Le sujetLe modèleEtude de l’évolution de la populationConclusionModélisation aléatoire et étude de l’évolutiongénétique d’une petite population sexuéeCamille CoronEcole Polytechnique, Sylvie Méléard13 Octobre 2009Camille Coron Modélisation de l’évolution d’une petite populationLe sujetLe modèleEtude de l’évolution de la populationConclusionLe sujetLes questionsLe vortex d’extinctionBibliographieLe modèleLa populationLes mortsLes naissancesEtude de l’évolution de la populationHypothèses sur la mutationLes calculsCe que l’on pourrait faire aprèsConclusionCamille Coron Modélisation de l’évolution d’une petite populationLe sujetLes questionsLe modèleLe vortex d’extinctionEtude de l’évolution de la populationBibliographieConclusionLes questions que l’on se poseI Qu’est-ce qu’une petite population?I Quels sont les phénomènes biologiques caractéristiques d’unepetite population?I A partir de quelle taille de population peut-on considérer queces phénomènes sont négligeables?Camille Coron Modélisation de l’évolution d’une petite populationLe sujetLes questionsLe modèleLe vortex d’extinctionEtude de l’évolution de la populationBibliographieConclusionLe vortex d’extinctionPopulation de petite taille⇒ Les mutations délétères ont plus de chance de se fixer (il y aplus de consanguinité).⇒ La fitness de la population est plus petite.⇒ La taille de la population diminue.Camille Coron Modélisation de l’évolution d’une petite ...
I Qu’est-ce qu’une petite population ? I Quels sont les phénomènes biologiques caractéristiques d’une petite population ? I A partir de quelle taille de population peut-on considérer que ces phénomènes sont négligeables ?
Population de petite taille ⇒ Les mutations délétères ont plus de chance de se fixer (il y a plus de consanguinité). ⇒ La fitness de la population est plus petite. ⇒ La taille de la population diminue.
no
Le vortex d’extinction
alitopuptitenepend’uutio
ieraphopetalupnoit
I Population de taille variable, sans hypothèse de grande taille. I Population sexuée. I Introduction de mutations délétères. I Etude de la fixation de ces mutations.
Lande, R. : Risk of Population Extinction from fixation of New Deleterious Mutations. Evolution, Vol. 48, No. 5, (1994) pp.1460-1469. Champagnat, N., Lambert, A. : Evolution of Discrete Populations and the Canonical Diffusion of Adaptive Dynamics. The Annals of Applied Probability, Vol. 17, No. 1, (2007) pp.102-155
d ( 1 ) ( ν t ) = d 1 + c 11 ( k t − 1 ) + c 21 m t + c 31 n t .
n
Les morts
I Mort naturelle : Chaque individu de type i meurt de façon naturelle au taux d i , i.e le temps d’attente avant sa mort (naturelle) est une variable aléatoire de loi exponentielle de paramètre d i . I Mort par compétition : Chaque individu de type i fait mourir par compétition chaque individu de type j au taux c ij . Au total, au temps t , chaque individu de type 1 meurt au taux :
I Une rencontre a lieu dans la population au temps t au taux bN t tant que N t > 1. I Chaque couple d’individu est équiprobable. I La rencontre donne lieu a une naissance avec une probabilité qui dépend des deux types mis en jeu : p ij est la probabilité que deux individus de types i et j donnent naissance à un autre individu lors de leur rencontre.