Un autre trou dans la mécanique céleste
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UN AUTRE TROU DANS LA MÉCANIQUE CÉLESTE par Miles Mathis Je pensais être plutôt bon comme chercheur de trous dans la théorie courante, mais je dois m’incliner devant feu Ralph René sur ce coup-ci. J’ai lu récemment que M. René a envoyé de simples équations à la National Science Foundation démontrant que la force du Soleil sur la Lune est plus importante que la force de la Terre sur la Lune. M. René déclarait que, durant la nouvelle lune, la force est « presque trois fois plus importante ». Eh bien, il avait tort. La force n’est pas plus importante seulement durant la nou- velle lune, elle est plus importante tout le temps. Tout ce que nous avons à faire est d’introduire les nombres donnés pour les masses des trois objets et les distances 2orbitales. En utilisant la fameuse équation de Newton F = GMm=r , nous trou- vons que la force que la Terre exerce sur la Lune est constante pendant tout le 20mois, à environ 2 x 10 N. La force exercée par le Soleil varie entre environ 4,25 20 20x 10 N et 4,45 x 10 N. La force du Soleil sur la Lune est toujours au moins 2,1 fois plus importante que la force de la Terre sur la Lune. Elle est presque 2,3 fois UN AUTRE TROU DANS LA MÉCANIQUE CÉLESTE plus importante lors de la nouvelle lune (ce qui n’est pas « presque 3 fois » : mais je pense que nous pouvons pardonner cette petite hyperbole). M. René nous dit qu’il fut rejeté avec comme réponse que le Soleil exerce aussi une force sur la Terre.

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Publié le 16 février 2014
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Langue Français

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UN AUTRE TROU DANS LAMÉCANIQUE CÉLESTE
parMiles Mathis
Je pensais être plutôt bon comme chercheur de trous dans la théorie courante, mais je dois m’incliner devant feu Ralph René sur ce coup-ci. J’ai lu récemment que M. René a envoyé de simples équations à la National Science Foundation démontrant que la force du Soleil sur la Lune est plus importante que la force de la Terre sur la Lune. M. René déclarait que, durant la nouvelle lune, la force est « presquetrois fois plus importante».
Eh bien, il avait tort. La force n’est pas plus importante seulement durant la nou-velle lune, elle est plus importantetout le temps. Tout ce que nous avons à faire est d’introduire les nombres donnés pour les masses des trois objets et les distances 2 orbitales. En utilisant la fameuse équation de NewtonF=GM m/r, nous trou-vons que la force que la Terre exerce sur la Lune est constante pendant tout le 20 mois, à environ 2 x 10N. La force exercée par le Soleil varie entre environ 4,25 20 20 x 10N et 4,45 x 10N. La force du Soleil sur la Lune est toujours au moins 2,1 fois plus importante que la force de la Terre sur la Lune. Elle est presque 2,3 fois
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plus importante lors de la nouvelle lune (ce qui n’est pas «presque 3 fois» : mais je pense que nous pouvons pardonner cette petite hyperbole).
M. René nous dit qu’il fut rejeté avec comme réponse que le Soleil exerce aussi une force sur la Terre. Il se plaignit que dans ce cas, vous ne pouvez plus isoler des forces en physique, ce qui condamnerait toutes les données du système solaire et de l’univers.
Je pense que nous devons admettre qu’il avait raison. Nous avons un problème réel ici, et la réponse du modèle standard n’est rien d’autre qu’une pathétique échappatoire supplémentaire. Le modèle standard pourrait même étendre sa ré-ponse à : «Nous comprenons le point de vue de M. René, mais que pourrait être sa solution ?La Lune ressent plus de force venant du Soleil, donc elle devrait être en orbite autour du Soleil plutôt qu’autour de la Terre? Eh bien, elle l’est. Elle est en orbite autour des deux. Ou bien, l’impulsion primordiale devrait venir du Soleil, pas de la Terre ? Comment savons-nous que ce n’est pas le cas ? Savons-nous quelle orbite la Lune considère comme primordiale? Pouvons-nous décider cela? ».
J’ai essayé de mettre la réponse du modèle standard sous une certaine forme lo-gique, comme cela nous pouvons argumenter contre quelque chose de plus solide. Mais même sous cette forme, cette réponse est toujours très faible. Selon toutes les implications et explications de la gravitation newtonienne et einsteinienne, un corps ressentant une force plus importante venant du corps A et une force plus faible venant du corps B devrait se déplacer vers le corps A. M. René n’a pas in-venté ici un quelconque problème pour son propre amusement; il a découvert un très large trou dans la mécanique du champ.
Avec la gravitation comme seule cause des mouvements, et avec le Soleil possédant plus de deux fois plus de force d’attraction sur la Lune que la Terre, la Lune ne devrait pas, pour le moins, nous montrer une telle orbite corrigible. Laissez-moi vous montrer ce que j’entends par «céder un point» au modèle standard. Disons que la mécanique newtonienne du champ peut expliquer la Lune et la Terre à la même distance orbitale. Puisque la même distance orbitale n’a rien à voir avec la masse, nous n’avons besoin que de laisser la Lune et la Terre avoir la même vitesse orbitale. Dans ce cas, ces deux corps peuvent occuper la même orbite sans problème. Eh bien, en un sens, la Lune et la Terre possèdent la même vitesse orbitale : elles onten moyennela même vitesse orbitale puisque, si elles ne l’avaient pas, elles ne pourraient rester ensemble sur une année. La Terre a une vitesse orbitale autour du Soleil d’environ 30 km/s, et la Lune a aussi une vitesse orbitale moyenne autour du Soleil d’environ 30 km/s.
Le problème est que la vitesse orbitale de la Lune, mesurée relativement au Soleil, est hautement variable. Elle varie d’environ 28 à environ 32 km/s. Elle a une vitesse minimum lors de la nouvelle lune, quand elle est la plus proche du Soleil, et ceci parce qu’elle se meut alors contre l’orbite terrestre. Cela double le problème, parce que si la Lune orbitait autour de la Terre de façon rétrograde, cela nous
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aiderait dans nos calculs. Dans ce cas, nous pourrions donner à la Lune sa plus grande vitesse relativement au Soleil à la nouvelle lune et cela expliquerait presque pourquoi elle est capable de résister à l’accroissement de la force venant du Soleil. Mais la Lune va au contraire plus lentement par rapport au Soleil lorsqu’elle est la plus proche de celui-ci, et c’est beaucoup plus difficile à expliquer pour le modèle standard. Pour empêcher la Lune de se diriger vers le Soleil et garder l’orbite de la Lune en cet endroit, nous devons augmenter la force venant de la Terre. Si nous étudions juste ces intervalles près de la nouvelle lune, nous devons augmenter la force de la Terre, sinon la Lune doit s’échapper vers le Soleil. Elle doit le faire NON PAS parce que la force venant du Soleil est plus grande que la force venant de la Terre, mais parce que la force du Soleil sur la Lune pendant ces intervalles est plus grande qu’elle ne l’était sur tout autre intervalle de l’orbite. La Lune est plus proche du Soleil et possède moins de vitesse orbitale relativement au Soleil. Donc, sans d’autres forces, son orbite solaire doit se délabrer.
La seule chose dans la théorie actuelle qui pourrait empêcher l’orbite solaire de la Lune de se dégrader à la nouvelle lune est la Terre. Mais la vitesse de la Lune relativement à la Terre sur ces intervalles ne change pas, puisqu’elle maintient une vitesse orbitale d’environ 1,022 km/s tout le mois et toute l’année. Oui, il existe une certaine variation dans ce nombre, mais nous ne constatons pas que la Lune se trouve toujours au périgée à la nouvelle lune. Et même si nous constations cela, l’excentricité de l’orbite terrestre de la Lune n’est pas suffisante pour annuler cette attraction supplémentaire du Soleil. Pour protéger la Lune du Soleil à la nouvelle lune, la Terre devrait serrer la Lune très étroitement chaque mois, et bien sûr elle ne fait pas cela. Si la vitesse orbitale et le rayon orbital ne change pas (énormé-ment), alors la seule autre cause de stabilité devrait être une force accrue prove-nant de la Terre. Mais la Terre ne peut pas changer sa force à moins d’augmenter sa masse. Donc, ni Newton ni Einstein ne peuvent expliquer ce phénomène.
M. René a raison. Même si la Lune et la Terre pourraient théoriquement occuper la même orbite, la Lune devrait être attirée plus faiblement par le Soleil à la nouvelle lune. Si elle l’était, elle ne pourrait pas rétablir sa distance originelle. Une fois sa distance à la Terre accrue, la force venant de la Terre décroîtrait, selon la même équation. Elle s’échapperait très rapidement.
Soyons encore plus rigoureux et observons un diagramme. À la pleine lune, le modèle standard de gravitation a presque un sens. Si nous plaçons la Lune du côté opposé au Soleil, nous pouvons apparemment faire fonctionner les nombres.
Utilisons des nombres ronds pour montrer cela. Si nous avons une vitesse orbitale de la Terre égale à 30 et donnons à la vitesse orbitale de la Lune le nombre 30 + 1 = 31, alors la vitesse de 1 dépasse l’attraction de la Terre et la vitesse de 31 dépasse l’attraction du Soleil.
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Mais si nous plaçons la Lune de l’autre côté de la Terre, à la nouvelle lune, les mêmes nombres échouent de façon spectaculaire. La vitesse orbitale de la Lune est maintenant de 30 - 1 = 29. La vitesse de 1 dépasse encore l’attraction de la Terre, mais la vitesse de 29 est beaucoup trop basse pour éliminer l’attraction du Soleil. La Lune est maintenant plus près du Soleil, donc le Soleil doit l’attirer plus fortement. L’accélération centripète a augmenté. Pour éliminer cette accélération plus forte du Soleil, la Lune doit aller plus vite, pas plus lentement. Relativement au Soleil, la Lune est allée plus bas et a ralenti : cela devrait causer une instabilité majeure. En fait, cela devrait causer un échappement immédiat.
Cependant, regardons de plus près la position de pleine lune. Dans notre analyse rapide, la position apparaît plutôt stable. Mais nous ne lui avons pas appliqué 2 l’équation orbitale. L’équation orbitale courante esta=v /R. En vertu de cette 2 équation, l’accélération centripète de la Terre est 0,006016 m/s . L’accélération centripète de la Lune est de 0,006407. La Lune est plus éloignée que la Terre, mais ressent plus d’attraction du Soleil ? C’est impossible. Le champ gravitationnel diminue avec la distance, vous vous souvenez? Cette bonne vieille loi du carré inverse ?Comment et pourquoi le Soleil attirerait-il un corps plus fortement juste parce que ce corps va plus vite? L’équation orbitale cache un énorme trou dans la mécanique céleste. En fait, l’équation orbitale de Newton contredit l’équation gravitationnelle de Newton. L’équation gravitationnelle de Newton nous dit que le champ diminue par l’inverse du carré, mais l’équation orbitale nous dit que le champ peut augmenter à de plus grandes distances simplement en augmentant la vitesse de l’orbiteur!
Pour que tout cela ait un sens, et pour créer l’équilibre adéquat relativement au champ du Soleil, la Lune pleine devrait allerplus lentementque la Terre. Afin de rendre cela plus clair, éliminons la Lune et regardons juste la Terre. Si nous dé-sirions placer la Terre un peu plus loin du Soleil, la ferions-nous aller plus vite ou plus lentement? Eh bien, puisque logiquement le champ du Soleil devrait être plus faible à de plus grandes distances, la vitesse orbitale devrait avoir moins d’ac-célération centripète à éliminer. Nous devrions donc la faire aller plus lentement. Nous pouvons le prouver simplement en examinant Vénus et Mercure. Vénus va
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plus vite que la Terre et Mercure va plus vite que tous les deux. Mars va plus len-tement. Voici les nombres : Mercure, 50; Vénus, 35; Terre, 30; Mars, 24. Donc, si la Lune va plus vite que la Terre à la pleine lune, elle ne peut pas être en équilibre par rapport au Soleil. Elle devrait s’échapper, juste comme à la nouvelle lune.
On va me dire que la Terre empêche la Lune de s’échapper à la pleine lune, mais c’est ignorer les nombres et leur logique. La Terre équilibre seulement le nombre 1 km/s, comme elle le fait tous les mois, chaque mois. La Terre ne peut « équilibrer » que la vitesse de la Lune relative à la Terre. La Terre ne peux pas équilibrer la vitesse de la Lune relativement au Soleil, parce que ce nombre appar-tient au mouvement du couple Soleil/Lune. La Lune va à 31 km/s relativement au Soleil, et la Terre ne peut pas changer ce nombre. C’est ce que M. René veut dire par «isoler des forces». Le champ terrestre ne peut pas bloquer le champ solaire, à moins d’une nouvelle hypothèse révolutionnaire que personne n’a encore jamais proposée. Et puisque c’est ainsi, la Lune se trouve hors d’équilibre à la pleine lune comme elle l’est à la nouvelle lune.
J’ai déjà adressé ce problème dans mesarticles sur la mécanique céleste, mais, même moi, je ne n’avais pas pensé à faire ces calculs de base qui montrent la force supérieure venant constamment du Soleil. Les calculs simples de M. René éclairent une fois de plus à quel point le modèle standard a des problèmes et montrent com-bien pauvres sont ses échappatoires. J’ai montré que les « mouvements innés » de la Terre et de la Lune doivent varier, de façon cachée, dans ces équations mo-dernes, afin de créer cette stabilité ; mais ici nous voyons que les forces, elles aussi, varient d’une façon inexpliquée.
Bien entendu, les physiciens contemporains ont depuis longtemps cessé de par-ler ou de se tracasser des mouvements innés, et ils répondront à mes nouvelles attaques de la même façon, ça ne fait aucun doute. C’est-à-dire qu’ils vont se re-trancher derrière la Relativité Générale, où on ne trouve pas de forces. Ils vont se cacher derrière des tenseurs et proclamer que l’équation de Newton est un dino-saure. Malheureusement, il est connu de tout le monde, y compris d’eux-mêmes, qu’Einstein n’a jamais déclaré avoir rejeté Newton. Einstein a seulement déclaré avoir étendu les équation de Newton en important des différentiels de temps (et donc de masse) dans son champ. C’est-à-dire que la Relativité Générale, c’est New-ton plus la Relativité Spéciale. Et ceci signifie que les physiciens modernes n’ont nulle part où se cacher. Leurs nouvelles équations de champ ne résolvent pas ce problème, puisque les mouvements sont toujours déterminés par des interactions de masse. Aucune nouvelle math ne peut cacher le fait que la Lune se trouve hors d’équilibre lors de la nouvelle lune et lors de la pleine lune dans le problème des trois corps, que vous tentiez de le résoudre avec les maths de Newton, les maths de Laplace ou les maths d’Einstein. Ces trois hommes peuvent faire la sommation des orbites très intelligemment, mais aucun d’eux ne peut expliquer les différentiels.
J’ai montré que la seule manière de vraiment répondre à M. René est de prendre ses mathématiques au sérieux, puisque, après tout, ce sont les mathématiques de
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Newton. Vous ne pouvez traiter M. René d’hurluberlu dans ce cas qu’en traitant Newton d’hurluberlu. Je n’ai aucune intention de traiter l’un de ces hommes d’hur-luberlu. Heureusement, j’ai une réponse à donner à M. René, et cette réponse n’est pas une quelconque sorte d’échappatoire. C’est la même réponse que j’ai donnée à tous les problèmes cachés de la mécanique céleste : le champ entre tous les corps célestes est un champ à deux parties, ou champ unifié, avec à la fois la gravitation et le champ E/M fondamental impliqués dans toutes les interactions. Cela résout notre problème courant car le champ E/M change plus rapidement que le champ 4 de gravité, nous donnant un degré de flottement. Le champ E/M change en1/R, ce qui lui donne la puissance de faire cette correction dont nous avons besoin. J’ai montré que c’est une répulsion, donc lorsque la Lune se rapproche du Soleil, le Soleil la repousse plus. De la même manière, si la Lune s’éloigne de la Terre, la Terre la repousse moins. Il s’ensuit que la Lune est équilibrée par quatre champs, pas deux. Tout problème des trois corps est un problème d’équilibre de six champs, pas de trois. J’ai montré mathématiquement comment cet équilibre est créé dans plusieurs articles, y compris mon papier surLaplace, mon papier surla Loi de Bode, mon papier surl’inclinaison axiale, mon papier surla magnétopause, mon papier surl’équivalence optiqueet mon papier surla distance orbitale de Mercure. Je ne répéterai donc pas les maths ici.
M. René suspectait que le champ E/M est la solution à ce problème, mais il n’a pas été capable de faire les corrections au champ. Il a déclaré, cependant, que l’équation de Coulombnécessite des corrections, et il avait raison sur ce point. J’ai montré les corrections nécessaires. Le problème basique de M. René dans sa recherche d’une solution est qu’il avait tendance à trop simplifier. Il avait vu que le modèle standard souffre du problème inverse : une terrible sur-complexité. Il a donc essayé de trouver une solution simple au problème du champ. Il voulait remplacer l’attraction gravitationnelle par une attraction E/M des corps célestes. Dans ce sens, il proposait le même genre de solution que les physiciens du plasma et les théoriciens de l’Univers Électrique. Tous ces gens sont sur la bonne route, mais ils n’ont pas encore trouvé la ligne centrale. Les résonances, les perturbations et les équilibres fins du système solaire ne peuvent pas être résolus avec un seul champ, que ce soit le champ E/M ou la gravitation. Nous avons besoin des deux. ❖ ❖ ❖
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