgétaire de l’ tat
- Elaboration et publication -
La e Cdoeu lr Épublie, chaque année, un rapport sur les résultats et la gestion budgétair tat.
Déposé sur le bureau de l’Assemblée nationale et du Sénat cceo nrjaopipnotert maennatl yasue  plroejxeét cdueti looni  ddue  rbèugdlgeemt ednt duÉ tbatu dsogeuts  dtoe lexercice antérieur, e l’ us ses aspects.
Sa publication s’accompagne de la mise en ligne sur le site Internet de ro me ldae  lCoexuré cduet ilone ndsue bmubdleg edt edse  alnaÉltyats easu xdqétuaeilllleése sl ap aCro umr ias siporon ceétd ép.a r pgram
Prévu par l’article 58-4° de la loi organique relative aux lois de finances (LOLF), il est l’une des quatre publications que la Cour présente chaque année dans le cadre de sa mission constitutionnelle d’assistance au Parlement et au Gouvernement pour le contrôle de l’exécution des lois de finances (article 47-2 de la Constitution), avec :
- la certification des comptes de l’État, annexée au projet de loi de règlement (article 58-5° de la LOLF) ;
- le rapport sur la situation et les perspectives des finances publiques, préliminaire au débat sur les finances publiques (article 58-3° de la LOLF) ;
- le (ou les) rapport(s) sur les ouvertures de crédits par décret d’avance en cours d’exercice (article 58-6° de la LOLF), qui accompagne(nt) le projet de loi de finances comportant leur ratification.
Ces rapports ainsi que l’acte de certification des comptes de l’État s’appuient sur les contrôles, enquêtes et vérifications conduits par la Cour. En tant que de besoin, il est fait appel au concours d’experts extérieurs, et des consultations et des auditions sont organisées pour bénéficier d’éclairages larges et variés.
Ces travaux et leurs suites sont réalisés par les sept chambres que comprend la Cour, le pilotage et la synthèse étant assurés par une formation commune associant les sept chambres.
Trois principes fondamentaux gouvernent l’organisation et l’activité de la Cour des comptes, ainsi que des chambres régionales et territoriales des comptes, et donc aussi bien l’exécution de leurs contrôles et enquêtes que l’élaboration des rapports publics : l’indépendance, la contradiction et la collégialité.
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 COUR DES COMPTES
L’indépendance institutionnelle des juridictions financières et statutaire de leurs membres garantit que les contrôles effectués et les conclusions tirées le sont en toute liberté d’appréciation.
Lacontradiction implique que toutes les constatations et appréciations ressortant d’un contrôle, d’une enquête ou de vérifications, de même que toutes les observations et recommandations formulées ensuite, sont systématiquement soumises aux responsables des administrations ou organismes concernés ; elles ne peuvent être rendues définitives qu’après prise en comptes des réponses reçues et, s’il y a lieu, après audition des responsables concernés.
La publication d’un rapport est nécessairement précédée par la communication du projet de texte que la Cour se propose de publier aux ministres et aux responsables des organismes concernés, ainsi qu’autres personnes morales ou physiques directement intéressées. Dans le rapport publié, leurs réponses accompagnent le texte de la Cour.
Lacollégialité intervient pour conclure les principales étapes des procédures de contrôle et de publication.
Tout contrôle, enquête ou vérification est confié à un ou plusieurs rapporteurs. Leur rapport d’instruction, comme tous les projets ultérieurs d’observations et de recommandations, provisoires et définitifs, sont examinés et délibérés de façon collégiale, par une chambre ou une autre formation comprenant au moins trois magistrats, dont l’un assure le rôle de contre-rapporteur, chargé notamment de veiller à la qualité des travaux.
Le contenu des projets de publication est défini, et leur élaboration est suivie, par le comité du rapport public et des programmes, constitué du premier président, du procureur général et des présidents de chambre de la Cour, dont l’un exerce la fonction de rapporteur général.
Enfin, les projets de rapport sont soumis, pour adoption, à la chambre du conseil, en formation plénière, où siègent, sous la présidence du premier président et en présence du procureur général, les présidents de chambre de la Cour, les conseillers maîtres et les conseillers maîtres en service extraordinaire.
Ne prennent pas part aux délibérations des formations collégiales, quelles qu’elles soient, les magistrats tenus de s’abstenir en raison des fonctions qu’ils exercent ou ont exercées, ou pour tout autre motif déontologique.
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RÉSULTATS ET GESTION BUDGÉTAIRE DE L’ÉTAT 9
budgétaire  de lÉtat, ainsil qÉue less oannt aalycsceess spibalr esm iesns iloing neet  spuarr  lper osigtrea Imntmeer ndeet  l’exécution du budget de tat, de la Cour des comptes et des chambres régionales et territoriales des comptes :www.ccomptes.fr rapport est également diffusé par LeLa documentation française.  
 
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