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Vendredi 30 janvier 2004 SNES CRETEIL aux S1 des collèges p.1Snes Créteil Info www.creteil.snes.edu Tél. 01.44.75.13.83 Fax 01.44.75.13.93 13 bis rue Beccaria 75012 Paris Plusieurs passages du projet de circulaire de étroitement liés à une élévation massive desrentrée sont très flous mais l’architecture qualifications. Nous sommes donc confrontés àgénérale qui se dessine est suffisamment un choix politique majeur : ou on investitexplicite pour nous inquiéter au plus haut point. massivement dans notre système éducatif pourEn effet, ce projet encourage à anticiper de façon inverser rapidement la tendance, ou on ne le faitexpérimentale dès la rentrée 2004 une pas et on expédie des milliers de jeunes sur ladéréglementation, applicable a priori en 2005, et voie de l’exclusion, solution faussementconforme aux réglementations européenne et à la économique dont la facture à long terme risqueloi organique sur les lois de finances (LOLF). Il de s’avérer très salée et pas seulement sur letraduit un fort désengagement de l’état dans plan financier…le domaine éducatif et renvoie au local tout ceUne école qui prend l’eau, c’est tout un pays quiqui peut l’être, ce qui, non seulement ne règleracoule. Nous avons un devoir de résistance pourpas les problèmes (on ne voit ...

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Vendredi 30 janvier 2004SNES CRETEILaux S1des collgesp.1   Snes Crteil Infowww.creteil.snes.eduTl. 01.44.75.13.8313 bis rue Beccaria 75012 ParisFax 01.44.75.13.93               
Plusieurs passages du projet de circulaire de rentre sont trs flous mais larchitecture gnrale qui se dessine est suffisamment explicite pour nous inquiter au plus haut point. En effet, ce projet encourage  anticiper de faon exprimentale ds la rentre 2004 une drglementation, applicable a priori en 2005, et conforme aux rglementations europenne et  la loi organique sur les lois de finances (LOLF).Il traduit un fort dsengagement de ltat dans le domaine ducatif et renvoie au local tout ce qui peut ltre, ce qui, non seulement ne rglera pas les problmes (on ne voit pas pourquoi) mais risque en outre de renforcer de manire inacceptable lingalit de loffre ducative sur lensemble du territoire. Petit  petit, cest bien une cole librale  plusieurs vitesses qui est en train de se mettre en place sous couvert « dadaptation la diversit des publics». Cette pseudo-adaptation masque mal en ralit un renoncement  lutter contre lchec scolaire et la constitution de filires de relgation pour les lves les plus dfavoriss. Une fois de plus, ce sont les lves des classes populaires, et en particulier ceux de notre acadmie, qui feront les frais de cette politique dsastreuse dont la cohrence densemble est, hlas, de plus en plus claire… Pour lheure, il ne semble pas que la dfense de lcole, lamlioration des conditions de travail, llvation des qualifications et autres broutilles soient une proccupation majeure pour un gouvernement qui semble raisonner trs court terme et qui a dclar une vritable guerre aux services publics. A travers des mesures dconomies budgtaires drastiques et des suppressions de poste sans prcdent, on met en pril des options, des classes, des tablissements :bref, on profite du dpart en retraite massif des personnels pour liquider lcole. Dommage car nous savons bien que lavenir du pays, des jeunes, de lemploi, de la recherche mais aussi de lconomie sont
troitement lis  une lvation massive des qualifications. Nous sommes donc confronts  un choix politique majeur: ou on investit massivement dans notre systme ducatif pour inverser rapidement la tendance, ou on ne le fait pas et on expdie des milliers de jeunes sur la voie de lexclusion, solution faussement conomique dont la facture  long terme risque de savrertrs sale et pas seulement sur le plan financier…
Une cole qui prend leau, cest tout un pays qui coule. Nous avons un devoir de rsistance pour nous opposer  cette politique. A nous de peser de toutes nos forces pour ne pas laisser faire…
Valrie SULTAN
circulaire de rentre, moyens, me alternance en 3, mise en option des disciplines artistiques, autonomie des quipes, mise  mal du remplacement…
LE SNES DCIDE LA GREVE NATIONALE DES LE RETOUR DES CONG S! SOMMAIRE 1/ Edito2/ Le SNES appelle 3/ Et les IDD ?4/ Diffrents pavs SNES-Crteil Info – Prix: 0,3010Abonnement : -Imprimerie -Spciale SNES – hebdomadaire – Directeur de Publication G. Rquigny CPen cours. N04-8
Vendredi 30 janvier 2004SNES CRETEILaux S1des collgesp.2
ET LES IDD ?
Commenons par un constat : notre enqute collge montre  lvidence que les IDD ne sont toujours pas accepts par la profession. Quelques collgues les font volontiers, mais ceux qui sont dans ce cas bnficient bien souvent de conditions de travail particulires (demi-groupes en particulier). Sinon, toutes les difficults signales par de trs nombreux tablissements lors de la mise en place du dispositif subsistent. Ct administration, les IDD sont plus considrs commeun moyen de gestion des personnels que comme une activit pdagogique rellement importante. Ct bilan, on continue  constater que les IDD profitent surtout aux bons lves et quils ne permettent pas de rsoudre lchec scolaire.  Lescollgues, pour la plupart, font clairement la distinction entre les IDD, quils continuent  rejeter, et une pluridisciplinarit bien pense, quils prconisent.  Enfin,beaucoup de collgues qui staient lancs dans les IDD pour essayer ne trouvent pas le bilan satisfaisant.  Lenqutecollges que nous avons ralise cette anne montre une tendance lourde :  lvidence, les IDD tombent MASSIVEMENT sur les notitulaires, les TZR, les collgues nouvellement muts, les personnels en sous-service et les prcaires, bref, tous les personnels les plus fragiles qui se sont souvent retrouvs  la rentre avec un IDD impos, sans savoir avec qui ils allaient travailler etsans pouvoir donner leur avis, alors que le dispositif doit tre vot en CA et sinscrire dans le cadre du projet dtablissement. Pdagogiquement, cest plutt croquignole. Cela traduit  lvidenceun rejet massif des IDD par la profession. Dans dautres tablissements, les choses se droulent de faon plus collective et solidaire : tout le monde rejette les IDD et il ny en a pas du tout. Enfin, de nombreux tablissements continuent  pratiquer lIDD homopathique (un ou deux IDD seulement pour tout le collge). Au dbut de cette anne, nous avons not que les collgues se dcomplexaient par rapport aux IDD. Les propos de Luc Ferry sur leur caractre ventuellement facultatif a conduit plusieurs collgues  les abandonner sans regrets, surtout lorsquils se sont rendus compte que ces IDD nentraient pas en compte dans le contrle continu du brevet. Cependant, il semblerait que la circulaire de rentre, qui est plutt floue et contradictoire sur ce point pour le moment, insiste de nouveau sur leur caractre obligatoire.Le SNES attend une clarification des choses et a rappel ses revendications en la matire: suppression des IDD, raffectation des heures aux disciplines, abondement des DHG pour la mise en place dactivitspluridisciplinaires, avec des petits,
groupes, des moyens, de la formation, un cadrage national etc..
Ct Recteur, lheure est pour linstant  la souplesse. Lors dune entrevue de rentre, il nous a dclar que lon pouvait maintenir les IDD partout o ils fonctionnaient et les remplacer par autre chose partout o ils ne fonctionnaient pas, ce qui pose deux problmes au SNES :
1.Sur quels critres notre Recteur se fonde-t-il pour dcrter quun IDD fonctionne ? 2.Sil ne fonctionne pas, par quoi envisage-t-il de le remplacer ?
Nous nhsiterons pas  linterpeller de nouveau sur cette question lors du prochain CTPA.
Pour la rentre 2004 , et si les IDD vous posent problme, engouffrez-vous durgence dans le passage suivant de la circulaire de rentre: «on confiera donc aux quipes pdagogiques le soin dutiliser au mieux, compte-tenu du contexte singulier de chaque tablissement, les moyens horaires correspondant  ces dispositifs. Ainsi seront rendus possibles… des modulations, voire des substitutions (par exemple entre IDD et dautres modalits daide aux lves).
Circulaire de rentre : dernier virage avant le mur ?
Le projet de circulaire de rentre qui nous a t remis par le Ministre est trs inquitant. De larges extraits en ont t publis dans lUS et dans le courrier de S1 N 6 que vous trouverez sur le site du SNES national. En ltat, ce projet ne nous parat pas amendable car contraire  la conception que nous nous faisons de lcole. En effet, on ne peut pas  la fois restreindre les budgets, tout renvoyer au local, ne pas aider les quipes et leur faire porter,  terme, la responsabilit de tout ce qui ne marchera pas !  Enfin,rappelons que «lautonomie des tablissements » se traduit souvent dans les faits par «une autonomie des chefs dtablissement… ». Ce projet marque un vritable tournant pour lcole publique et institutionnalise de fait la sgrgation scolaire. Il faut y mettre un frein de toute urgence, et les personnels ont un rle essentiel  jouer sur ce point,  la fois par des luttes nationales, mais aussi sur le plan local,notamment par lintermdiaire des CA.
Vendredi 30 janvier 2004SNES CRETEILaux S1des collgesp.3
Ecoles de riches, coles de pauvres… La circulaire prconise galement un dsengagement progressif de ltat par rapport aux questions scolaires et une diversification maximale, terme gnrique recouvrant des ralits trs diffrentes, allant de la classe europenne  lalternance en passant par la classe CHAM, la classe sportive etc.. Il y a ici un vritable risque dadaptation  lchec scolaire et non de lutte contre :en effet que les classes europennes concerneront globalement le mme type de public (classes moyennes, voire aises, collges plutt favoriss), alors que les dispositifs de relgation vont au contraire fleurir et se dvelopper dans les zones difficiles. En labsence de rgulation de ltat, on risque daboutir  un regroupementdes lves en classes sociales, voire en groupes ethniques, en accentuant la sgrgation urbaine. Seuls ceux qui auront le choix daller ailleurs pourront alors quitter les collges difficiles. Ceux qui vont y rester se retrouveront de fait « regroups par dfaut « Bref, sous prtextequil y a en France 12% dlves en difficult (ce qui signifie en clair quil y en a aussi88% qui russissent !) on en profite pour orchestrer un clatement organis de tout le systme ducatif, mais aussi pour remettre les lves les plus favoriss dans des filires dexcellence. Quelle cohsion sociale se prpare-t-on pour lavenir si lcole, cest--direle dernier endroit o devrait se raliser la mixit sociale renonce elle aussi  cet ob ectif ?
Rien pour lutter contre lchec scolaire… Le projet ne prvoit quasiment rien sur les SEGPA , sur les EREA ou les UPI. Il envisage tout juste un pilotage dpartemental pour les dispositifs relais. Pour les non francophones, qui sont nombreux  Crteil, on suggre ventuellement de les intgrer dans des classes ordinaires sils ont t scolariss avant, en proposant «si ncessaire» une remdiation  leur lacunes ! Il ny a rien non plus sur la formation ni sur les quipes de suivi. Quant aux CPE, on leur consacre tout juste deux lignes pour les inciter  engager les lves dans lopration « envie dagir » …
Disparits horaires :
Notre enqute collges 2004 confirme que des disparits importantes existent dj entre les tablissements au niveau des horaires lves, non seulement dun collge  lautre, mais mme dune classe  lautre. La drglementation est donc dj en route officieusement et la circulaire de rentre risque encore daccentuer ce phnomne. Nous vous invitons  consulter prcisment les grilles horaires pour chaque discipline (voir courrier de S1 n 6) et  lutter pour quelles soient respects. Notre enqute montre aussi que bien des choses sont caches aux enseignants: beaucoup ignorent que les grilles horaires du cycle central comportent une heure non flche qui peut tout  fait tre raffecte sur les disciplines pour lutter contre les horaires planchers, dautres ne savent pas comment les principaux grent les HSA et les HSE qui sont attribues  ltablissement. Cette absence de transparence donne lieu  des drives de toutes sortes. Il faut absolument se battre pour exiger plus de transparence et dquit en favorisant  chaque fois une politique globale de rpartition des horaires sur ltablissement et en vitant au maximum que chaque discipline dfende isolment sa boutique au dtriment dune autre. Nhsitez pas non plus, si votre DHG est trop trique,  intervenir auprs de lIA pour exiger un abondement. La section dtablissement du SNES a un rle essentiel  jouer sur ce point. Nhsitez pas  faire appel  nous si vous avez besoin daide !
Les heures de vie de classe : Elles ne sont toujours pas rmunres pour le moment. Vous pouvez donc, au choix : 1)Rclamer au minimum un paiement en HSE si le chef dtablissement peut les financer 2)Engager une action syndicale pour rclamer  linspection acadmique des moyens supplmentaires 3)Refuser dassurer la vie de classe. 4)Rappelons que lheure de vie de classe nest pas comprise dans lISOE et encore moins rserve au seul professeur principal ! 5)Prcisons quun paiement de 10 HSE annuelles est prvu pour chaque classe dans le 93 dans le cadredu plan de rattrapage.
Laction :  Lerenvoi au local de nombreuses dcisions implique une action spcifique dans chaque tablissement. Tout le monde peut se battre  son niveau contre une cole  deux vitesses. Dans ce domaine, laction peut savrer trs payante,  condition quelle soit collective. Nous avons par ailleurs constat cette anne une forte hausse du nombre dinscrits  nos stages lus au CA dans les trois dpartements. Ces stages nous semblent essentiels pour que les lus puissent agir en CA en toute connaissance de cause. Nhsitez pas  faire appel au SNES pour toutes vos questions concernant le CA  venir sur la DHG, quil faut prparer avec beaucoup de soin.  Evidemment,ces actions locales ne sauraient se suffire  elles-mmes et encore moins remplacer un vaste mouvement dampleur au niveau national pour mettre un frein  ces drives dans leur globalit.
Vendredi 30 janvier 2004SNES CRETEILaux S1des collgesp.4
Nouvelle troisime : du changement dguis en continuit !
 Prcisonstout dabord que cette nouvelle troisime nest prvue que pour la rentre 2005. Pour linstant, peu de changements  lhorizon en 2004, les horaires anciens, ceux de 96 donc, sont toujours appliqus. Par contre, la circulaire de rentre 2004 contient dj des orientations qui se trouvent dans le projet 2005. Il y a donc un gros risque pour que les chefs dtablissement soient fortement encourags  anticiper sur la rforme. Il va donc falloir tre vigilants en CA !
 Lafuture troisime est destine  remplacer les troisimes actuelles. On affirme tout de suite dans la circulaire quelle sera diversifie. La troisime professionnelle est supprime et il ny a aucune allusion  la 3I mais pour lheure, personne ne sait ce quil y aura  la place.  Amusant: on a un tronc commun de 28 heures 30 comportant  lintrieur des lments de diversification (technologie, enseignements artistiques). Il sagit donc dun «tronc commun diversifi » !  Certainsenseignements prsents comme communs ne le sont donc pas du tout. Dun autre ct, il y a un vrai risque pour que les consignes gouvernementales conduisent  une institutionnalisation massive des dispositifs drogatoires puisque lapprciation de leur pertinence est renvoye aux situations locales…
Le Ministre se plaint que le dveloppement de lalternance aurait donn lieu  certaines drives et le projet de circulaire laisse entendre quil faut y mettre bon ordre, tout en donnant des directives tellement floues quen dfinitive, chacun risque de faire encore plus ce quil voudra.Cette diversification est videmment mettre en relation avec lorientation. Le projet contient en germe des dispositions trs inquitantes,  la fois pour les lves, qui risquent une sortie anticipe du systme ducatif, pour les CO-psy, qui risquent de voir revenir par la fentre une dcentralisation chasse par la porte, et enfin pour les autres personnels, qui risquent  terme de devoir faire le travail des CO-Psy, mais sans formation ni moyens.
Brevet Il change radicalement dallure et se prsente dsormais selon trois modules. Selon les prvisions du Ministre, il suffirait de nen valider que deux sur les trois pour que le brevet soit obtenu. Par contre, une moyenne infrieure  cinq dans un des modules serait liminatoire, ce qui ne nous semble pas tre une garantie suffisante. Les trois modules sont les suivants : -Le contrle continu (qui ne porterait plus dsormais que sur les notes de 3me) -Les enseignements optionnels (LV2, dcouverte professionnelle, technologie qui passe au coefficient 2, enseignement artistiques) -Lexamen final qui ne comporterait plus que deux matires, franais et mathmatiques. Lhistoire-gographie passerait au contrle continu avec coefficient 2 (mais il ny a pas de petites conomies !). Dsormais, il suffirait donc de faire valider deux modules sur trois pour obtenir le brevet, ce qui signifie en clair que les lves pourraient fort bien se passer de lexamen final! Cest dautant plus ennuyeux que le SNES rclame au contraire un renforcement de cet examen, par exemple en y ajoutant une preuve de langue vivante, ou encore une preuve doral… Bref, tout cela va dans le sens dun plus grand poids apport au contrle continu, et donc au local. Les pressions exerces sur les enseignants dans le cadre de lautonomie des tablissements pour «prserver la rputation du collge » risquent alors de se multiplier et lambiance risque vite de virer au malsain. Il suffira uste ensuite de combiner cela avec la rmunration au mrite et on ira droit dans le mur… Le contrle continu qui ne portait jusquici que sur 66% de la note va porter dsormais sur 87%. Sachant que dans certains tablissements il y aurait bien peu de reus au brevet si on ne prenait en compte que lexamen final et que des rajustements  la hausse des notes se font bien souvent en commission … Nous intervenons pour demander que cette question du brevet soit reconsidre de faon globale, et en concertation avec les collues.
La planche savonneuse des heures supplmentaires : On ninsistera jamais assez sur lopacit du systme de rmunration par les HSA et par les HSE. Entre les heures promises et non payes, les paiements « la tte du client» et les moyens utiliss hors de tout contrle du CA, les drives sont multiples. Il faut exiger autant que possible une mise  plat de lutilisation de ces heures, avec des documents prcis  la clef fournis par le chef dtablissement. Noublions pas que dans la DHG, une HSA peut tre en principe transforme en 36 HSE (ce qui correspond aux 36 semaines de lanne). En fait, il semblerait que dans certains tablissements, cette heure ne se transforme dsormais plus quen trente HSE, les moyens ainsi rcuprs par le Rectorat permettant le financement de vacataires ! En ralit, il nexiste pas de texte officiel sur cette question. Cependant, si vous constatez une irrgularit de ce type, et surtout si cela se traduit par une perte de moyens horaires pour ltablissement, nhsitez pas  rdiger une motion au CA et  nous informer rapidement. Rappelons enfin quil faut se battre contre la prolifration des HSA et exiger, partout o cest possible, leur transformation en postes : a oblige le Ministre  recruter, a allge la charge de travail, a donne de lemploi aux jeunes, a donne plus de postes au concours et pour les mutations, a fait diminuer la prcarit, bref, cest rentable sur toute la ligne. Rappelons pour lanecdote que ni les HSA ni les HSE ne sont comptabilises dans le calcul des retraites.
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