•CNI CC' X- Cr DE LORIGINE DU THEATRE A PA I naifs, les auteurs deviennent d'unrement gêne écœurant; ils appliquent successi-sans aux personnages les plus sacrés desvement des apostrophes où se heurtentépithètes et les plus basses. On produit surles locutions actions les plus secrètes, ou onVéchaffaud les les exagère encore aux yeux d'un public émerillonné en les faisant commettre dans un là,coin, derrière un petit voile. Le succès est plusdans les«impudicités commises dans les mauvais lieux ». Puis tout s'accentue dans ce défilé échevelé, et l'imagination amasse les aventures d'Ammon avec Thamar, les con- versations de prostituées , les dialogues bourrés de l'indécence la plus triviale, où Michel, l'auteur applaudi du temps, ne se lasse pas d'appuyer. Je renvoie ceux qui doutent de l'infamie graveleuse du théâtre pendant un certain temps à toutes les pièces qui ont imité le mystère de saint Christophe, deuxième journée (auteur: Chevalet) celui; du Viel Testament Calendria,la etc.; parlentLes registres du Parlement nous qui,assez de ce mystère du Viel Testament, —— 44 joué en 1 donna carrière à bien des dis-542, cussions. Les acteurs s'y livrèrent à des dégénérèrent en « poses lascivescharges qui ».
•CNI CC'X- Cr DE LORIGINE DU THEATRE A PA I< I STiré à (oo exemplaires sur papier vergellf il. . 4 ^DE L ORIGINE THÉÂTREDU A PARIS PAUL MILLIET Arec un frontispice à parl'eauforte Félix Lucas PARIS LIBRAIRIE DES BIBLIOPHILES 338RUE SAINT-HONORÉ, M D CGC LXX19688OCT ^^ ?M MS5