Généralités. Théories. Lois psychologiques. Processus physiologiques. - compte-rendu ; n°1 ; vol.35, pg 579-591
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Généralités. Théories. Lois psychologiques. Processus physiologiques. - compte-rendu ; n°1 ; vol.35, pg 579-591

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L'année psychologique - Année 1934 - Volume 35 - Numéro 1 - Pages 579-591
13 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

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Publié le 01 janvier 1934
Nombre de lectures 32
Langue Français
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Extrait

a) Généralités. Théories. Lois psychologiques. Processus
physiologiques.
In: L'année psychologique. 1934 vol. 35. pp. 579-591.
Citer ce document / Cite this document :
a) Généralités. Théories. Lois psychologiques. Processus physiologiques. In: L'année psychologique. 1934 vol. 35. pp. 579-
591.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/psy_0003-5033_1934_num_35_1_5329MOTRICITÉ OCULAIRE VISION.
ou dans la direction inverse quand on varie d'une manière continuer
l'intensité absolue.
T. en conclut que toute théorie de la localisation auditive devrait,
tenir compte de ces données expérimentales. P. K.
866. — DAVID-GALATZ. — Sur la localisation du son dans Iar
perception cranio-osseuse. — Annales d'Otolaryngologie, 1934r
n° 6, p. 576-584.
Le diapason étant appuyé sur le plan médio-sagittal du crane„
le son entendu par voie osseuse est localisé au milieu de la tête, si.
l'audition est égale des 2 côtés ; sinon il y a latéralisation apparente. .
Quand on bouche une oreille, on localise le son de côté, mieux
entendu par voie solidienne. Et des malades peuvent localiser du;
côté où l'audition est moins bonne par voie aérienne.
En utilisant cette méthode d'examen dans les affections auri
culaires (comportant l'effet sur la localisation apparente de l'occlusion-
de l'une ou l'autre oreille) l'auteur constate que l'atteinte de l'oreille-
moyenne entraîne une fixité de la (non modifiée par l'oc
clusion) tandis que celle de l'oreille interne comporte un déplacement;
de la localisation. H. P.
867. — F. L. DIMMIGK et E. GAYLORD. — The dépendance of
auditory localization upon pitch (La dépendance de la localisation
auditive par rapport ala fréquence du son). — J. of exp. Ps., XVII,
1934, p. 593-599.
Les sons aigus paraissent hauts, les sons graves bas. Mais s'agit-il
d'une qualité primaire, susceptible de se traduire par une illusion,
de localisation verticale dans l'espace ? C'est ce que Pratt avait cru
constater. D. et G. contestent le fait ; leurs sujets localisent à la
même hauteur des sons aigus ou graves provenant de la même posi
tion et ne commettent pas d'erreur systématique appréciable dans,
la localisation d'une source sonore de fréquence variable, irréguli
èrement déplacée dans la direction verticale. P. G.
7° Vision. Motricité oculaire
a) Généralités. Théories. Lois psychologiques.
Processus physiologiques1
868. — F. H. GAGE. — An experimental investigation of the meas»-
rability of Visual sensation (Une recherche expérimentale sur la
possibilité de mesurer la sensation visuelle). — Pr. of R. S., B,
GXVI, 1934, n° 797, p. 123-138.
Expériences de bisection d'un intervalle entre deux niveaux
de brillance, le sujet réglant un niveau qui lui paraisse equidistant
des niveaux extrêmes.
En plaçant le champ le plus brillant tantôt à droite et tantôt à«
gauche, pour la détermination, dans un champ situé au milieu, .
de ce niveau intermédiaire equidistant, chacun des 2 sujets donne.-
1. Voir aussi les N°* 145, 389, 714, 758, 782, 787, 962. 580 ANALYSES BIBLIOGRAPHIQUES
les résultats suivants, en unités logarithmiques (les valeurs des
extrêmes étant 0 pour le maximum et 2,026 pour le minimum) :
Sujet I Cas A Cas B Sujet II. .. Cas A Cas B
Niveau equidistant. 0,918 0,840 0,930 0,913
Entre les valeurs de ce niveau et le niveau 0, les valeurs de
la bisection sont respectivement 0,470 ; 0,366 ; 0,550 ; 0,404. et entre
elles et le niveau 2,026 : 1,326 ; 1,247 ; 1,357 ; 1,300.
Enfin, en faisant diviser en parties égales l'intervalle entre les
niveaux de bisection intermédiaires ainsi obtenus, respectivement,
les 4 valeurs moyennes obtenues, qui devraient coïncider avec les
4 premières^ deviennent : 0,797 (au lieu de 0,918) ; 0,549 (au lieu de
0,840) ; 0,989 (au lieu de 0,930) ; enfin 0,782 (au lieu de 0,913).
Sauf dans 1 cas, l'écart entre les deux valeurs qui devraient
coïncider est de même sens (celui de la déviation vis-à-vis de la loi
fechnérienne, vers un niveau trop élevé de brillance).
On ne peut donc construire une échelle valable des sensations,
d'après G.
Mais le nombre des sujets n'est peut-être pas assez grand pour
étayer définitivement une telle conclusion négative. H. P.
869. — SELIG HECHT. — A theoretical basis for intensity discr
imination in Vision (Une base théorique pour la discrimination
visuelle d'intensité). — Pr. of N. Ac. of Sc, XX, 12, 1934, p. 644-
655.
Résumé d'un exposé théorique qui doit faire objet d'un mémoire.
Utilisant les mesures ingénieuses qui ont permis de connaître
la valeur du seuil différentiel de brillance lumineuse à une série assez
large de niveaux différents chez la Drosophile, chez l'Abeille, chez le
Lamellibranche Mya arenaria, et qui donnent sur une échelle loga
rithmique d'intensités en abscisse une courbe régulièrement décrois
sante du logarithme de la fraction différentielle -y- inscrit en ordonnée,
courbe analogue à celle de divers auteurs pour la sensibilité de l'œil
humain (à condition de considérer une courbe des cônes et une courbe
des bâtonnets et de négliger les relèvements de la fraction différent
ielle aux plus hauts niveaux de brillance, d'après les déterminations
de König et Dieterici), Hecht déduit les valeurs observées d'un schéma
photochimique, compatible avec une équation satisfaisante pour la
Drosophile du type -y- = — ( 1 + rrr ), avec les constantes K = — *
1 ak \ rvl / «2
(rapport de 2 constantes de vitesse des réactions antagonistes, la
décomposition photochimique à la lumière et la reconstruction à
l'obscurité), a et c.
Il s'agit là d'une réaction doublement monomoléculaire.
Une équation un peu différente convient à l'abeille et à la mye,
sur la base d'une réaction bimoléculaire :
AI
V (K.I)î/ VISION. MOTRICITÉ OCULAIRE 581
Pour l'homme, c'est cette équation qui s'applique aussi, mais,
dans certains cas, convient mieux une éouation représentant un
processus à réaction monomoléculaire dans un sens et himoléculaire
dans l'autre. H. P.
870. — R. THOULESS. — The general principle underlying effects
attributed to the so called phenomenal constancy tendancy (Le
principe général impliqué dans les effets attribués à la prétendue
tendance à la constance apparente). — Ps. For., XIX, 1934,
p. 300-310.
Une ombre pro:etée pat ait moins sombre qu'elle ne le devrait
d'après les rapports de clarté des images rétiniennes ; un objet
éloigné paraît moins diminué qu'il ne le serait d'après les rapports
géométriques de ces images. Inversement, si l'objet réel est modifié
de façon que l'image rétinienne ne change pas, apparent paraît
modifié. T propose de grouper toute cette catégorie de faits dans la
formule suivante : les caractères apparents d'un objet sont inter
médiaires entre les du stimulus périphérique et ceux de
l'objet réel : ils résultent d'une sorte de compromis. P. G.
871. — W. ARNOLD et C. P. WINSOR. — On the theoretical signi
ficance Of Talbot'S law (Sur la signification théorique de la loi
de Talbot). — J. of gen. Ph., XVIII, 1, 1934, p. 97-101.
Il n'est pas nécessaire d'entrer dans le détail des mécanismes
physico-chimiques de l'excitation lumineuse pour déduire rigoureu
sement une conséquence importante de la loi de Talbot, à savoir que
la vitesse du processus photochimique serait directement proport
ionnelle à l'intensité de la lumière incidente. Autrement dit, si X
est une variable qui, en dehors de l'intensité I, fixe l'état du système,
on peut, du fait que la loi de Talbot est vérifiée, préciser que la
vitesse c = f (I,X) du processus est une fonction de la forme
v = 1/ (X).
L'auteur le démontre mathématiquement ; c'est dire que la
validité de cette proposition ne dépend que de celle qu'on accorde
aux hypothèses très générales prises comme point de départ. Ce sont
les suivantes : 1° l'état d'un photorécepteur est complètement
déterminé par son histoire antérieure concernant son exposition à
la lumière ; 2° la photoréception

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