CM un = parler de lui et de ses ouvragesde toujourscelle simple, naturelle, etune con-avecune modestie parfaite. Nul écrivain n'a autant intriguévenance des preneurs et pour as-pour se faire ,et cabale 'ouvrages mais nul aussisurer le succès de ses ; n'a euun langage si complè-après de tels succès, parlantd'orgueil et de vanité, entementexempt plus, onde lui et de ses productions. Il amêmey lettres qu'il avaitsincèrementvoit dans toutes ses droit de le critiquer sans au-donné à ses amis le cescri-cun ménagement et ses réponses à toutes5 même quelquefoistiques, souvent outrées et douceur , une bonhomieinjustes, montrentune mique, lisant un de ses éloges dire : Nos courtisans, si ram-, et il avait cinquante ou soixantepons et si vains , y courtisans dans la salle. une autre laquelle assistaitA séance^ à madame la duchesse d'Orléans, dit, parlant de madameil en princesse, elle aimala duchesse du Maine : Quoiquefemme et une insolence.les lettres, et c'était à la fois une fausseté et lettres, et beaucoupPresque toutes les princessesont protégé les ilstrop de femmes les ont cultivées. Qu'on lise ses discours , sont remplis d'impertinences grossières sur les grands , les nobles , les ministres, {Note de rauteur.)etc. » Voyez ses Lettres. {Note de Vauteur. ) 27.
CM un =<o tHr/MÉMOIRES INEDITS LADE MADAME COMTESSEIMPRIMERIE DE P. J. DE MAT, A BRUXELLES.MÉMOIRES INEDITS LA COMTESSEDE MADAME SUR LE DIX-HUITIÈME SIÈCLE ET LA RÉVOLUTION FRANÇAISE, DEPUIS 1^56 jusqu'à nos jours, TOME SEPTIÈME. Sk BRUXELLES, P. J. DE MAT, LAA LIBRAIRIE FRANÇAISE EX ÉTRAKC^HE, ORANDB PiACE, K° I188. M. DCCC. XXT.DC t. 7