Traité de zoologie
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NVLl BRAR I ES'SMITHSONIAN INSTITUTION'NOIinillSNIVd én"lOSHlIWS S3 I y —M= W = _CO 5i S3 lavaan libraries swhson7an"'institution NoiiniiiSNi"'NViNOSHiiws n z n Zr- z ^ '-^-^ — ^-^^•^'^X U3 institution msBiavaan libraries smithsonian NoiiniiiSNijosHiiws 1 ava a RAR I ES*^SIVHsoNiAN^iNSTiTUTiON^NoiiniiiSNi^NviNOSHiiws^S3 n^Li B UJ q: u\libraries smithsonian institution NoiiniiiSNiS3iavaanlosHiiws NOIiniliSNrNVINOSHilWS S3 I ava a n~LI BRAR I ES*^S^rHSONIAN"lNSTITUTION^ wM z ,^. _(n libraries smithsonian institution NoiiniiisNi nSBiavaanNOSHims çn(/) z , ^ • en z . ^ z NVlN0SHiltMS^S3 1 ava 8H (THSONIAN^INSTITUTION^^NOliniliSNI Ll BRAR Es'^SI — NOliniliSNrNVINOSHilWS S3 I HVH 8 H^LIAN"|NSTITUTI0N*^ BRAR I ES*^SMITHSOr libraries^^smithsonian institution NoiiniiiSNi nvinoshjws*^S3idvaân ^co . coupeespace pour les futurs testicules. d'une femelle arrivée à peu près au terme de sa ponte ; n, cavité des ovaires; h, cellules glandulaires de l'ovaire; c, sac ovigère; d, canal dorsal, contenant des œufs; corps; réceptacle séminal (d'après von Linsto\\).e, cavité du f, lacunes, qui ne sont que les coupes de deuxDans leur partie large ces cavités cylindriques, parcourant presque toute la longueur du corps, sont tapissées d'un médianeépithélium qui manque à la lacune , dans laquelle est situé le tube digestif (/). cet épithélium sont aplaties sur une partieLes cellules de de la surface de la lacune, mais par places elles font saillie dans son intérieur. 1366 GORDIAGÉS.

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Langue Français
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NVLl BRAR I ES'SMITHSONIAN INSTITUTION'NOIinillSNIVd én"lOSHlIWS S3 I y —M= W = _CO
5i
S3 lavaan libraries swhson7an"'institution NoiiniiiSNi"'NViNOSHiiws
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ZOOLOGIE
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l'iO, BOULEVARD SAINT-GERMAIN
1897TRAITÉ
DE
ZOOLOGIE
II
SÉRIE DES CHITINOPHORES (Suite).
—II. EMBRAIsCHEMEiNT
NEMATHELMINTHES
à plus souventArtlozoaires chilinophores, niclaméridation incomplète ou le
complètement sans membres articulés; à corps allongé, vermiforme.effacée;
—Xéuiallieliiiintlies; position systématique.Caractères généraux des leur
Les animaux composant cet embranchement sont habituellement rangés parmi les
Vers; leur corps est, en effet, allongé, fusiforme ou cylindrique et dépourvu de
membres articulés, comme Vers annelés; mais là s'arrête la ressemblance.celui de
Chez les Némalhelminthes, la cuticule chitineuse, très épaisse, rappelle absolu-
aussi, sauf surment, au contraire, celle des Arthropodes, et son épaisseur entraine
points très limités, l'absence cils font complètementquelques de vibraliles. Ces cils
défaut dans les classes les plus importantes, celles des Acantqocépdales, des Gor-
Desmos-DiACÉs, des Nkmato ÏDi- s et aussi probablement dans les petites classes des
COLECIDÉS et ils sont limités aux organes d'excrétion chez les Kcni-Chétosomidés;
NODÉRiDKS, et à un collier cépbalique chez les CnKXOGNAxnES. La présence des cils
dernières classes peut être interprétée devibraliles chez les animaux de ces deux
deux façons : les Lcdinodéridks et les Chétognatues appar-ou bien elle implique que
tiennent à la série des Néphridiés, ou bien, si on se rappelle que la glande maxillaire
de certains Copépodes [Viguicrdla) contient elle aussi un organe vibrant, elle con-
l'ERRIER, TR.UTÉ DE ZOOLOGIE. 8o1346 némâthelminthes.
de cilsduit à u'attaclier qu'une importance relative à l'absence vibratiles chez les
dernière hypothèse, la série des Chitinophores pourraitArthropodes. Dans cette
une véritable série généalogique, mais bien un ensemble de rameauxne pas être
ayant pour caractère commun ledétachés de la série des Néphridiés, développement
chitine sur la plus grande partie des tégumentsd'une épaisse couche de et la paroi
tube digestif, d'où la disparition des cils vibratiles dans les mêmes régions.interne du
force nouvelle s'ilCette interprétation acquerrait une était vrfti que les glandes
Crustacés, des Arachnides et des Myriapodes, ainsi que les tubescoxales des seg-
mentaires des Onychophores, quoique dépourvus de cils vibratiles, sont les équi-
des Vers annelés, mais on jusqu'àvalents des néphridiés n'a présent apporté à
thèse que l'argument insuffisant de la commune dispositionl'appui de cette méta-
mérique de ces organes.
de vue auquel on place,Quel que soit le point se que la série des Chitinophores
une série généalogique ou une s^éric de convergence, il a tout avantagesoit y à y
placer les Némâthelminthes qui rompraient complètement l'homogénéité évidente
Néphridiés, tandis qu'ils se laissent facilementde la série des déduire des Arthro-
podes par la seule application des règles habituelles de la morphologie. Effecti-
vement la plupart des Némâthelminthes sont parasites; on a déjà vu le parasitisme
entraîner chez les Copépodes, les Isopodes, les Acariens et surtout les Linguatu-
l'efifacement plus ou moins completlides de la métaméridation, la réduction ou la
disparition des organes de relation. C'est ce qu'on observe à divers degrés chez les
Némâthelminthes où la dégradation des organes de relation atteint même la cons-
titution intime de l'élément musculaire. Ces phénomènes de dégradation sont d'ail-
leurs graduels. 11 existe encore une métaméridation extérieure chez les Échino-
DÉRiDÉs, les Desmoscolécidés et les larves des Gordiacés. On retrouve des traces de
métaméridation dans l'organisation des téguments ou dans la disposition des organes
internes chez les Gordiacés et les Acanïuocéphales adultes; seuls les Nématoïdes,
à quelques rares exceptions près, et les Chétognathes ne laissent plus reconnaître de
métamérides. Les liens des Nématoïdes avec les Gordiacés sont cependant tels que,
sans les métamorphoses de ces derniers, on n'aurait eu aucune raison plausible de
les ériger en classe distincte or la disparition des métamorphoses rentre dans les
;
règles connues de l'accélération embryogénique. La disposition du système nerveux
des Gordiacés, leur observemusculature s'éloigne encore assez peu de ce qu'on
chez les Arthropodes métamérides; la réduction des centres nerveux à un simple
anneau périœsophagien, tel qu'on l'observe chez les Nématoïdes, s'explique par un
simple raccourcissement indiquéde la chaine ventrale, raccourcissement déjà à
divers degrés chez un grand nombre notamment chez les Acariens;d'Arthropodes et
la simplification de l'appareil musculaire est elle-même tellement graduelle chez
les N<hnatoïdes qu'elle a animaux.été invoquée pour la classification de ces
En présence de ces gradations qui s'expliquent si facilement quand on prend pour
point de départ les Arthropodes et quand on observe ce qui a lieu chez ceux d'entre
eux qui sont parasites, il d'ériger les Némâthel-n'y a évidemment aucune raison
minthes en série distincte; c'est pourquoi, sous les réserves précédemment expo-
sées, nous nous bornons à en faire un simple embranchement de la série des
Chitinophores et à les considérer comme des Arthropodes parvenus au terme
extrême de dégradation que comporte le parasitisme.

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