X r. !un collège,. S'il est le collègec'estdaéterminée,re.ondans unerecrutaits seéUblissemenceschacun de ^^^^ ^^de ^ des *'«™'recevaitOu ''Fortel. y relatifs àde documentsULesÇ'n«de Uilent -"orateursavocats et "^^^le, (Richeouie,ment 7„^„7,;i"^Me iGo3, 27.)(s. p.di&cours 1.), LA JEUNESSE DE G. DU VAIR 21 à mentionner qu'il était néet au dehors. Il se borne, dans son Testament', infirme, un corps et un esprit peu laborieux, uneavec « une santé fort conclure que sesmémoire grandement imbeciUe * ». Il faut sans doute en contrariées par lesétudes furent souvent interrompues par la maladie ou '. Jamais sans doute il neménagements que réclamait son état de santé suivie à la foule studieuse qui seput se mêler d'une façon régulière et lecteurs »serrait alors autour professeurs célèbres des collèges ou des «des fut-il ins-qui faisaient la jeune gloire du Collège de France*. Peut-être dans lequel s'enferme surtruit à part et à la maison. Le vague prudent pas plus longce point son biographe semble indiquer qu'il n'en sait que nous. qualités morales de l'enfant, à énu-Il se borne à célébrer les '".mérer les sciences qu'il étudia Nous apprenons ainsi sans trop de le plus tendre,surprise, mais aussi sans grand intérêt, que, dès son âge d'âme, une aimableon lisait sur son front toutes ses qualités, sa force sentiment de l'honneur et l'amourmodestie unie à une douce gravité, le 11 laisser séduire aux charmes de ladu bien. eût pu, ajoute Blacwod, se vie champêtre.
X r. < .^ i.iTT««i»i ^HI»T01»I, <r» . .HiLOLOsii • •*1 VAIRGUILLAUME DU L'HOMME ET L'ORATEUR JUSQU'A LA FIN DES TROUBLES DE LA LIGUE (1556-1596) Par RADOUANTRené Docteur es Lettres Professeur agrégé au Lycée Henri IV »e 1g PARIS LIBRAIRIESOCIÉTÉ FRANÇAISE D'IMPRIMERIE ET DE ET 0°ANCIENNE LIBRAIRIE LECÈNE, OUDIN CLLNY, 1515, RUE DEGUILLAUME DU VAIR