Electrencéphalogrammes. Manifestations électriques des centres nerveux - compte-rendu ; n°1 ; vol.38, pg 271-289
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Electrencéphalogrammes. Manifestations électriques des centres nerveux - compte-rendu ; n°1 ; vol.38, pg 271-289

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Description

L'année psychologique - Année 1937 - Volume 38 - Numéro 1 - Pages 271-289
19 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

Informations

Publié par
Publié le 01 janvier 1937
Nombre de lectures 32
Langue Français
Poids de l'ouvrage 1 Mo

Extrait

g) Electrencéphalogrammes. Manifestations électriques des
centres nerveux
In: L'année psychologique. 1937 vol. 38. pp. 271-289.
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g) Electrencéphalogrammes. Manifestations électriques des centres nerveux. In: L'année psychologique. 1937 vol. 38. pp. 271-
289.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/psy_0003-5033_1937_num_38_1_5525LECTRENCEPHALOGRAMMES 271
résultent de hypoventilation ou de injection un acide dilué Une
forte acidité arrête toute activité électrique Des décharges consé
cutives excitation électrique du cortex sont accompagnées avec un
léger retard une augmentation acidité suffisante pour avoir une
action locale sur activité corticale
lectrencéphalo grammes
Manifestations électriques des centres nerveux1
165 ADRIAN Synchronised reactions in the optic
ganglion of Dytiscus Réactions synchronisées dans le ganglion
optique de D. of Ph. XCI 1937 66-89
Sur le ganglion optique du Dytique on observe rien quand on
tient la préparation fraîche obscurité mais la lumière on des
ondes de potentiel dont le rythme de 20 40 par seconde décroît de
fréquence Au bout de quelque temps après éclairement on des
ondes de potentiels consécutifs dont la fréquence décroît progressi
vement de 20 par seconde) et au bout de quelques heures le
rythme lent 10 par seconde établit de fa on durable obs
curité est alors un éclairement faible qui arrête
Ce sont ces faits cherche interpréter par des mécanismes de
synchronisation
En admettant un certain nombre de cellules dont le seuil est
différent répondant excitation lumineuse avec des fréquences
augmentant comme intensité en éclairement faible les
propres de ces cellules doivent être très différentes ce qui oppose
la synchronisation et aux ondes rythmées de potentiel en forte
lumière les fréquences se rapprochent et les rythmes peuvent se
synchroniser une fréquence assez élevée Mais obscurité les
différences de seuil intervenant pas les cellules peuvent accorder
sur un rythme lent
Dans établissement progressif des rythmes une lumière assez
intense la fréquence reste constante et amplitude croît ce qui
témoigne de la participation un nombre croissant de cellules une
synchronisation progressive
On note en outre dans le ganglion sous action de la lumière le
développement une négativité stable par rapport au nerf optique
166 RARD et YOUNG Electrical activity
of the central nervous system of the frog Activité électrique du
système nerveux central de la grenouille Pr of S.
CXXII 1937 343-352
Avec des électrodes concentriques ou bipolaires on obtient des
oscillations spontanées disparaissant dans la narcose profonde ou
asphyxie au niveau des divers étages des centres
Dans la moelle et le bulbe des ondes de 50 60 ont un rythme
Voir aussi les 157 158 159 381 911 916 917 944 950 951
954 955 957 960 965 272 ANALYSES BIBLIOGRAPHIQUES
de par seconde Dans les lobes optiques très actifs divers rythmes
sont observés pour la moitié des ondes environ de 50 la
fréquence est de avec des durées de 01 003 sec les autres
rythmes peuvent aller 100 et 150 par seconde
Sur les rythmes des lobes optiques action de éclairement oculaire
entraîne parfois une perturbation et parfois est nulle Dans le thala
mus les rythmes des ondes sont de 30 et de 120-150 par sec
Les hémisphères ne sont pas uniformément actifs On recueille
dans la région mediale des rythmes plus lents de et parfois
de ou par sec 15 amplitude est en général plus grande
40 V)
Mais activité maxima se rencontre dans les lobes olfactifs avec
ondes lentes par sec. et potentiels de grande amplitude 80
167 JOSEPH HUGHES MC COUCH et STEWART
Cord potentials in the spinal cat Potentiels de la moelle chez le
chat spinal) Am of Ph. CXVIII 1937 411-421
Les changements électriques de la moelle du chat spinal ont été
enregistrés et étudiés par Graham Hughes et Gasser Quand les
électrodes sont placées longitudinalement sur la surface dorsale de la
moelle la réponse au simple réflexe la suite une salve excitation
consiste en une pointe négative suivie un complexe négatif plus
long et moins liant généralement suivi une onde positive prolongée
il agit de salves excitation synchrones dans les racines dorsales
adjacentes les sommets additionnent arithmétiquement il en
est point de même des composantes qui suivent Il résulte de ce fait
et autres que on considère que les sommets dépendent des fibres
afférentes et les composants qui suivent des neurones internonciaux
On ne sait pas si les potentiels internonciaux proviennent unique
ment des fibres ou aussi des corps cellulaires Adrian et Eccles croient
existence de potentiels cellulaires Les résultats apportés ici sont
en faveur une telle conception Des potentiels cellulaires positifs
et négatifs prennent part aux changements électriques enregistrés
Cela résulte de étude des potentiels action la suite de inhibition
croisée du réflexe de flexion ipsilatéral du réflexe de facilitation
temporal et spatial
168 HOWARD HOWE et DEAN CLARK Fiber action
potentials in the spinal cord of the cat Potentiels action des
fibres de la moelle épinières du chat Am of Ph. CXIX
1937 567-583
Première fois que on essaie de suivre les potentiels action
des fibres du système nerveux central Gasser Graham et Hughes
ont étudié les fibres des racines postérieures leur entrée dans la
moelle mais ils ont pas étudié les axones qui sont intérieur du
système nerveux central lui-même Les résultats concernent les
potentiels obtenus dans la moelle cervicale du chat après application
de choc induction la surface ventrale de la moelle
Description de la technique mode anesthésie perforation
de mm de diamètre au niveau de la 7e paire pour pouvoir mettre PHALOGRAMMES 273 ELECTRENC
Ses électrodes en contact avec les faisceaux pyramidaux coté antérieur
-de la moelle Dérivation au moyen électrodes introduites dans des
trous faits la surface ventrale des corps des vertèbres cervicales
Dans chaque expérience deux dérivations sont employées une est
de 17 30 mm du point excitation autre distant de 20 50 mm
de la première Emploi de oscillographe cathodique bobine in-
duction etc
Résultats expérimentaux Dans toutes les expériences la forme
-du premier potentiel négatif est toujours identique et rappelle la
<pointe classique donnée par les nerfs périphériques la durée de la
-montée est de 03 milliseconde légèrement plus lente que celle de
onde la durée du potentiel action est de 075 milliseconde
landis que pour onde elle est de 043 milliseconde après Gasser
Ceci mis part analogie complète avec onde il agirait du
-résultat de activité présynaptique des cordons intérieur de la
moelle Cette conclusion est tirée de la forme du potentiel action
ci-dessus envisagée de sa résistance asphyxie et de sa vitesse de
propagation asphyxie est provoquée en tuant animal par injection
éther dans le ur ou en le saignant Le potentiel origine pré-
-synaptique est beaucoup moins sensible asphyxie un post-
ynaptique qui est enregistré après lui existe encore quand le
synaptique disparu 10 minutes après la saignée de animal il est
peut être réduit mais existe nettement Ceci est en accord avec des
-faits expérimentaux relatés par Gasser sur les racines postérieures
Ce sont les observations mentionnées qui permettent évaluer la
vitesse de propagation Celle-ci se fait raison de 59 112 par
-seconde ce qui accorde encore avec les résultats trouvés pour les
nerfs périphériques Cependant la vitesse de conduction augmente si
on augmente intensité excitant et ceci est inverse de ce qui se
passe dans les nerfs périphériques De plus avec une augmentation
de intensité du stimulus le potentiel augmente de hauteur et de
durée Ce qui indique que le stimulus croissant atteint autres
fibres présentant des vitesses de conduction différente De plus la
différence de taille un nerf et de la moelle ne permet pas au stimulus
être aussi accessible un autre Enfin le fluide cérébro
spinal intervient comme shunt
169 SPIEGEL Comparative study of the thalamic
cerebral and cerebellar potentials Etude comparative des potentiels
thalamiques cérébraux et cérébelleux Am of Ph. CXVIII
1937 569-579
Les potentiels des thalamus optiques sont désignés s

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