24-41 «k. -«"j» fc;"-*Sl \y ^ -^-. -.^-*?is>.- ^,:-. ESQUISSE DE LA MORALE DE STENDHAL Portrait de Henri BEYLE (Stendhal) Par Dedreux-Dorcy (Musée de Grenoble). '-" "T^f^ ESQUISSE DE LA MORALE DE STENDHAL D'APRÈS VIE El SESSA ŒUVRES THÈSE POUR LE DOCTORAT ES LETTRES PRÉSENTÉE à la Faculté des Lettres de l'Université de Paris PAR Pierre SABATIER LICENCIE EN HISTOIRE ET GEOGRAPHIE DIPLÔMÉ D'ÉTUDES SUPÉRIEURES DE LETTRES ^~ PARIS LIBRAIRIE HACHETTE 79, boulevard Saint-Germain, 79 19^0 PRESERVÂIION DATE....fltX me.. miiïwiM—m iiiiWT Mèreer à mamon PèreA PO. 53 s.p. IiNTRODUCTION Sainte-Beuve avait été tout d'abord sévère pour Stendhal; alla voir lemais il se ravisa plus tard et jusqu'à dans Rouge le Noir, « une des Bibles du XIX™" siècle » Il semble dif-et (1). ficile au début d'expliquer deux opinions si différentes chez le peu d'années d'intervalle mais, à la réflexion,même critique à ; elles ne laissent pas d'être significatives. Elles représentent pour ainsi dire, en raccourci, l'évolution de l'opinion sur l'auteur Chartreuse de Parmede la et celle de son influence. Pendant sa vie, à peine apprécié de quelques rares amis, écrivain, LeBeyle, comme était presque inconnu. Rouge et le Noir n'avait eu qu'un vague succès de scandale. C'est que la froideur calculée de son style, sa précision austère de code rebutaient les lecteurs qui subissaient encore l'attraitcivil, des images éclatantes prodiguées par les romantiques. Son pes- simisme déplaisait.
.- ^,:-. ESQUISSE DE LA MORALE DE STENDHAL Portrait de Henri BEYLE (Stendhal) Par Dedreux-Dorcy (Musée de Grenoble). '-" "T^f^ ESQUISSE DE LA MORALE DE STENDHAL D'APRÈS VIE El SESSA ŒUVRES THÈSE POUR LE DOCTORAT ES LETTRES PRÉSENTÉE à la Faculté des Lettres de l'Université de Paris PAR Pierre SABATIER LICENCIE EN HISTOIRE ET GEOGRAPHIE DIPLÔMÉ D'ÉTUDES SUPÉRIEURES DE LETTRES ^~ PARIS LIBRAIRIE HACHETTE 79, boulevard Saint-Germain, 79 19^0 PRESERVÂIION DATE....fltX me.. miiïwiM—m iiiiWT Mèreer à mamon PèreA PO. 53 s.p. IiNTRODUCTION Sainte-Beuve avait été tout d'abord sévère pour Stendhal; alla voir lemais il se ravisa plus tard et jusqu'à dans Rouge le Noir, « une des Bibles du XIX™" siècle » Il semble dif-et (1). ficile au début d'expliquer deux opinions si différentes chez le peu d'années d'intervalle mais, à la réflexion,même critique à ; elles ne laissent pas d'être significatives. Elles représentent pour ainsi dire, en raccourci, l'évolution de l'opinion sur l'auteur Chartreuse de Parmede la et celle de son influence. Pendant sa vie, à peine apprécié de quelques rares amis, écrivain, LeBeyle, comme était presque inconnu. Rouge et le Noir n'avait eu qu'un vague succès de scandale. C'est que la froideur calculée de son style, sa précision austère de code rebutaient les lecteurs qui subissaient encore l'attraitcivil, des images éclatantes prodiguées par les romantiques. Son pes- simisme déplaisait." />
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