JdP N°56 DOSSIER : SECURITE
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JdP N°56 DOSSIER : SECURITE

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M3 Editions Numériques
Copyrights 2006-2009                 www.calteos.com
  INTERNET & INFORMATIQUE
PARTIE I Sujets professionnels
L’ensemble du contenu de ce MémoPro est considéré comme opérationnel, d’actualité et/ou formant une information utile et exploitable pour le lecteur. La date de réalisation des dossiers et articles est indiquée à droite de chaque titre. Cliquer sur les liens pour accéder directement aux titres :
1. 4 outils pour un web performant 2. Référencer son site 3. Les droits d’auteur sur le Net 4. Réglementation 5. Les parades antivirus 6. Le blog 7. Optimaliser les potentialités de son ordinateur 8. La télésauvegarde des fichiers 9. Le Wi-Fi 10. Abécédaire du Net 11. Nanotechnologies et avenir informatique 12. Biométrie et puces espionnes 13. Que penser des logiciels libres ? 14. La Long Tail 15. L’E-commerce se porte bien 16. Comment optimiser son site ?
Partie II : Brèves de presse Partie III : Repères chrono
    
1. 4 OUTILS POUR UN WEB PERFORMANT 2003                 1. LA LOCOMOTIVE ADSL Pour François-Xavier Hussherr, directeur des activités Internet àMédiamétrie,«Internet est vraiment entré dans la vie quotidienne».C’est la baisse des prix sur l’ADSL qui dope actuellement le marché et fait que la France a désormais passé un«seuil psychologique». L’ADSL est en passe de réaliser toutes les promesses initiales d’Internet : connexion instantanée, possibilité de regarder des vidéos comme à la télé, installation ne nécessitant pas l’intervention d’un technicien à domicile et ne mobilisant pas la ligne téléphonique, etc.«L’ADSL est à Internet ce que l’automatique a été au téléphone» affirme de son côté Henri de Maublanc, président de l’Acsel (association pour le commerce et les services en ligne). Une évidence partagée également par Stéphane Treppoz, PDG d’AOL, qui indique quequi a goûté au haut débit, Internet prend alors une place centrale».«Pour celui Ce constat français est étayé par une progression économique de plus de 250%, soit une des plus fortes croissances mondiales selon les chiffres deFrance Télécompubliés par l’Afa(Association des fournisseurs d’accès et de services Internet. UNE PHASE DE CONSOLIDATION Pour Laurent Judkiewicz, directeur marketing chezMédiamétrie,«Internet devient un vrai marché avec son économie propre».Il ajoute que«Nous sommes dans une phase de consolidation»avec une croissance à plusieurs dizaines d’unités et une activité marchande dépassant aujourd’hui les 2 milliards d’euros. Cette réflexion est confirmée par Philippe Moati, directeur duCredoc, qui rappelle quecela ne représente que 0,6% de la consommation des ménages, c’est à peu près le niveau«si atteint par les hypers 5 ans après leur lancement».Toutefois pour Jean-Christophe Le Toquin, délégué permanent de l’Afa, il existe encore un hic car les acheteurs d’aujourd’hui restent avant tout des anciens du Net, de ceux qui ont surfé en bas débit :«or le nombre d’abonnés par modem classique stagne…et un des freins au développement reste le paiement du service universel que le bas débit finance à 33% (mission de service public couverte par France Télécom)».
2. UNE BONNE ERGONOMIE DU SITE La réussite d’un site sur le Web nécessite obligatoirement une bonne ergonomie. L’ergonomie a un impact immédiat en facilitant la navigation de l’internaute par conséquent sa fidélisation. Ainsi, le taux de transformation (rapport entre le nombre de visiteurs uniques et le nombre de clients) peut augmenter de 20% et plus, selon le plaisir qu’à l’internaute à naviguer facilement sur le site, par conséquent à revenir. Selon l’Afnor française de normalisation) la qualité d’un site dépend (Agence avant tout de son «usabilité» (facilité d’utilisation) en répondant parfaitement aux besoins des utilisateurs. Pour cela, il est nécessaire que le site réponde à plusieurs impératifs techniques : 1. Concevoir une démarche ergonomique Il est conseillé d’intégrer les contraintes ergonomiques en amont du projet afin d’éviter des modifications ultérieures encore plus coûteuses. Le travail de supervision peut être utilement complété par des tests utilisateurs sur des maquettes avant la phase de production. Ainsi, il est possible d’observer (et/ou filmer) un petit nombre d’utilisateurs en situation d’usage, puis dans le cadre d’un débriefing d’identifier les difficultés rencontrées afin d’en comprendre les causes. Dans le cas d’un site existant, il est toujours possible de faire réaliser un audit par un ergonome spécialisé dans les interfaces Web. Son intervention permet de révéler les principaux défauts du site audité et de proposer des solutions mieux adaptées. 2. Réduire la durée de téléchargement Celui-ci doit être le plus rapide possible, au risque alors de provoquer l’insatisfaction du visiteur, voire son abandon en cours du site. Il est conseillé d’éviter les applications vidéo, Flash et longues, à télécharger dès lors que ces fichiers n’apportent rien de plus à l’internaute. Lorsqu’un temps d’attente est nécessaire et important, le mieux consiste à l’indiquer à l’utilisateur par un état d’avancement du chargement du fichier.
3. Aider à la navigation Il est nécessaire d’afficher en permanence un plan synthétique de site permettant de se repérer facilement à tout moment et donnant un accès direct à toutes les autres rubriques et sous-rubriques. Ce plan doit être accessible de n’importe quelle page et la rubrique visitée doit être mise en évidence dans le menu de navigation. 4. Faciliter l’accès au contenu Le premier défi est celui du rubriquage. C’est la raison pour laquelle, il est nécessaire d’énoncer tout le contenu du site sur la page d’accueil au moyen de rubriques claires et précises. Le choix des mots est ici essentiel afin de ne pas induire l’internaute en erreur ou de le déstabiliser par une difficulté à en comprendre la signification. Le rubriquage doit être à la fois intuitif, court, explicite, motivant et dynamique, laissant ainsi à penser que le site est riche d’informations et/ou de possibilités. 5. Optimiser le processus de commande C’est un élément clé de l’efficacité commerciale sur les sites marchands. Il est fréquent de constater que le taux d’abandon en cours de commande peut parfois dépasser 60%. Aussi pour éviter de casser la dynamique d’achat, il est nécessaire de permettre à l’internaute de trouver facilement toutes les informations nécessaires (prix, délais, disponibilité, frais de port…) durant le processus de commande. Dans son caddie virtuel, l’acheteur doit également pouvoir supprimer facilement un article ou changer les quantités en cours de route, sans remettre en cause le processus engagé.
3. LA SIMPLIFICATION DES FORMALITÉS SUR INTERNET Pour l’entreprise, les possibilités de réaliser en ligne la plupart des formalités administratives est un véritable «plus» pour l’internaute professionnel. Les opérations accessibles concernent aussi bien l’immatriculation de l’entreprise ; le paiement de la TVA ; la déclaration d’embauche ; les déclarations sociales, etc., sachant qu’ici les avantages de passer par l’Internet sont nombreux : . Gain de temps en évitant les déplacements et les files d’attente ; . Souplesse du téléchargement à n’importe quel moment, en tout lieu avec n’importe quel ordinateur ; . Réalisation des documents sans présence nécessaire d’un expert-comptable ou d’un spécialiste ; . Absence d’inconvénients majeurs, sauf l’abonnement sur certains sites payants et certaines  procédures d’adhésion en plusieurs étapes. D’une manière générale, il existe deux possibilités pour exécuter une «téléprocédure» : . Téléchargement du formulaire administratif avec impression chez soi puis envoi des pièces  demandées par La Poste ; . Remplissage directement en ligne. En fait, la plupart des téléprocédures actuelles ne s’effectuent jamais à 100% en ligne, mais nécessitent, à un moment ou à un autre, une intervention classique (remplissage de formulaires papier, envoi de pièces justificatives par La poste…).
MODE D’EMPLOI POUR UNE IMMATRICULATION DE L’ENTREPRISE Par exemple, sur le sitee-formalites.com permet démarche est relativement simple et la d’immatriculer directement en ligne son entreprise : 1. Se connecter puis s’abonner en cliquant sur«devenir abonné». Pour réaliser une immatriculation en ligne le tarif débute à 75 euros. Le prix de l’abonnement (pour une quarantaine de formalités) s’échelonne de 390 euros pour 6 mois à 750 euros pour un an. 2.Une fois abonné, il faut cliquer sur«cabinet de formalité», créer directement son dossier puis noter le numéro de dossier client. 3.L’immatriculation commence en remplissant les questions qui s’affichent à l’écran. En cas d’erreur, un contrôle de cohérence des informations s’opère.
4. Enfin, le formulaire officielCerfa apparaît complété des renseignements fournis et peut être imprimé. Une fenêtre indique la totalité des pièces justificatives qui doivent accompagner le dossier afin que l’usager puisse ensuite le déposer auCFE de formalité des entreprises) le plus (centre proche de chez lui : une étape encore obligatoire.
 SITES POSSIBLES www.e-formalites.com :immatriculation, déclaration unique d’embauche www.statutsonline.com :de statuts, immatriculation, impression de pièces justificatives,  création publication annonce légale. www.formalitésonline.com :imprimés officiels pour toute forme d’entreprise
MODE D’EMPLOI POUR UN PAIEMENT DE TVA Ici, la formalité ne requiert aucun numéro de carte bleue mais nécessite d’acquérir un petit logiciel sécurisé appelé certificat électronique disponible surwww.minefi.gouv.fr permettant d’identifier ultérieurement le chef d’entreprise. Les tarifs pour obtenir ce certificat sont de l’ordre de 40 euros à 150 euros pour les plus sophistiqués (8 sociétés sont homologuées). En fait, la procédure sécurisée de paiement en ligne de la TVA nécessite plusieurs étapes distinctes : 1.certificat électronique puis identification de la signature électronique de l’entrepreneur du  Achat dans le logiciel. 2.Adhésion au dispositif TéléTVA(tva.dgi.minefi.gouv.fr)en indiquant le numéro Siret et quel type de certificat est utilisé. Téléchargement du dossier de souscription et remplissage en 2 exemplaires. Indication de l’ordre de débit bancaire à la fin de l’imprimé puis dépôt à la recette des impôts, le tout accompagné des pièces justificatives (RIB, autorisation de prélèvement). 3. réception de la AccuséDGI (Direction générale des impôts) indiquant la prise en compte de la souscription et la date d’utilisation de la procédure 4.Le jour de la déclaration, se rendre sur le site TéléTVA et cliquer sur«télédéclarer». Compléter les formulaires qui s’affichent pour déterminer la taxe à payer. Pour le télépaiement par Internet, l’entrepreneur doit confirmer son accord ou alors adresser son paiement par courrier.
MODE D’EMPLOI POUR DÉCLARER UNE EMBAUCHE Le site de l’Urssafsimple et permet de remplir directement le formulaire sur gratuit, rapide et  est www.due.fr 1. Faire signer au salarié un contrat (CDI ou CDD) en déterminant notamment le temps de travail complet, partiel ou intermittent. Dans les 8 jours qui précédent l’embauche effective se connecter au site. 2. Saisir toutes les informations demandées dans le cadre d’une procédure entièrement sécurisée sous peine de sanction. Cliquer sur«envoyer»en choisissant le choix de l’accusé réception (en ligne, fax ou courrier).
MODE D’EMPLOI POUR RÉGLER LES CHARGES SOCIALES La flexibilité du site(https.//declaration.urssaf.fr) de modifier autant de fois que nécessaire la permet déclaration de cotisations sociales, avec la garantie que l’opération financière n’interviendra pas avant la date limite d’exigibilité des cotisations. 1.D’abord adhérer au service en retirant un bulletin d’adhésion auprès d’un conseiller de l’Urssaf. 2. Renvoyersera suivi rapidement d’une prise en compte de par courrier le bulletin, lequel l’abonnement indiquant un identifiant et un mot de passe.
3. connecter ensuite sur le site en saisissant le numéro Siret et le mot de passe. Un bordereau Se reprenant les rubriques déjà complétées lors de la première déclaration s’affiche automatiquement (ou à compléter lors de la première déclaration). Saisir les lignes de cotisations selon le type de personnel de l’entreprise, sachant que le total s’effectue automatiquement. En cas de paiement en ligne, écrire le total dans la ligne réservée en face du compte bancaire à débiter.
4. BIEN UTILISER SES E-MAILS Une récente étude anglaise indique que 70% des managers affirment éprouver du stress face à l’e-mail et 94% d’entre eux pensent que cela ne va pas s’arranger. Si la fluidité de l’information sur Internet a bousculé les niveaux hiérarchiques traditionnels,«certains cadres ressentent comme un affront le fait de recevoir une annonce en même temps que leurs troupes»confirme Stephen Brown, associé chezKPMG. Ce décloisonnement de l’information, notamment par l’e-mail, fait que le rapport traditionnel à l’autorité ne repose plus, comme avant, sur la capacité à détenir et à répercuter l’information. Un second aspect majeur concerne la gestion obligée des e-mails. D’après le Dr Eric Albert, psychiatre et fondateur de l’Ifas français d’action sur le stress), (Institut«beaucoup d’utilisateurs se sentent obligés de traiter sur-le-champ les messages qui leur arrivent, par peur de les voir s’accumuler. Du coup, ils ont tendance à zapper d’une tâche à l’autre. Or la plupart peuvent attendre une heure ou deux, voire la fin de la journée».Ce symptôme commun à beaucoup de cadres se révèle d’autant plus aigu que le flot d’informations ne cesse de gonfler, charriant chaque jour des messages dont l’utilité n’est pas toujours évidente.
ÉVITER LA POLLUTION DES E-MAILS Le premier responsable de cette saturation concerne l’utilisation abusive de la fonction«copie à» ou «transférer»par des collaborateurs soucieux de se couvrir. Pour Stephen Brown«Plus d’un quart des e-mails envoyés quotidiennement à un cadre ne le concernent pas directement» se justifient mais comme une couverture de la part de ses auteurs du typeça, il ne pourra pas dire qu’il n’était«Comme pas au courant…».de ses interlocuteurs, il convient de seAussi pour éviter de saturer la messagerie poser régulièrement la question«l’information que je suis sur le point d’envoyer est-elle réellement utile à tous ces destinataires ?».
SE FAMILIARISER AVEC LES TACHES DU LOGICIEL Pour éviter les tâches répétitives et gagner du temps, le mieux est de se familiariser avec les fonctions avancées de son logiciel de messagerie électronique (Outlook, Nestcape…) et notamment : . Le classement automatique des messages en fonction de leur provenance ; . La création de listes de diffusion pour l’envoi régulier de documents au même groupe de personnes ; . La constitution d’un répertoire afin d’éviter de taper les adresses e-mail à chaque nouveau message.
GÉRER QUOTIDIENNEMENT LES E-MAILS REÇUS Pour éviter de se prendre la tête dans la gestion de ses e-mails (courriel en français), les spécialistes recommandent plusieurs réflexes d’autant que le monde ne s’arrêtera pas de tourner en s’allouant un petit peu de recul : . Relever ses e-mails au maximum chaque heure ouvrée en désactivant le signal sonore afin de  pouvoir travailler tranquille ; . Répondre au maximum 2 fois par jour ; . Supprimer immédiatement tous les messages publicitaires et classer les autres en fonction de leur  objet ou de leur degré d’urgence ; . Différer la lecture des pièces jointes en les imprimant, puis en les lisant lorsque l’on dispose du  temps nécessaire ;
. Se créer une adresse poubelle chezYahoo, Wanadoo, Hotmail,afin d’y orienter tous les messages  et spams inutiles, tout en l’indiquant de préférence aux correspondants non importants. . Se désabonner des newsletters inutiles en renvoyant un e-mail vide en cliquant sur l’adresse  spécifique située à la fin de la lettre de diffusion.
ORGANISER LES FLUX DE MESSAGES En ce domaine, la première règle consiste à éviter l’accumulation décourageante des e-mails dans sa boîte de réception. L’objectif prioritaire est de faire un tri automatique des mails dès leur arrivée, dans le but de distribuer automatiquement les courriers qui arrivent dans des dossiers créés à cet effet (patron ; collègues ; fournisseurs ; famille ; amis ; divers). En général, il suffit de mettre en place des «filtres», des «règles» ou des «agents» de messagerie dans le menu «Outils» en fonction des logiciels. Pour cela, il faut d’abord repérer des éléments invariants concernant les sources émettrices (ex. nom de l’entreprise émettrice «@tartempion.com), puis de créer une règle indiquant au logiciel que tout mail contenant cet invariant doit être classé dans le dossier «fournisseurs». Il est même possible sur certains logiciels d’associer cette règle à des opérations comme «Imprimer», «Transférer à», «Déclencher une alarme sonore», etc.
UTILISER LES FONCTIONS AVANCÉES Pour Olivier Pavie, consultant et formateur indépendant,«La plupart des gens n’utilisent que 20% des fonctions de leur logiciel de messagerie. C’est dommage, car certaines sont très pratiques».Il est vrai que la plupart des logiciels de courrier électronique offrent des fonctions évoluées qu’il faut absolument connaître et utiliser : . La CCI (copie conforme invisible)d’envoyer simultanément et en toute confidentialité unpermet  message à plusieurs destinataires en masquant leur identité et leur adresse Internet. . La liste de diffusion ou groupe d’envoirassemble sous un même nom un groupe de destinataires  auxquels on adresse régulièrement des messages ou des documents. Pour la créer, il faut ouvrir le  «carnet d’adresses»puis chercher«Nouveau groupe»ou«Nouvelle liste».  . La signature automatiquepermet de personnaliser la façon de présenter son nom, sa fonction et  ses coordonnées à la fin du courrier selon les destinataires. Il est possible de définir plusieurs  signatures (menu«Outils»Outlook) en les ajoutant d’un simple clic.avec . Le carnet d’adressesévite de taper à chaque envoi l’adresse du destinataire. Il suffit de l’enregistrer  une fois pour toute dans le carnet d’adresses de la messagerie. Il suffira ensuite de taper les  premières lettres du nom pour que le logiciel complète automatiquement l’adresse. . La réponse automatiqueest un bon moyen de limiter l’accumulation des mails en programmant le  logiciel afin qu’il envoie automatiquement un message de réponse (date de retour, personne à  contacter en particulier…) ou effectue un reroutage des mails entrants vers une autre adresse. Il  suffit alors simplement de créer une règle via le menu«Outils»avec Outlook. . Le classement organisé des mails sortantsafin de les archiver dans la boîte d’envoi. Pour cela, il  convient, avant d’envoyer un mail, de choisir dans quel dossier le message doit s’archiver en utilisant  le menu«Options»avec Outlook.
SAVOIR OUVRIR LES DIFFÉRENTS TYPES DE FICHIERS REÇUS Il existe une douzaine de types de fichiers joints que le logiciel de base de l’ordinateur ne sait pas forcément ouvrir. Pour permettre leur lecture, il est nécessaire d’utiliser un logiciel ad hoc en allant préalablement le télécharger gratuitement sur un site dédié. 1.Documents numérisés dans sa mise en page :.pdf à ouvrir avec Acrobat Reader (téléchargement gratuit : adobe.fr) 2.Fichier créé avec un logiciel Microsoft :.doc .xls .ppt à ouvrir avec Office Viewers (téléchargement gratuit : microsoft.com) 3.Fichier compressé :.zip .sit .hqx .bin .sea à ouvrir avec Stuffit Expander (téléchargement gratuit : stuffit.com)
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