Généralités. Théories. Lois générales. Phénomènes entoptiques. Excitation électrique. Processus physiologiques. Pourpre. Pupille. Cristallin. Rétinogrammes. Dominance oculaire. - compte-rendu ; n°1 ; vol.43, pg 595-602
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Généralités. Théories. Lois générales. Phénomènes entoptiques. Excitation électrique. Processus physiologiques. Pourpre. Pupille. Cristallin. Rétinogrammes. Dominance oculaire. - compte-rendu ; n°1 ; vol.43, pg 595-602

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Description

L'année psychologique - Année 1942 - Volume 43 - Numéro 1 - Pages 595-602
8 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

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Publié le 01 janvier 1942
Nombre de lectures 35
Langue Français

Extrait

a) Généralités. Théories. Lois générales. Phénomènes
entoptiques. Excitation électrique. Processus physiologiques.
Pourpre. Pupille. Cristallin. Rétinogrammes. Dominance
oculaire.
In: L'année psychologique. 1942 vol. 43-44. pp. 595-602.
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a) Généralités. Théories. Lois générales. Phénomènes entoptiques. Excitation électrique. Processus physiologiques. Pourpre.
Pupille. Cristallin. Rétinogrammes. Dominance oculaire. In: L'année psychologique. 1942 vol. 43-44. pp. 595-602.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/psy_0003-5033_1942_num_43_1_7949VISION. MOTRICITÉ OCULAIRE 595
l'auteur se rallie-t-il à la théorie de v. Bekesy (mécanisme de tout
ou rien) bien qu'un critère de cette théorie ne soit pas satisfait)
(relation quantitative de 1 à 2 entre la valeur pour laquelle le pourcen
tage de, réponses justes cesse d'être nul et celle pour laquelle il
atteint 100 %)..
Le second but a' été de déterminer comment varie le temps de
réaction à la variation perçue en fonction de la grandeur de celle-ci,
en appliquant dans le domaine tonal une méthode de Piéron pour les
accroissements de luminosité.
La décroissance des temps d'après des mesures faites sur un. des
sujets, donnant des résultats cohérents, a l'allure hyperbolique
classique. En outre il existe une corrélation notable entre la vitesse
de réaction et le pourcentage de réponses justes pour les différents
taux de la variation tonale. H. P.
7° Vision. Motricité oculaire
a) Généralités. Théories. Lois générales. Phénomènes entoptiques
Excitation électrique. Processus physiologiques. Pourpre. Pupille
Cristallin. Rétino grammes. Dominance oculaire
700. — ÉLISE DEVAUX. — La Vision. — In-16 de 120 pages
(Que sais-je ?). Paris, Presses Universitaires, 1943.
Ce petit ouvrage est très inégal, tant au point de vue du dévelop
pement accordé aux nombreuses questions pouvant figurer sous une
telle rubrique qu'à celui de la précision et de l'exactitude de Fexposé.
Si l'on cherche des données proches de la physique amusante,
sur les illusions d'optique, sur les prismes et les miroirs, sur la pseu-
doscopie, on lira ce petit livre avec fruit.
Mais pour tout ce qui concerne la physiologie de la vision, on ne
trouvera que bien peu de choses et sans précision, frisant quelquef
ois l'inexactitude. H. P.
701. — N..T. FEDOROW. — Le mécanisme éventuel et la localisa
tion de quelques fonctions visuelles. — Prob. Fiziol. Opt. (Pro
blèmes d'Optique physiologique), I, 1941, p. 149-159.
La sensibilité électrique de l'œil, la fréquence critique de fusion
de stimuli lumineux intermittents, la sensibilité différentielle de
l'œil et la grandeur du champ visuel évoluent, lors de l'adaptation
à l'obscurité, d'une manière diamétralement opposée à la sensibilité
lumineuse absolue. En outre, leur évolution quantitative présente
certaines constantes communes. L'auteur en tire la conclusion que
ces phénomènes relèvent d'un mécanisme commun et, interprétant observations de Bogoslowski et Ivanova (analyse n° 712)
comme preuve d'une localisation du phosphène électrique para-
liminaire dans les couches ganglionnaires de la rétine, il y relègue le
siège de tous les autres phénomènes en question. Le reste du travail
est consacré à la démonstration de la possibilité d'admettre une
régulation neurohumorale dans les couches ganglionnaires de la
rétine, supposition indispensable à l'explication des fonctions
envisagées. ■ ' ;- 596 ANALYSES BIBLIOGRAPHIQUES
Mais dans un travail récent plus détaillé, Bogoslowski et Segal
ont pu démontrer que les phosphènes paraliminaires naissent bien
dans le globe oculaire, mais soit au niveau de la papille, soit dans
le parcours intrarétinien des fibres du nerf optique, et que l'action
de l'adaptation sur eux doit nécessairement avoir une origine cen
trale. La grande similitude entre le comportement du phosphène
électrique et les autres phénomènes étudiés par F. constitue donc
tout au contraire un argument en faveur de la localisation centrale
de leur appareil. J. S.
702. — L. M. HURVICH. — The range of apprehension and sensory
discrimination (L'étendue de V appréhension et la discrimination
sensorielle). — J. of exp. Ps., XXVII, 1940, p. 313-317.
Hunter et Sigler ont montré que la loi de Bunsen-Roscœ est appli
cable (dans certaines limites) à l'étendue de l'appréhension visuelle
de points séparés. Ils en ont conclu que a pour base
l'étendue de la discrimination visuelle et qu'elle est explicable par
la photochimie rétinienne. Les expériences de l'auteur montrent qu'il
y a une différence notable à cet égard entre la vision monoculaire
et la vision binoculaire et il conclut que, bien que les processus soient
sensoriels, les déterminants critiques de l'étendue de l'appréhension
sont de nature centrale. V.
703. — W. GARDNER. — Photographie analysis of some unexplored
Visual phenomena (Analyse photographique de quelques phénomènes
visuels peu étudiés). — J. of Opt. Soc, XXXI, 1941, p. 94-98.
Quand on fixe un point immobile sur le trajet d'une voiture
rapide, on croit apercevoir les rayons des roues dans la moitié infé
rieure. La photographie au 1/40 sec. donne un système de lignes entre
croisées reproduisant l'effet visuel, qui était donc d'origine géomét
rique : l'œil voit les lieux de chevauchement (donc de luminance)
maximum des positions successives de chaque rayon, soit une branche
de cycloïde (grâce à la persistance rétinienne) ; l'ensemble de ces
branches ressemble aux rayons divergeant vers le bas. La même
explication vaut sans doute pour les observations de « J. M. » (1821),
de Roget (1824), et celles de Gradle (1928) sur une hélice d'avion.
G. D.
704. — SELIG HECHT. — The chemistry of visual substances (La
chimie des substances visuelles). — Annual Review of Bioche
mistry, XI, 1942, p. 465-496.
Revue générale concernant le pourpre visuel (historique, spectre
d'absorption en rapport avec la luminosité, sensibilité en relation
avec la concentration, nature chimique — solubilité, préparation,
nature de protéine conjuguée — , blanchissement, formation de
jaune visuel, réactions à l'obscurité, régénération dans la rétine
et en solution, relations de l'adaptation à l'obscurité avec la vita
mine A), avec quelques brèves données sur la variété porphyropsine
et des indications sommaires concernant les substances photos
ensibles des cônes (131 références). H. P. VISION. MOTRICITÉ OCULAIRE 597
705. — A. M. CHASE et W. H. HAGAN. — The photochemical and
thermal reactions of visual purple in absence of oxygen (Les
réactions photochimique et thermique du pourpre visuel en absence
d'oxygène). — J. of cell, and comp. Ph., XXI, 1943, p. 65-76.
Détermination des spectres d'absorption de solutions de pourpre
pendant et après éclairement, dans des conditions normales ou en l'ab
sence d'oxygène (celui-ci étant chassé des solutions par barbotage
d'hydrogène). Il n'y a aucune différence dans les deux cas (comme
l'avaient déjà constaté Brunner et Kleinan en 1936).
La nécessité de l'oxygène pour l'exercice de la vision tient donc,
soit aux conditions de régénération du pourpre, soit à celles régissant
la propagation nerveuse dans la rétine et le nerf optique.
H. P.
706. — V. J. WULFF. — Correlation of photochemical events with
the action potential Of the retina (Corrélation des processus photo
chimiques avec le potentiel d'action de la rétine). — J. of cell, and
comp. Ph., XXI, 1943, p. 319-326.
Sur des sauterelles (Melanoplus difjerentialis), dont certaines
étaient privées des ganglions ojptiques et cérébraux (ce qui a pour
effet de diminuer les potentiels rétiniens), l'amplitude de la réponse
électrique de l'œil à l'éclairement (onde b, négative) a été mesurée de
la façon suivante : après adaptation à l'obscurité, l'œil est soumis à
des éclairements intermittents (une demi-seconde par seconde) en
commençant par les plus faibles et en augmentant par paliers chaque
fois q

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