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Publié par | les_archives_du_savoir |
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Langue | Français |
Poids de l'ouvrage | 33 Mo |
Extrait
COURS
LITTÉR/TUREDE
DRAMATIQIE.Le libraire, ayantaïquis lapropriété littéraire des Feuil-
feu Geoffroy, reconnaîtra pour authentiquesletons de ne
que les exemplaires qui porteront sa signature, et pour-
suivra les contrefacteurs.
PARIS. IMPRIMERIE DE fcASTMlR RUE DE L/i VIEILLE-MONNAIE N° IQ.
, ,%Cî;^>^^ft^^^^^^<^^'^ COURS
DE
LITTÉRATURE
DRAMATIQUE,
OU
MATIÈRESRECUEIL PAR ORDRE DE
GEOFFROY,DES FEUILLETONSDE
PRÉCÉDÉ
d'une notice historique sur sa vie et ses ouvrages,
SECONDE ÉDITION,
simile de l'écritureConsidérablement augmentée, et orne'e àhinfac
l'Auteur.de
notas nomina mandat;Fata cantt, foUisqiie et
Illa manent imm-otn locîs
ViuGii.., JEn., lil), m,
TOME PREMIER.
PARIS,
PIERRE BLANCHARD, LIBRAIRE,
GALERIE MONTESQUIEU, N° I AU PREMIER.,
1825.v»
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l22G
i-. ^
An
^" %^AVERTISSEMENT
CETTE SECONDE ÉDITION.
Les feuilletons de Geoffroy avaient obtenu un
succès si prodigieux et avaient même exercé,
une telle influence sur la littérature, qu'il eût
laisserété dommage de les tomber dans l'oubli:
une véritable perte;c'eût été car ils contiennent
qu'il a de mieux pensé surce notre théâtrey ,
présentent enmême temps un livreet aussi agréa-
qu'instructif. Quelques personnes,ble qui, dans
le temps, les avaient lus avec la légèreté que l'on
à parcourir un journal ontmet , pu croire qu'ils
n'avaient que cet intérêt du moment que l'on
trouve ordinairemeht dans les feuilles périodi-
ques; elles se sont trompées : Geoffroy, devenu
journaliste, écrivait chaque jour et semblait
écrire à la hâte; mais ses études étaient faites d'a-
vance, et il disait avec facilité, et dans l'instant
commandé, ce qu'il savait depuis long-temps et ce
qui avait fait l'objet principal de ses méditation-s
littéraires. Aussi ses feuilletons réunis forment-
2. aAVEiniSSEMEKT.1
ils un véritable Cours de littérature dramatique,
leet peut- être meilleur que nous ayons dans
notre langue; c'est même la persuasion où nous
sommes à ce sujet, qui nous a engagé à choisir
le titre sous lequel nous avons publié ce recueil.
Geoffroy a, pendant quatorze années , rédigé ses
feuilletons j et, pendant cet espace de temps, il
piècesa vu passer sous ses yeux presque toutes les
que leur mérite a sauvées de l'oubli et qui font
occasionla gloire de notre théâtre; il a donc eu
de parler de tous nos poètes dramatiques, de tous
nos chefs-d'œuvre, et de traiter de toutes les par-
ties de l'art. Son travail, nous l'osons dire, est
plus ilcomplet Plus ce recueil sera connu sera
,
apprécié il tiendra sa place dans les bibliothè-;
aprèsques les mieux composées , le Cours de
littérature de Laharpe; le jeune homme qui veut
etcultiver les lettres aura besoin de l'étudier,
l'homme fait, qui profité à l'école de nos meil-a
leurs critiques , le lira encore avec fruit et sur-
tout avec plaisir*
La première édition que^nous avons donnée
matières,de ces feuilletons disposés par ordre de
et débarrassés des répétitions et des choses étran-
gères ou inutiles, a fait voir que c'était un excel-
lent livre de plus dont s'enrichissait notre littéra^
enlevée,cette édition a été rapidementture ;
silence presqueunanime des journaux.malgré le
quelquesilence des critiques est sans douteCe