. >x V* p "^ r-%k v.l ^.'- *!i ^\ / ^^ *^x ^ HISTOIRE DE L'ESCLAVAGE DANS" L'ANTIQUITÉ II .; Ouvrage couronné par l'Académie française et par l'Académie des sciences morales politiques.et neque liber, non estNon est Judœus neque Graecus, non est servus femina : omnes enim vos unum eslis in Christo Jesu.masculus neque 28.( Ad Gaiatas, m, ) eiç*/'n^ XXI, 63.) CHAPITRE II DES SOURCES L ESCLAVAGE A ROME.DE I Rome tira ses esclaves des mêmes sources que la Grèce, et la jurisprudence les rapportait à deux catégories : on devenait esclave (servi autnaissait ou on autemnascuntur fiunt)^. On naissait esclave : ce droit des maîtres sur la postérité de leurs serviteurs ne pouvait pas subir de réduction chez un peuple qui environna la propriété d'une sorte de consé- civile, élevant le domaine quiritairecration au-dessus du commun. Aussi, quand, plus tard, on verradroit se parta- ger les plus illustres uriconsultes, « les princes de la cité, »j l'enfantsur ce point : de la femme esclave est-il un fruit*? pas que son état soit mis en litige. Cene croyez n'est pas la nature qui le dispute au maître, mais l'usufruitier ^'est 1. Insiit. I, m, 4. « Vêtus fuitqusestio an partus (ancillae) ad fructuarium pertineret.2. « Sed Bruli sententia obtinuit fructuarium in eo locum non habere. Neque enim in Iructu hominis homo essepotest. » L. 68 (Ulp.)» D-> VU, I, Cf. Gains, D., XXII, i, De usuris, reproduit dans lesDe usufr. 1. 28, Institutes, II, i, et Cicéron, De finih.