Mémoires sur la vie publique et privée de Fouquet, surintendant de finances, d'après ses lettres et des pièces inédite, conservées à la Bibliothèque impériale

Pierre Adolphe Chéruel

Description

I ! SAI ÉM 1 li •: -ii; u ru l'iMiiju. h rsiTH DE FOUQUET SURIHTEND \VI DES FIN \M.I> - slMON li'l.lXlT, I M, I.TAHIS. !MP. RAÇO.N ET COUP. QUE , 1 S T MOU! EÉM l'IlUlijIK H IIUUI III II \lt ? EQ l) | FOII DES FINANCESSURINTENDANT INÉDITESPIÈCESET DESSUS LETTRESI» U'UKS ,i\-i i . \ 1 i II '.'i I IMPERIAL]\ I \ Bl B I l"i ! PMI CHÉRI ELA PUBLIQUEL'INSTRUCTIONI.IMI-.M l.lIXSPKCTCUH SECONDTOME PARIS ÉDITEURCHARPENTIER, l' l'écoleqi h ita. s I 6 2 ils.In. réservé.'rous FtChs 3T S 4 7 5 MEMOIRES NICOLAS FOUOUET SURINTENDANT I>ES FINANCES L'ABBÉ FOCQUETSON FRÈRE CHAPITRE XXV - 1659 — seulScrvicu 11 lévrier ÎGÔO . Fouquel esl nommé surinten-Mort de me!- . —Son frère, Louis Fouquet, esl nommidant 'le- lin. il février .— François Fouqui vraie elEn est coadjuteur,monsieur sonQue pasteur,mémorableAutre bénisse Iciel à jamaisQue le bénéfice,ce beauAcceptant à Sa MajestéEu a fait - 1 1>de 1 1 survint nul désarroi, Il charma la reine el le roi, El foute leur nombreuse suite, Qui lui volontiers intro luite Dans i ette admirable maison, Dont on pont dire avec raison, Que merveilleuse elle doit èire. Aussi bien que son sage maître, Digne, sans mentir, d'être aimé, El qui lut alors estimé La merveille des magnifiques Aussi bien que des politiques. Fouquet, délivré d'un collègue dont la sévérité et la haute réputation le retenaient, s'abandonna de plus en plus sesà goûts de dépense et à ses passions effrénées.

Sujets

• Fouquet
• France

Informations

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Extrait

ES FINANCES L'ABBÉ FOCQUETSON FRÈRE CHAPITRE XXV - 1659 — seulScrvicu 11 lévrier ÎGÔO . Fouquel esl nommé surinten-Mort de me!- . —Son frère, Louis Fouquet, esl nommidant 'le- lin. il février .— François Fouqui vraie elEn est coadjuteur,monsieur sonQue pasteur,mémorableAutre bénisse Iciel à jamaisQue le bénéfice,ce beauAcceptant à Sa MajestéEu a fait - 1 1>de 1 1 survint nul désarroi, Il charma la reine el le roi, El foute leur nombreuse suite, Qui lui volontiers intro luite Dans i ette admirable maison, Dont on pont dire avec raison, Que merveilleuse elle doit èire. Aussi bien que son sage maître, Digne, sans mentir, d'être aimé, El qui lut alors estimé La merveille des magnifiques Aussi bien que des politiques. Fouquet, délivré d'un collègue dont la sévérité et la haute réputation le retenaient, s'abandonna de plus en plus sesà goûts de dépense et à ses passions effrénées." />

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-ii; u ru l'iMiiju. h rsiTH
DE FOUQUET
SURIHTEND \VI DES FIN \M.I>- slMON li'l.lXlT, I M, I.TAHIS. !MP. RAÇO.N ET COUP. QUE
,1 S T
MOU! EÉM
l'IlUlijIK H IIUUI
III II \lt
? EQ l) | FOII
DES FINANCESSURINTENDANT
INÉDITESPIÈCESET DESSUS LETTRESI» U'UKS
,i\-i i . \ 1
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II '.'i I IMPERIAL]\ I \ Bl B I l"i !
PMI
CHÉRI ELA
PUBLIQUEL'INSTRUCTIONI.IMI-.M l.lIXSPKCTCUH
SECONDTOME
PARIS
ÉDITEURCHARPENTIER,
l' l'écoleqi h ita.
s
I 6 2
ils.In. réservé.'rousFtChs
3T S 4 7 5MEMOIRES
NICOLAS FOUOUET
SURINTENDANT I>ES FINANCES
L'ABBÉ FOCQUETSON FRÈRE
CHAPITRE XXV
- 1659
— seulScrvicu 11 lévrier ÎGÔO . Fouquel esl nommé surinten-Mort de
me!- . —Son frère, Louis Fouquet, esl nommidant 'le- lin. il février
.— François Fouqu< I devienl archevêque de Nar-évêque d'Agde mars
— — visite Vauxentrée dan- cette ville mai). Mazarinhonne. Son
—— la cour dans ce château juillet . Il esl at-(juin . Fouquel reçoil
—parColbert.par Hervart, contrôleur général dès finances, ettaqué
se trouvait la cour, el découvre lesFouquel arrive à Bordeaux, où
— envoieoctobre). Il Gourvilleà Saint-Jeanprojets de ses ennemis
peu de tempsMazarin. el s'y rend lui-mêmede i.uz. où se trouvait
— sur sa conversationde Mazarin à Col) ert 20 octobreaprès. Lettre
— de 28 octobre). — Mazarinavec le surintendant. Réponse Colberl
—à l'époque où il aura rejoint la cour. Signatureremet la décision
de la paix des Pyrénées "novembre.
gran-L'année 1059 marque le plus haut point de la
sm in-Scrvien, son collègue dans ladeur de Fouquel.
i I,conservé le premier i;uig.tendance, avail toujoursm i:\mi kl sa
ildupe des ruses de Fouquet, le tenaitnioique souvent
lévrierétant mort le 17 1659,Mais Servienen bride.
aprèsseulsurin-fui nomméquatrejoursNicolasFouquet
roi, pour luiles termes dont se servit letendant, et
des finances, ajoutèrentconférer la direction absolue
1
. lettre royale adres-cette éclatante laveur Laencore à
«Le poids ets'exprimait ainsi :à Nicolas Fouquetsée
augmen-des financesde l'administrationla difficulté
extraordinairesles jours par les dépensestant tous
nous oblige,de la guerreauxquelles la continuation
con-sieur Servien, auquel,arrivé le décès duet étant
avions commis la sur-avec vous, nous enjointement
au choixaurions lieu de penserintendance, nous
occupait, siremplir la place qu'il11*1111 sujet capable de
votre fidélité, éprouvéeque nous avons enla confiance
lepreuve eten cette fonction, lapendant six années
la vi-l'assiduité etvous avez fait connaître,zèle que y
avec l'expériencevous avez apportées,gilance que y
avons faiteet l'épreuve que nousvous avez acquiseque
emploi et en plusieurs autresconduite en cetde votre
nous donnaient toutenotre service, neoccasions pour
nécessaire deil n'est pasassurance que non-seulement
de vous en soulagerde cette charge etpartager les soins
importecollègue, mais aussi qu'iljonction d'unpar la
service, pour la fa-dit État et de notreau bien de notre
expéditions, quepromptitude desdes affaires et lacilité
etsoit pas divisée,de nos finances nel'administration
surintendant des
« Fouquet seulqui nomme KicolasL ordonnance
MU-Foucault, déjà cité, t.clans le journal de.finances se trouve
preuves.a dit encore faire sesde capacité. OnProbablement preuve