Publications  ; n°1 ; vol.35, pg 97-318
223 pages
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Revue des études slaves - Année 1958 - Volume 35 - Numéro 1 - Pages 97-318
222 pages

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Publié par
Publié le 01 janvier 1958
Nombre de lectures 31
Langue Français
Poids de l'ouvrage 18 Mo

Extrait

André Vaillant
Marc Vey
ANDRÉ MAZON
André Frolow
Roger Portal
Monsieur Nikita Struve
Monsieur Élie Borschak
Victor-Lucien Tapié
Monsieur Alfred Fichelle
Monsieur Étienne Decaux
Monsieur Claude Backvis
Aleksander Gieysztor
Monsieur Paul Lemerle
Prof. Boris O. Unbegaun
Monsieur Roger Bernard
Publications
In: Revue des études slaves, Tome 35, fascicule 1-4, 1958. pp. 97-318.
Citer ce document / Cite this document :
Vaillant André, Vey Marc, MAZON ANDRÉ, Frolow André, Portal Roger, Struve Nikita, Borschak Élie, Tapié Victor-Lucien,
Fichelle Alfred, Decaux Étienne, Backvis Claude, Gieysztor Aleksander, Lemerle Paul, Unbegaun Boris O., Bernard Roger.
Publications. In: Revue des études slaves, Tome 35, fascicule 1-4, 1958. pp. 97-318.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/slave_0080-2557_1958_num_35_1_7754CHRONIQUE
Appel aux lecteurs.
Cette chronique bibliographique ne peut prétendre à être exhaustive.
Cependant nos lecteurs, qui en connaissent l'utilité, sont en droit d'attendre
qu'elle soit aussi complète que possible, ou tout au moins ne laisse rien
échapper d'essentiel. C'est à eux les premiers qu'il appartient de nous en
signaler les lacunes et, ce qui sera mieux, de les prévenir en adressant à la
Revue des Études slaves un exemplaire de leurs propres publications :
livres, ou revues, ou tirages à part de leurs articles. Ils contribueront ainsi
pour leur part à faire de cette chronique le bien commun que doit être
tout répertoire bibliographique, et ils rendront à nos études un service dont
les slavistes leur sauront gré.
Nous les remercions à l'avance de l'attention qu'ils voudront bien prêter
à cet appel.
Généralités.
Linguistique et grammaire comparée; domaines voisins du slave. —
Witold Doroszewski interprète par une activité linguistique plus complexe
que l'évolution simple de la langue, par une action de l'esprit sur la
matière, les désaccords entre les données réelles de la dialectologie et les
données théoriques de la méthode historique et comparative (Beogradski
međunarodni slavistički sastanak, 1957, p. 519-526). — Maximilian Braun
présente quelques observations sur le sens instinctif de la langue (Slav. rev.t
X, 1957, p. 153-159). — Petar Guberina confronte la logique des logiciens
et la logique du langage (Studia romanica Zagrabiensia, II, 1957, 3,
p. 13-30).
La thèse d'Yves Millet, Les postverbaux en tchèque (Paris, 1958, 240 p.,
Travaux publiés par l'Institut d'Études slaves, XXVII) intéresse la linguis
tique générale par son introduction qui pose la question des postverbaux
dans les langues indo-européennes, depuis l'origine du type des dérivés
nominaux de racines verbales jusqu'à son aboutissement extrême, la «con
version » de l'anglais où l'on passe sans changement de forme du verbe au
nom et inversement, et où un mot est à la fois nom et verbe.
ÉTUDES SLAVB8. 4 98 CHRONIQUE : PUBLICATIONS.
Pier Giuseppe Scardigli présente, sur la base du ђ, hittite, des observa
tions sur la théorie des laryngales du hittito-indoeuropéen (Atti e memorie
delV Accademia Toscana, XXII, 1957, Florence, 1958, p. 71-116); — et
Pelio Fronzaroli cherche à préciser la place dialectale du hittite dans l'indo-
européen (ibid., p. 117-179). — Karel Janáček commente les vues de Jerzy
Kuryłowicz sur l'accentuation des langues indo-européennes (Slávia, XXVI,
1957, 4, p. 489-499). — Adam Heinz examine le rôle du génitif dans le
système des cas de l'indo-européen, en dressant un tableau raisonné de ses
divers emplois et de ses valeurs : Genitivus w indoeuropejskim systemie
przypadkowym, Varsovie, 1955, 112 p., Państwowe wydawnictwo naukowe.
— Chr. S. Stang distingue en indo-européen les adjectifs purement quali
ficatifs et les adjectifs « appositionnels » plus proches des substantifs, les
premiers seuls présentant l'opposition du masculin et du féminin (Norsk
Tidsskrift for Sprogvidenskap, XVII, p. 129-145). — Le même auteur sou
ligne l'importance des faits de palatalisation en grec préhistorique, dans le
traitement des groupes comme *ty donnant une géminée тт, <7<т, sans faire
de rapprochement avec le traitement également curieux des consonnes pala-
talisées en slave (Symbolae Osloenses, XXXIII, 1957, p. 27-36). — Oswald
Szemerényi passe en revue les hypothèses présentées ou possibles sur l'or
igine du suffixe grec -sus, en écartant le rapport entre le type verbal grec en
-sva et le type balto-slave en si. -ovati, -uje- (MNHMH2 XAPIN, recueil à
la mémoire de Paul Kretschmer, II, Vienne, 1957, p. 159-181). — Je pro
pose d'expliquer le nom du dieu thrace 2aêa£«o?, que H. Grégoire a ident
ifié à gr. 'FiXsvdspos, lat. Liber, par i.-e. *swo-potis «maître de soi, libre»,
germano-slave svobodí (La Nouvelle Clio, VII-IX, n08 7-10, 1955-1957,
p. 485-486).
A. Rosetti, par l'observation phonétique du roumain et des langues
slaves , marque la différence entre les consonnes palatalisées et les consonnes
mouillées (Mélanges Mladenov, 1957, p. 485-491). — Weriand Merlingen
traite des consonnes palatalisées du point de vue phonologique (ibid.,
p. 493-501).
Le premier tome du Godišnjak de l'Institut balkanologique de Sarajevo
(1957, 478 p.), publié par la Société scientifique de Bosnie-Herzégovine,
s'ouvre sur l'annonce de la mort de son fondateur, Henrik Barić, et sur
une notice nécrologique que lui consacre Ivan Pudié. Il faut espérer que
l'œuvre que Barié a créée avec toute son autorité de comparatiste et de
balkanologue, et qui a si bien sa place à Sarajevo, pourra être continuée
par ses collaborateurs et les élèves qu'il a formés. Il a donné à ce tome de la
revue qu'il inaugurait une suite d'articles et de notules : sur «Albanais,
roman et roumain» (p. 1-16), titre qu'il a intentionnellement repris à son
maître Meyer-Lubke; sur l'étymologie d'une série de mots albanais et les
problèmes généraux que pose de l'albanais (p. 243-256, 256-
260, 261-271), sur le vénète et l'illyrien et leurs rapports avec le germa
nique (p. 272-275), sur un toponyme illyrien et le nom de la ville macédo
nienne de Štip (p. 276-278). — Parmi les autres articles, on signalera ici GÉNÉRALITÉS. 99
celui de Henri Boissin qui analyse une formation balkanique aberrante de
composés, avec référence particulière à l'albanais (p. 17-28); — et celui de
G'org'i Šoptrajanov qui, en partant de lat. amurca « marc d'olives », suit
l'histoire du mot dans les langues romanes et balkaniques et, avec quelque
hardiesse, dans l'onomastique (p. 105-178, long résumé en français).
L'Académie roumaine fait paraître un recueil de Mélanges linguistiques
(Bucarest, 1957, 301 p.) à l'occasion du VIIIe Congrès international des
linguistes à Oslo : les articles qu'il contient, rédigés en français, allemand
ou anglais, représentent la contribution des linguistes roumains à l'étude de
divers problèmes posés à ce congrès. D. Macrea donne un rapport sur
l'activité linguistique en Roumanie (p. 9-15); — G. Ivänescu passe en revue
les différentes conceptions sur les relations du temps, de l'aspect et de la
durée de l'action verbale dans les langues indo-européennes, et il recherche
l'expression de l'aspect dans les romanes et spécialement en rou
main (p. 23-61); — I. Çiadbei compare les éléments romans de l'albanais
avec le roman d'Orient que continue le roumain (p. 63-69); — Andrei
Avram caractérise les semi-voyelles du roumain au point de vue phonolo
gique (p. 71-79); — E. Petrovici souligne l'interpénétration en roumain
d'une morphologie romane et d'une phonologie slave (p. 81-89); —
A. Rosetti consacre une note à la phonologie et aux changements phonét
iques (p. 91-95); — Em. Vasiliu donne une classification des consonnes
roumaines d'après leur distribution et les pourcentages de fréquence (p. 97-
112); — Tatiana Cazacu indique qu'un mot offre, autour de son noyau
sémantique, des nuances de signification variées, et qui évoluent en fonction
d'un ensemble (p. 113-127); — I. Coteanu, en analysant les emprunts de
l'istro-roumain au slave, présente une critique du concept de «langue
mixte » (p. 129-148) ; — Mircea Zdrenghea traite des contacts linguistiques

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