La monnaie de Babylone
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La monnaie de Babylone par Bertrand L. Comparet Parce que nous sommes les enfants de Yahweh, nous voulons savoir quelle est la volonté de notre Père. Ensuite, nous voulons vivre selon cette volonté. Vous savez déjà que nous avons atteint ce point particulier de l’Histoire, la fn des temps, les derniers jours. Nous en sommes au point où nous pouvons déjà observer l’approche rapide de l’efondrement total de notre civilisation. Je ne suis pas ici pour vous mentir, pour vous faire croire qu’il sufrait de fermer les yeux pour que les problèmes disparaissent, car ils ne disparaîtront pas. Nous avons fermé les yeux depuis bien trop de générations ; nous devons maintenant les ouvrir et faire face aux faits. Nous sommes au bord de l’efondrement et de la destruction de notre civilisation parce qu’il n’existe aucune mauvaise chose à laquelle nous n’avons pas donné notre accord. Nos dirigeants nous ont trahis, et parmi les traîtres, les principaux sont ces gens dans nos églises. Ces faux hommes d’église ont été à la pointe de la trahison. Quelqu’un a une fois demandé à Satan : « Que vas-tu faire une fois confronté à la grande vérité ? Cette vérité est tellement évidente et claire ! Tu ne peux pas la réfuter ni la tordre ». Satan répondit : « Oh, c’est simple : je l’organiserai ». C’est ainsi que les choses se sont passées. Nous avons laissé Satan organiser les choses, et vous voyez où cela nous a conduits.

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Publié le 20 février 2014
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Langue Français

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Parce que nous sommes les enfants de Yahweh, nous voulons savoir quelle est la volonté de notre Père. Ensuite, nous voulons vivre selon cette volonté. Vous savez déjà que nous avons atteint ce point particulier de l’Histoire, la fin des temps, les derniers jours. Nous en sommes au point où nous pouvons déjà observer l’approche rapide de l’effondrement total de notre civilisation.
Je ne suis pas ici pour vous mentir, pour vous faire croire qu’il suffirait de fermer les yeux pour que les problèmes disparaissent, car ils ne disparaîtront pas. Nous avons fermé les yeux depuis bien trop de générations; nous devons maintenant les ouvrir et faire face aux faits. Nous sommes au bord de l’effondrement et de la destruction de notre civilisation parce qu’il n’existe aucune mauvaise chose à laquelle nous n’avons pas donné notre accord. Nos dirigeants nous ont trahis, et parmi les traîtres, les principaux sont ces gens dans nos églises. Ces faux hommes d’église ont été à la pointe de la trahison.
Quelqu’un a une fois demandé à Satan : «Que vas-tu faire une fois confronté à la grande vérité? Cette vérité est tellement évidente et claire! Tu ne peux pas la réfuter ni la tordre ». Satan répondit : « Oh, c’est simple : je l’organiserai ».
C’est ainsi que les choses se sont passées. Nous avons laissé Satan organiser les choses, et vous voyez où cela nous a conduits. Aujourd’hui, nous sommes nous-mêmes menacés; non par un seul mal, mais par beaucoup de maux. Ils arrivent tous à la fois, comme les rayons d’une roue. Ces maux commencent en différents points de la jante et ils vont dans des directions différentes. Cependant, ils se concentrent tous en un même point, au moyeu. Tous ces maux font partie du système babylonien, duquel le Christ nous a avertis de sortir :
« Sortez du milieu d’elle, mon peuple, afin que vous ne participiez pas à ses péchés et que vous ne receviez pas de ses plaies ».
Aujourd’hui, je voudrais vous parler de l’argent de Babylone. L’ennemi, les enfants de Satan, a souvent essayé, dans le passé, de nous attaquer et de nous détruire par la force et des attaques militaires. Cela a toujours échoué parce que nous étions suffisamment nombreux à être fidèles à Yahweh et qu’ainsi Yahweh est
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venu à notre secours pour détruire l’armée ennemie. Mais l’ennemi a appris que s’il peut contrôler notre système monétaire, il peut nous mettre en esclavage plus complètement qu’il ne le pourrait par la force des armes. De plus, il peut nous faire payer le prix de notre propre esclavage, et pour cela, il n’a pas à sortir un centime de sa poche.
Les libéraux nous ont prêché, depuis longtemps, que l’unique fonction d’un gou-vernement est de taxer ses infortunés citoyens jusqu’au point où ces derniers sont réduits à un état de destitution totale. Ils deviennent entièrement dépendants du gouvernement pour une aumône, pour leur simple survie. Ensuite, ces gens destitués sont sévèrement avertis que, s’ils ne votent pas pour garder la même administration au pouvoir, leur chèque de fin de mois disparaîtra. Cette arnaque a été mise au point afin de perpétuer notre propre esclavage.
Une autre fonction du gouvernement, celle de maintenir la paix, devrait être abdiquée en faveur du droit d’émeute, car les émeutiers fournissent un de ces groupes minoritaires qui aident à la direction de la société et à garder la majorité sous contrôle. Mais une autre fonction importante du gouvernement est celle de l’émission de la monnaie.
Tout l’argent existant dans les treize colonies originelles ne suffirait pas à mener aujourd’hui les affaires journalières d’une ville comme Bellflower, en Californie. Plus notre nation s’étend, avec de plus en plus de gens dans les affaires, et plus il devient nécessaire d’avoir encore plus d’argent en circulation.
L’un des grands économistes d’aujourd’hui, F. W. Taussig de Harvard, déclare sur la quantité théorique d’argent :
« Si la monnaie a pour fonction d’être un moyen d’échange, ce qu’elle est supposée être, il doit y avoir en existence, en circulation, un dollar-argent pour tout dollar en valeur de propriété de n’importe quelle sorte pouvant être achetée avec de la monnaie ».
Si vous êtes un propriétaire, vous voudrez peut-être un jour vendre votre maison. Cependant, vous ne pouvez la vendre à moins qu’il existe suffisamment d’argent avec lequel quelqu’un peut vous l’acheter. Si vous êtes un marchand possédant un gros magasin bien fourni, vous ne pouvez pas vendre un article à moins qu’il existe de la monnaie quelque part en circulation avec laquelle un acheteur puisse acheter votre produit. Je suis sûr que vous pouvez facilement comprendre cela.
Nous ne possédons qu’une fraction d’un pourcent de la monnaie nécessaire pour ces besoins. Cela nous a obligés, du fait du manque d’argent, à faire des affaires avec des crédits bancaires, qui nous coûtent des intérêts : l’usure.
Je ne suis pas en train d’attaquer votre banquier local. En permettant au sys-tème économique babylonien de s’emparer de notre émission de monnaie, nous
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avons rendu les banques nécessaires. Si nous étions sous les lois de Yahweh, nous n’aurions pas besoin d’une force de police comme celle que nous avons aujourd’hui du fait que le manque d’argent force les gens à voler pour survivre. Nous devrions revenir aux lois de Yahweh, après quoi nous connaîtrions une li-berté économique.
Je ne suis pas en croisade pour licencier la moitié des forces de police. Je souhaite que nous ayons plus de forces de police, pas moins, aussi longtemps que nous resterons sous ce système babylonien à la place des lois de Yahweh. Je ne conduis pas non plus une croisade pour abolir le système bancaire local. Cela ne pourra pas être réalisé avant de remettre en place la totalité des lois économiques de Yahweh.
Si vous possédez un dollar en argent, vous pouvez en dépenser cent cents, mais si vous devez emprunter de l’argent, vous ne pourrez probablement en dépenser qu’une partie, parce que vous devrez payer des intérêts. Aujourd’hui, les intérêts sont déduits à l’avance, avant même que le banquier vous prête l’argent. Cela si-gnifie que nous ne pouvons mettre en circulation que de moins en moins d’argent. C’est la raison pour laquelle les lois de Yahweh nous interdisent tout intérêt sur l’argent.
Ce n’est pas seulement que vos acquisitions diminuent mais, puisque vous ne pouvez plus dépenser autant, le marchand ne peut plus vendre autant. À cause de cela, le marchand ne peut pas embaucher plus d’employés, il ne peut pas payer plus de salaires. Tout cela devient un cercle vicieux, et encore, ce n’est qu’une petite partie du problème.
La banque locale débute avec autant de millions de dollars en capital. Ces millions ont été obtenus par la vente d’actions bancaires ou par la possession de parts, et c’est donc cet argent qu’elle peut prêter. Puis les déposants placent leur argent à la banque, qui s’ajoute aux fonds pouvant être prêtés. Cependant, les banquiers ont découvert, avec l’expérience de bien des générations, qu’une banque peut prêter beaucoup plus de dollars qu’elle n’en a enregistré sur ses livres.
Les banquiers prêtent dix dollars pour chaque dollar qu’ils possèdent. La raison pour laquelle ils peuvent faire cela est que très peu de gens demandent leur argent en liquide.
Vous allez à la banque et empruntez mille dollars. Le banquier vous donne dix billets de cent dollars. On vous donne un petit livret sur lequel est écrit 1.000$. Vous rédigez un chèque qui représente le payement d’une télévision, puis vous faites un autre chèque pour un nouvel ensemble de pneus, et ainsi de suite. Les marchands ne prennent pas ces chèques pour en obtenir immédiatement du li-quide ; ils ne font que déposer ces chèques à la banque. Tout ce que fait la banque est d’ajouter des entrées dans sa comptabilité, de transférer le montant de votre
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compte au compte du marchand. Durant tout ce processus, la banque ne doit jamais payer le moindre liquide.
Une fois de temps en temps, vous allez à la banque pour retirer 25$, pour votre argent de poche. Rappelez-vous qu’un dixième de ce que la banque possède dans ses réserves est suffisant pour tenir compte de ces petits montants. Le point est finalement atteint où la banque a prêté dix dollars pour chaque dollar qu’elle possède. Mais, comme vous allez bientôt le comprendre, il existe une entité bien plus sinistre à l’arrière-plan, observant tout cela.
La banque devrait être capable de faire un prêt hypothécaire sur votre maison, qui représente une garantie parfaitement valable, et de le vendre à quelqu’un d’autre. Cela donnerait à la banque plus d’argent pour continuer à fonctionner en tant que banque. C’est la théorie de base sous-tendant l’existence d’une grande organisation, le système de la Réserve Fédérale. Mais le problème avec les théo-ries est que « Les chiffres ne mentent pas, mais les menteurs les manipulent ». Les banquiers ne dirigent pas les banques selon des théories. Cette énorme organisa-tion centrale est faussement nommée, car elle n’est pas fédérale du tout; elle est purement et simplement une institution bancaire privée.
Notre Congrès a donné à cette corporation bancaire privée le pouvoir absolu de créer des paniques et des dépressions à sa propre discrétion, à n’importe quel mo-ment qui lui convient, juste en coupant l’approvisionnement d’argent. La Réserve Fédérale peut quand elle le désire faire cesser toute activité bancaire.
Comme vous le savez probablement, la plupart des marchands ne possèdent pas suffisamment d’argent pour acheter de nouveaux stocks pour leur affaire. Ils fi-nancent ce nouveau stock au moyen des banques, en payant des intérêts. De nom-breux fermiers ont besoin d’un nouvel emprunt chaque année pouvant les soutenir financièrement jusqu’à ce que leurs produits se retrouvent sur le marché.
Ces fermiers doivent obtenir du crédit des banques, à cause du système dans lequel nous nous trouvons. Sous le système de la Réserve Fédérale, des désastres se sont déjà abattus sur nous de nombreuses fois dans le passé.
Beaucoup de fermiers furent ruinés financièrement et de petites banques furent anéanties en 1921. Ces actes étaient délibérés de la part du système. Les banquiers de la Réserve Fédérale amenèrent le grand krach de 1929. Ce sont des exemples de ce que peut donner ce grand pouvoir du contrôle sur l’approvisionnement de la monnaie. C’est un pouvoir qui ne devrait pas être mis entre les mains d’un homme ou d’un groupe d’hommes. Ce pouvoir fut donné, par nos membres du Congrès et du Sénat, aux directeurs de cette institution bancaire privée.
Nous allons maintenant vers l’étape suivante, qui est la pire de toutes. Chaque année, notre nation et les affaires qui y sont conduites doivent s’étendre. Avec plus d’affaires, nous avons besoin de plus d’argent. Mais quand vous n’avez pas
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assez d’argent pour conduire les affaires présentes et que le gouvernement ex-torque l’argent des malheureux contribuables, ce gouvernement ne fait rien pour améliorer la situation, il ne fait qu’empirer les choses.
Le gouvernement, et non des banquiers privés, devrait émettre d’avantage d’argent afin de rester au niveau des besoins grandissants de l’économie de la nation. De cette façon, le peuple serait bénéficiaire et pas des banquiers privés internatio-naux. Si le gouvernement émettait la monnaie, il n’y aurait pas de dette nationale ni besoin d’imposition sur les revenus.
Pour ajouter l’insulte à l’injure, la Réserve Fédérale n’est même pas détenue par des Américains; elle est détenue par des banquiers internationaux Juifs.
Supposons maintenant, pour faire simple, qu’au lieu d’un budget de 180 milliards de dollars pour l’année prochaine, comme le voulait le président Johnson, nous parlions de 100 milliards de dollars. Supposons encore que les experts du Dépar-tement du Commerce calculent que l’année prochaine, afin de garder les affaires au niveau de la prospérité pour tous, il devrait y avoir 15 milliards de dollars supplémentaires en nouvelle monnaie, que le gouvernement utiliserait alors afin de payer ses dépenses. Cela laisserait seulement 85 milliards de dollars devant être levés par la taxation du peuple.
Le gouvernement, entre la nouvelle monnaie créée et les taxes reçues, obtiendrait l’argent dont il a besoin. Mais, plutôt que d’avoir à payer 100 milliards en taxes, nous n’aurions à payer que 85 milliards, et donc les contribuables bénéficieraient de 15 milliards qu’ils ne pourraient pas avoir autrement. Une partie de ce montant pourrait être placé sous forme d’épargne, de telle manière que nous ne serions pas pauvres et destitués de tout en vieillissant, dépendant des allocations gou-vernementales simplement pour manger. Dépenser cet argent mis en circulation créerait des emplois et aiderait à la prospérité de la nation.
C’est de cette façon que les choses devraient aller, mais ce n’est pas de cette façon qu’elles vont. Cela est dû à ce que des hommes corrompus, ayant des objectifs cor-rompus, ont corrompu la loi. Personne n’a eu le courage de défier ce programme de mise en esclavage de notre nation, puisque la Réserve Fédérale a été créée par la ruse.
Je n’ai pas besoin de recommencer depuis le début et de vous expliquer qui sont les enfants du diable ; vous le savez déjà. L’un d’entre eux, qui vint aux États-Unis en 1902, était Paul M. Warburg, un « citoyen Allemand », membre d’une famille « Allemande » de banquiers, qui possédait la M. M. Warburg Company. C’est une grosse firme bancaire allemande ayant ses quartiers-généraux à Hambourg et à Amsterdam. Ils sont les représentants principaux de la firme bancaire de la maison de Rothschild.
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Ce Juif, qui arriva ici, n’apprit jamais à bien parler anglais. Il vint ici pour nous dire comment organiser notre système monétaire, non pas pour notre profit mais pour le sien. Il parvint à faire passer au Congrès le Federal Reserve Act de 1913.
En 1912, grâce à de l’argent prêté par les membres de la firme bancaire juive Kuhn Loeb and Company, un Juif marrane, appelé Woodrow Wilson, fut élu président des États-Unis. Lorsque la famille de Wilson vivait en Allemagne et étaient ouvertement Juifs, ils se faisaient appeler Wolfson. Quand ils partirent pour l’Angleterre, ils suivirent la coutume juive de changer de nom et ils de-vinrent les Wohlson. Quand cette famille vint finalement s’établir aux U.S.A., ils changèrent de nouveau leur nom et devinrent les Wilson.
Comme la plupart des politiciens démocratiques, Wilson se fit racoler pour deve-nir prétendûment un représentant du peuple contre les grands intérêts financiers. En réalité, Wilson était le larbin des banquiers; ils le possédaient comme vous possédez votre chien. Il était à leurs pieds exactement comme un chien et il aida ces banquiers internationaux Juifs à passer le Federal Reserve Bank Act par-dessus l’obstacle du Congrès.
D’abord, ces Juifs tentèrent d’établir une seule banque centrale pour tout le pays ; cependant, nous avions déjà réussi à stopper ce genre de tentative plusieurs fois. Nous avions déjà combattu la banque centrale dès les débuts de notre République. Andrew Jackson avait réussi à la stopper et nous l’avons stoppée une fois encore lors de la Guerre Civile. Finalement, ces Juifs mirent au point un système de douze banques situées dans douze villes principales des États-Unis. La seule à posséder beaucoup d’argent est la New York Federal Reserve Bank. New York commande donc notre système monétaire et, comme vous le savez, il y a plus de Juifs à New York City qu’il n’y en a dans toute la Palestine.
Il fut proclamé que la Federal Reserve Bank fortifierait le système bancaire et que, par conséquent, il n’y aurait plus jamais de faillite bancaire. Mais la Réserve Fédérale ne fut pas inventée du tout dans le but d’aider le système bancaire. En fait, il y a eu plus de faillites bancaires depuis que nous avons adopté le système de la Réserve Fédérale qu’il n’y en eut dans toute notre histoire avant cela.
Entre décembre 1913, lorsque le Federal Reserve Act fut passé, et mai 1929, cinq mois avant le krash d’octobre 1929, il y eut 4.500 faillites bancaires aux États-Unis. L’Histoire rapporte comment les banques firent faillite, sur une échelle nationale, sous l’administration Roosevelt. Franklin D. Roosevelt était lui aussi un Juif marrane.
Les banquiers Juifs mirent au point ce système de la Réserve Fédérale afin d’obtenir le droit d’émettre la monnaie des U.S.A. Il n’existe pas plus de raison pour qu’une institution bancaire ait le droit d’émettre la monnaie qu’il n’y en a pour une quel-conque institution privée de prendre le contrôle du Département de la Défense et de décider si nous devons combattre pour notre liberté ou bien nous rendre
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et nous laisser charcuter. L’émission de la monnaie est une fonction gouverne-mentale, purement et simplement. Laisser cette fonction entre les mains d’une organisation privée est totalement indéfendable.
Vous demandez-vous ce que tout cela a à voir avec la religion et les lois de Yah-weh ?J’ai bien l’intention de vous apprendre les lois de Yahweh que nous avons violées. Je voudrais également que vous appreniez les conséquences de telles vio-lations.
Les Juifs sont des maîtres manipulateurs. Rappelez-vous que la majorité des psy-chanalystes sont Juifs et que le domaine de la publicité est principalement Juif. Ils ont réussi à convaincre les naïfs que si le gouvernement émet sa propre monnaie, exceptées les pièces qui trouvent leur valeur dans l’or ou l’argent qui les com-posent, cela résultera en de l’inflation. Ces Juifs ont réalisé des campagnes de propagande afin de convaincre le peuple de cette absurdité : il n’y aurait derrière la monnaie en tant que garantie rien d’autre que la bonne foi du gouvernement et son pouvoir de taxation.
En d’autres termes, nous pourrions avoir à transformer nos billets en or ou en argent. Si nous désirons aller à l’étranger et acheter quelque chose, les gens à l’étranger pourraient ne pas accepter nos billets s’ils ne représentent que la bonne foi de notre gouvernement et sa capacité à lever de l’argent par des taxations comme garantie que ces billets puissent être rachetés. Ces Juifs prétendent que l’argent des banquiers est différent : il n’est pas inflationnaire parce qu’il est ga-ranti par des obligations gouvernementales.
Examinons cette situation d’un peu plus près. Considérons la façon dont cela de-vrait fonctionner selon la théorie de la Réserve Fédérale. Nous verrons que les gens qui dirigent la Réserve Fédérale n’agissent même pas selon leur propre théo-rie. Supposons que le Département du Trésor possède un milliard de dollars en obligations gouvernementales U.S. et que la Réserve Fédérale possède un milliard de dollars en argent. La Réserve Fédérale transfère donc le milliard de dollars en argent vers le Département du Trésor. La Réserve Fédérale achète alors le mil-liard de dollars en obligations avec cet argent tout frais imprimé. Tout semble équilibré, non?
Selon le Federal Reserve Act, la Réserve Fédérale possède maintenant un milliard de dollars en obligations, sur lesquels nous payons maintenant des intérêts. Cette opération ne leur a rien coûté, à part l’impression des billets. Le gouvernement charge la Réserve Fédérale de 1,25$ par millier de billets imprimés. S’il s’agit de 1.000 billets d’un dollar, ils paient 1,25$. S’il s’agit de 1.000 billets de cent dollars, le coût pour ces 100.000$ est de 1,25$. Quel racket! Quand un contrefacteur imprime de l’argent, au moins il ne nous demande pas des intérêts sur cet argent. Ensuite, la Réserve Fédérale paie avec un chèque sur un compte qui n’existe même pas.
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La Réserve Fédérale ne prend pas ces obligations pour les placer dans ses coffres, elle les laisse dans les coffres du Département du Trésor comme garantie sur l’argent de la Réserve Fédérale. Cela représente certainement plus une garantie que si notre gouvernement émettait la monnaie avec l’appui du gouvernement, ça c’est sûr!
Une obligation du gouvernement n’est appuyée par rien, exceptée la bonne foi du gouvernement et sa capacité à lever de la monnaie servant à payer ces obligations en nous taxant, nous, pauvres idiots de contribuables. Ces banquiers internatio-naux Juifs nous expliquent que la bonne foi du gouvernement n’était pas suffi-sante pour garantir la valeur de l’argent des banquiers. Dès lors, l’argent émis par le gouvernement n’est pas plus inflationnaire que l’argent émis par les banquiers. C’est une des raisons pour lesquelles le président Kennedy fut assassiné : il avait commencé à émettre de l’argent sans dette, sans payer d’intérêts aux banquiers Juifs. Restez avec nous, ce n’est que le début.
La Réserve Fédérale possède maintenant ces obligations, qui ne leur coûtent rien, et nous payons des intérêts dessus. Finalement, ces obligations mûrissent, après que les banquiers ont reçu un nombre incalculable de milliards en intérêts. En-suite, nous leur payons la valeur nominale de ces obligations.
En ce point, il semblerait que la Réserve Fédérale a au moins donné au gouver-nement U.S. un peu d’argent. Mais attendez, il y a une surprise! Certains d’entre vous se rappellent peut-être l’infâme époque du « New Deal » de l’administration Roosevelt. Il y avait un homme important dans l’organisation du New Deal, nommé Mariner Eccles. Entre autres choses, il avait été appointé comme membre du conseil des gouverneurs du système de la Réserve Fédérale. Se trouvant bien placé, il savait ce qui se passait et, lorsqu’il témoigna sous serment devant une comission d’enquête du Congrès, il savait de quoi il parlait.
M. Eccles déclara que la Banque de la Réserve Fédérale ne paie aucun argent au gouvernement fédéral lors de l’achat des obligations. Il témoigna : « Nous créons juste cet argent par une entrée dans nos livres ». Tout ce que fait la Réserve Fédé-rale est d’ajouter une entrée de leurs registres, aux pages consacrées au gouver-nement fédéral. Les quelques gouttes d’encre qui servent à rédiger cette entrée représente l’entièreté de leur investissement dans l’achat de milliards de dollars en obligations sur lesquels nous payons des intérêts à perpétuité. Et cela se passe toujours aujourd’hui comme cela.
Il est vrai que le gouvernement doit signer un chèque sur ce compte, juste comme nous le ferions si nous empruntions de l’argent à la banque et qu’ils nous don-naient un livret contenant des chiffres. Cependant, le gouvernement ne retire pas tout cet argent en une fois, il le retire petit à petit. Les banques gardent ainsi leur pouvoir d’utiliser cet argent pendant une grande partie de l’année jusqu’à ce que le gouvernement en retire un peu, ce qui permet aux banques de réaliser encore plus d’intérêts en prêtant cet argent ailleurs.
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Si les banquiers prêtent le même dollar à dix personnes différentes en même temps, ce qui est une pratique bancaire courante, alors elles gagnent 10 fois sur les intérêts. Restez avec moi, les choses sont encore pires que cela. Ces bandits sont encore plus avides que cela, le pire est à venir.
Ce qui suit représente la façon dont les transactions commerciales sont financées. Disons que vous êtes un marchand et que vous commandez un chargement de biens chez un fabricant. Quelquefois, vous achetez sur un compte ouvert, vous ne payez par à l’avance. Le fabricant vous envoie la marchandise et une note. En règle générale, un paiement endéans trente jours est regardé comme du liquide, et vous recevez une remise de 2%. Si vous ne payez pas dans les trente jours, vous payez le montant total. Mais si vous payez après soixante jours, quatre-vingt-dix jours ou plus, vous commencez à payer des intérêts.
Peut-être que le fabricant veut son argent plus rapidement que cela; vous signez alors un billet à ordre, ou contrat, au fabricant, pour le montant de votre achat. Si le fabricant l’endosse, de manière à garantir le paiement, il peut l’amener à la banque et lui vendre la note.
Les banques ne paient en général pas la note à sa valeur nominale. Sur une note de 1.000$, la banque va peut-être payer 85% ou 90%. Le fabricant est prêt à une certaine réduction s’il peut obtenir son argent directement. De ce fait, il récupère la perte dûe à la ristourne en vous faisant payer plus cher sur la marchandise qu’il vous vend. La banque perçoit les intérêts pour le montant total de la note même si elle n’en paie pas le montant nominal. Cependant, la banque ne prend aucun risque sur la solvabilité de l’acheteur; elle a la signature du fabricant sur la note, garantissant le paiement.
Ce papier est appelé « acceptation commerciale », et les banques en achètent un grand nombre. La loi de la Réserve Fédérale stipule que si la banque de la Ré-serve Fédérale utilise des obligations du gouvernement comme garantie, elle leur retourne des notes de la Réserve Fédérale à hauteur de cent cents pour un dol-lar. Si elle utilise des acceptations commerciales, elle leur retourne des notes de la Réserve Fédérale à hauteur d’un maximum de quatre-vingt-dix cents pour un dollar. Peut-être ces acceptations seront payées, peut-être pas. En attendant, la banque de la Réserve Fédérale récupère son argent, qu’elle peut alors prêter dix fois, avec intérêts. Pendant tout ce temps, ces banques touchent des intérêts du gouvernement fédéral sur des obligations qui ne leur ont absolument pas coûté quoi que ce soit.
Considérez le contrôle complet sur notre vie économique toute entière que pos-sède cette Réserve Fédérale. Cette corporation juive privée peut donner un coup d’arrêt à toute affaire bancaire locale quand elle le désire, à tout moment. Vous souvenez-vous avoir lu dans les journaux, il y a quelques temps de cela, que les directeurs de la Réserve Fédérale pensaient que nous devenions un tout petit peu
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trop prospères et qu’il était temps de ralentir l’économie? La Réserve Fédérale augmenta donc le taux de réescompte.
Les banques locales, afin de garder une réserve suffisante d’argent disponible, doivent être à même d’encaisser ces hypothèques, prêts, etc, qu’elles ont accu-mulés. La banque locale envoie ces différents instruments de dette à la Réserve Fédérale et la Réserve Fédérale les achète, mais elle charge les petites banques de ce taux d’escompte. En augmentant le taux d’escompte jusqu’au point où votre banque locale ne peut plus payer mais est toujours à même de vous prêter de l’argent à un taux que vous pouvez payer, la Réserve Fédérale, en fait, ferme le robinet de réserve monétaire. Sans cet argent, les affaires de la communauté ne peuvent plus être conduites.
La Réserve Fédérale peut absolument refuser d’émettre de la monnaie, mais elle n’a pas besoin de faire cela. Il lui suffit de faire ce qu’elle a fait quelquefois dans le passé : juste augmenter le taux d’escompte jusqu’à un montant impossible.
En 1920, les banquiers de la Réserve Fédérale décidèrent de ruiner les fermiers. Pendant la Première Guerre Mondiale, on encouragea les fermiers à cultiver le maximum de blé et à acheter plus de terres dans ce but. Le gouvernement conti-nuait à affirmer à ces fermiers que c’était leur devoir de patriotes de faire cela. Nous vous montrerons à quel point l’emprunt d’argent pour l’achat de terres fut rendu facile. Les fermiers hypothéquèrent les terres qu’ils possédaient déjà ainsi que les terres qu’ils allaient acheter. Afin d’obtenir de l’argent pour l’achat de ces terres, ils empruntèrent dans leurs petites banques locales. Ces banques n’étaient pas sous le contrôle de la Réserve Fédérale, elles étaient des banques indépen-dantes.
Durant la Première Guerre Mondiale, les usines avaient été tellement actives et les ouvriers avaient reçu de si haut salaires qu’il y avait beaucoup d’argent en cir-culation. Deux fois seulement dans son existence, la Réserve Fédérale permit une augmentation de la réserve monétaire afin que la communauté puisse prospérer. Ce fut durant les deux guerres mondiales. Mais excepté pendant ces deux guerres, la Réserve Fédérale prit soin de baisser la réserve monétaire de telle façon que, non pas l’argent, mais le crédit avec ses intérêts, était la seule possibilité de faire des affaires. Cela leur permit de nous étrangler complètement.
Le temps vint pour ces bandits de reprendre tout l’argent qu’ils avaient mis en circulation. Il était temps de chasser les fermiers de leurs terres. De plus, le travail dans les villes devenait assez indépendant. Les syndicats étaient devenus forts et il était temps de les briser, eux aussi. Ce fut accompli par ces fermiers désespérés qui avaient été chassés de leurs terres et qui avaient migré vers les villes dans leur recherche de travail. Ces fermiers déplacés étaient prêts à travailler dans n’importe quelles conditions, pour n’importe quel salaire, car ils devaient nourrir leurs familles.
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La Réserve Fédérale amena la dépression de 1921 tout simplement en coupant l’arrivée d’argent destiné aux opérations agricoles et aux emprunts fermiers. Ce qui fit aussi tomber en faillite la plupart des petites banques locales, laissant ainsi le système bancaire du pays largement aux mains de cette énorme corporation sinistre, le système bancaire de la Réserve Fédérale.
Pourquoi avons-nous ce système de la Réserve Fédérale, en premier lieu? Nous pouvons retourner au début du vingtième siècle en lisant les magazines de l’époque et y lire exactement ce que je suis en train de vous dire. Certaines personnes se tracassaient de la possibilité d’une guerre à grande échelle en Europe, parce que de nombreuses nations maintenaient de grandes armées et de grandes flottes. Il existait une amère rivalité entre l’Angleterre et l’Allemagne, toutes deux domi-nées par les Juifs. Les gens avaient peur que cette rivalité se développe en une guerre réelle. Tous les économistes renommés affirmaient que c’était impossible, parce que les nations d’Europe ne pourraient pas financer une guerre.
Afin d’obtenir que les nations Blanches Chrétiennes s’anéantissent l’une l’autre, que chaque nation détruise sa voisine au bénéfice des Juifs, et afin de remplir les coffres des grosses maisons bancaires juives, il était nécessaire d’amener une guerre et de trouver des moyens pour la financer. Les branches européennes de la Maison de Rothschild étaient à même de financer un côté d’un tel conflit, mais non les deux côtés. En conséquence, les banquiers devaient mobiliser les ressources financières des États-Unis afin de financer l’autre côté, autrement il ne pouvait pas y avoir de guerre avec de gigantesques profits pour ces banquiers Juifs.
La guerre fut remise jusqu’à ce qu’ils aient mis en place le système de la Réserve Fédérale dans notre pays, en 1913, ensuite de quoi ils commencèrent leur guerre en 1914. Parmi les grosses maisons bancaires affiliées à la Maison Rothschild, il y avait J. P. Morgan et Kuhn Loeb and Company. Ces maisons bancaires amé-ricaines achetèrent d’énormes quantités d’obligations britanniques et françaises. Elles purent obtenir l’argent nécessaire à l’achat de ces obligations grâce à la Ré-serve Fédérale. Il devint vite évident que la Grande-Bretagne et la France allaient perdre la guerre et ne seraient pas capables de rembourser les banques juives sur ces obligations. Il n’y avait aucune possibilité de faire payer les États-Unis pour ces obligations anglaises et françaises, à moins de faire entrer les U.S.A. dans la guerre.
Woodrow Wilson (Wohlson) basa sa campagne électorale pour son second mandat sur le slogan : «Il nous évitera la guerre». C’était en 1916. Wilson s’était déjà engagé avec les banquiers internationaux pour nous emmener dans la guerre. Cette promesse de Wilson constituait son engagement auprès des banquiers juifs, qui avaient fourni l’argent pour son élection et qui le possédaient. Oui, c’est la caractéristique de ces sauveurs du peuple démocrates.
Franklin D. Roosevelt promit : « Che tétéste la kerre. Che fous promets, gomme che l’ai téchà tit soufent, fos fils ne seront chamais enfoyés outre-mer pour kompattre
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