Arcs réflexes et réflexes conditionnels. - compte-rendu ; n°1 ; vol.27, pg 284-296
14 pages
Français

Arcs réflexes et réflexes conditionnels. - compte-rendu ; n°1 ; vol.27, pg 284-296

-

Le téléchargement nécessite un accès à la bibliothèque YouScribe
Tout savoir sur nos offres
14 pages
Français
Le téléchargement nécessite un accès à la bibliothèque YouScribe
Tout savoir sur nos offres

Description

L'année psychologique - Année 1926 - Volume 27 - Numéro 1 - Pages 284-296
13 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

Informations

Publié par
Publié le 01 janvier 1926
Nombre de lectures 125
Langue Français
Poids de l'ouvrage 1 Mo

Extrait

c) Arcs réflexes et réflexes conditionnels.
In: L'année psychologique. 1926 vol. 27. pp. 284-296.
Citer ce document / Cite this document :
c) Arcs réflexes et réflexes conditionnels. In: L'année psychologique. 1926 vol. 27. pp. 284-296.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/psy_0003-5033_1926_num_27_1_6333284 ANALYSES BIBLIOGRAPHIQUES
chromatiques prennent une forme plus allongée, en bâtonnets ; ils
se pénètrent entre eux de manière à faire une croûte chromatique ;
la coloration est moins intense. H. W.
c) Arcs réflexes et réflexes conditionnels
COSTANZO COLETTI. — Influenza dei centri nervosi di Bufo e'di
Rana sui riflessi spinali [Influence des centres nerveux du crapaud et
de la grenouille sur les réflexes spinaux). — An. Med. Per., XXVIII,
1926, p. 99-103.
Des mesures de seuils de réflectivité (avec stimulation faradique),
chez l'animal normal et après section de la moelle (moyenne ou
haute), ablation du cerveau entier, du télencéphale seul, ont montré
que dans tous les cas, la réflectivité augmentait (à peu près également
chez le crapaud, beaucoup plus par section de la moelle chez la gre^
nouille).
En suivant de jour en jour la réflectivité moyenne, après l'opéra
tion, on constate une élévation passagère initiale très marquée che^
la grenouille, un abaissement initial passager chez le crapaud ; le
régime terminal étant à peu près le même pour les deux animaux
(à partir du 7e ou 8e jour jusqu'au 14e, le dernier étudié).
L'auteur conclut, en confirmant ainsi la conception classique,
à l'existence de centres inhibiteurs dans l'encéphale du crapaud et
de la grenouille. H. P.
KOLOSSOWA et VIKTOROW. — Zur Lehre von den gekreutzen
Reflexen (Etude des réflexes croisés). — Pf. A., CGXII, 5-6, 1926,
p. 790-791.
Dans le réflexe croisé, l'excitation doit surmonter des résistances
plus grandes que dans le réflexe homolatéral. P. B.
A. SAMOJLOFF et W. WASSILJEWA. — Zur Frage der pluriseg-
mentellen Innervation (Sur la question de l'innervation plurisegmen-
taire). — Pf. A., CCXIII, 1926, p. 723-734.
Dans les réponses réflexes du gastrocnémien de la grenouille, il y
a dans quelques cas participation d'une seule racine, dans les
autres cas participation des deux racines nerveuses de ce muscle.
P. B.
T. GRAHAM BROWN. — The « interference » of two flexion-
reflexes ; an examination of Vészi' s experiment (L'interférence de
deux réflexes de flexion ; étude de V expérience de Vészi). — J. of
Ph., LXII, 1926, p. 98-103.
Etude de l'expérience de Vészi : on déclenche une contraction
réflexe du gastrocnémien de la grenouille, par l'excitation faradique
répétée du bout central de chacune de plusieurs racines cervicales
postérieures (VIII, IX, X). Si, pendant une excitation continue de
la racine IX, la racine VIII ou X est en même temps excitée, la
contraction tétanique fondamentale du gastrocnémien est remplacée
par un relâchement inhibitoire. Chez le chat décérébré, une expérience ANATOMO-PHYSIOLOGIE NERVEUSE. LES REFLEXES 285
analogue ne donne pas lieu à des phénomènes d'inhibition, au con
traire à une sommation algébrique. L'auteur pense que le phénomène
de Vészi est dû, lui aussi, à la sommation algébrique de chacune des
phases d'extension et de flexion successives d'un réflexe diphasique,
avec un fond d'extension quand le réflexe diphasique est utilisé pour
interrompre le réflexe d'extension. P. B.
R. SCHÖN. — Sur le réflexe du saut. — Ar. néerl. de Ph., XI, 3, 1926,
p. 391-394 i.
On sait que des animaux décérébrés peuvent vaincre les obstacles
auxquels ils se heurtent. Au choc contre l'obstacle, l'animal se dresse
et effectue un saut énergique. A la suite de Magnus, S. a repris
l'étude de ce réflexe, pour en éclaircir le mécanisme, sur une soixan
taine de chats et lapins décérébrés. De ces recherches, il résulte que
ce réflexe de saut, très énergique, puisque l'animal arrive à enlever
deux fois son propre poids, se produit dans des conditions déter
minées.
Il insiste sur une augmentation du tonus d'extension des pattes
postérieures, par des réflexes du cou et du labyrinthe (associés ou
non), les pattes étant chargées de façon convenable. Cette charge des
pattes agit comme excitation proprioceptive. Les voies centrales du
réflexe ne s'étendent pas, selon S., au delà de la moelle allongée. Le est augmenté considérablement dans certains cas, princ
ipalement dans l'asphyxie, où une excitation, subliminaire normale
ment, le déclenche avec la dernière énergie.
Le camphre agit de même façon. La narcose à l'éther ou au chlo
roforme le paralyse dès ses premiers stades. Il a déjà disparu quand
les réactions labyrinthiques de progression existent encore, et il ne
réapparaît qu'après elles, lors du réveil. M. F.
O. WEISS. — Der Fremdkörperreflex am Auge {Le réflexe conjoncti-
val). — Pf. A., CCXII, 1926, p. 535-540.
Les corps étrangers sont chassés de la conjonctive oculaire en
partie par les mouvements des paupières, en partie par les larmes.
Les petits corps étrangers provoquent un clignement des paupières
plus intense et les corps étrangers plus volumineux une lacrymation abondante. P. B.
CLYDE E. KEELER. — Le réflexe irien à la lumière chez la souris
à rétine sans bâtonnets. — B. B., XCV, 1926, p. 10.
Chez les Vertébrés inférieurs, on a démontré que l'iris isolé réa
gissait directement à la lumière. Chez les mammifères la question
restait douteuse.
L'auteur a pu faire l'examen, chez des souris congénitalement
aveugles (race à rétine dépourvue de cellules visuelles).
Voici ses conclusions, assez peu claires, et qui doivent, dans un
autre travail, être appuyées d'un exposé des faits qui les ont étayées :
« L'iris de l'œil de la souris aveugle, dont la rétine est sans bâton-
1. Un exposé allemand plus détaillé de la question se trouve dans Pf. Ar.
CCXIII, 1-2, 1926, p. 171-191. 286 ANALYSES BIBLIOGRAPHIQUES
nets, semble réagir directement- à la lumière, indépendamment d'urt
réflexe à point de départ visuel.
« L'iris de la souris aveugle par absence de cellules visuelles se
contracte aussi rapidement que celui de la souris normale, mais
présente un seuil quatre fois plus long ».
Le a seuil » est sans doute une latence. H. P.
TH. KOPPANYr et K.-H. SUN. — Comparative studies on pupillary
reaction in tetrapods. II. The effect of pilocarpine and other drugs
on the pupil of the rat (Etudes comparatives sur les réactions pupil-
laires chez les quadrupèdes. II. Action de la pilocarpine et d'autres
drogues sur la pupille du rat). — Am. J. of Ph., LXXVIII, 1926,
p. 358-363.
La pilocarpine, en solution diluée, comme en solution concentrée,
produit de la dilatation pupillaire sur l'œil normal du rat. Après
section des nerfs optiques, ciliaires long et court, elle déclenche, au
contraire, du myosis. Les fortes concentrations de nicotine déte
rminent de la mydriase sur l'œil normal du rat et du myosis sur l'œil
dilaté. La strophantine et la spartéine dilatent toutes les deux la*
pupille du rat. P. B.
TH. KOPPANYI et K.-H. SUN. — Comparative studies on pupillary
reaction in tetrapods. III. The reactions of the avian iris (Réactions
de Viris des oiseaux). — Am. J. of Ph., LXXVIII, 1926, p. 364-367.
Le formol déclenche une contraction suivie d'une dilatation très
marquée de la pupille du pigeon. Le curare produit une
maximale de la avec abolition du réflexe lumineux. La str
ophantine et la nicotine contractent d'abord, puis dilatent la pupille,
elles excitent puis paralysent le muscle sphinctérien. La spartéine
produit une dilatation passagère suivie d'une contraction pupillaire.
La vératrine produit une contraction typique de la musculature de
l'iris. Existence du réflexe lumineux consensuel chez le pigeon, le coq
et l'alligator. P. B.
E.-A. SPIEGEL et G. NAGASAKA. — Experimentalstudien am
Nervensystem. VI. Ueber die Beziehung des Pupillenreflexbogens
zum vordem Vierhügel. Zugleich ein Beitrag zur Frage der Genese
der reflektorischen Lichtstarre der Pupille (Rapports du réflexe
pupillaire et des tubercules

  • Univers Univers
  • Ebooks Ebooks
  • Livres audio Livres audio
  • Presse Presse
  • Podcasts Podcasts
  • BD BD
  • Documents Documents