Ciel d’archange ventilé par des volutes De nuages, qui errent de sensation en Pamoison, la voie lactée alors se pave De lucioles rugissantes, la liberté prônant
Des sons aigus explosent le ciel ennuyé Les petits saltimbanques imagent l’été et se posent sur un rai de lumière fugitive Ils s’éclipsent soudain, atlantes à la dérive
Ils osent, ils formatent la voie lactée Données perdues le soleil alors expire Se connecte l’ère glaciaire, nos internautes Dans un copier coller hâtif ont rédempté
L’univers, le soleil bastonne ces insolents Lutins qui de monocles s’emparent Et se moquent des rayons lénifiants Du vieillard dont la course se crépuscule