Organisation psychologique du travail. Questions de milieu, éclairage, outillage. Les accidents du travail. La fatigue industrielle. - compte-rendu ; n°1 ; vol.35, pg 789-801

Non Renseigné

Description

L'année psychologique - Année 1934 - Volume 35 - Numéro 1 - Pages 789-801
13 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

Informations

• Publié par: L-annee-psychologique
• Publié le: 01 janvier 1934
• Nombre de lectures: 27
• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 1 Mo

Extrait

f) Organisation psychologique du travail. Questions de milieu,
éclairage, outillage. Les accidents du travail. La fatigue
industrielle.
In: L'année psychologique. 1934 vol. 35. pp. 789-801.
Citer ce document / Cite this document :
f) Organisation psychologique du travail. Questions de milieu, éclairage, outillage. Les accidents du travail. La fatigue
industrielle. In: L'année psychologique. 1934 vol. 35. pp. 789-801.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/psy_0003-5033_1934_num_35_1_5358PSYCHOLOGIE APPLIQUÉE. APPLICATIONS GÉNÉRALES 789
dans le but de choisir des tests psychotechniques, pouvant aider
la sélection pour cette profession. B. N.
1320. — C. WEBER. — Examensangst bei Kenntnissprüfungen
(La peur pendant les examens de connaissances). — Ind. Psychot.,
XI, 2, 1934, p. 53-55.
Tout le monde est plus ou moins ému au moment de se présenter
aux examens scolaires. Cependant, il y a des gens chez qui cette
émotion prend un aspect pathologique. L'auteur croit que l'on doit
écarter ces sujets des examens et des carrières intellectuelles. D'après
lui, ces états d'hyperémotivité ne s'observent que chez des personnes
inaptes aux carrières intellectuelles. B. N.
f) Organisation psychologique du travail
Questions de milieu, éclairage, outillage
Les accidents du travail. La fatigue industrielle1
1321. — H. DUBREUIL. — The human factor in industry (Le
facteur humain dans l'industrie). — Hum. F., VIII, 4, 1934,
p. 146-152.
Traduction abrégée d'un discours prononcé à la réunion annuelle
du « Comité National de l'Organisation Française ». L'auteur croit
que bien des défauts de l'organisation industrielle actuelle provien
nent du fait que les ouvriers sont considérés à peu près comme
des machines qu'on achète et qu'il n'existe aucun lien entre les
employeurs et les travailleurs. L'ouvrier manque du sentiment de
responsabilité ne se sentant attaché à une entreprise que pour un
temps limité, ne pouvant avoir aucune initiative ni exprimer son
avis. Ne se sachant engagé que provisoirement, il ne peut pas identif
ier ses propres intérêts avec ceux de l'entreprise. C'est la coopération
étroite entre les chefs et les employés qui permettrait aux chefs
d'utiliser toutes les aptitudes des et donnerait à ces derniers
un sentiment de satisfaction qui les stimulerait dans leur travail.
D. M.
1322. — C. A. OAKLEY. — Industrial Misfit (La mauvaise adaptation
industrielle). — Hum. F., VIII, 4, 1934, p. 123-130.
Il existe pour l'auteur 3 causes principales de la mauvaise adap
tation industrielle : une mauvaise sélection, une mauvaise préparation
au travail et la psychonévrose. Sans parler des dommages causés
à une entreprise par le mauvais ouvrier, être mal adapté à son travail
constitue le plus grand malheur de l'homme, le travail étant la base
de toute son existence. On peut avoir mal choisi sa carrière ou bien
y échouer n'ayant pas reçu la préparation nécessaire. Mais ce n'est
pas seulement du choix de la carrière d'un individu ou des connais
sances qu'il possède pour la suivre que doit s'occuper le psychotechn
icien, il devrait en outre examiner le sujet au point de vue prédispos
ition . aux différentes formes des maladies nerveuses et ne pas le
guider dans certaines voies après avoir constaté certaines prédis
positions. D. M.
1. Voir aussi les N03 1138, 1140, 1220. 790 ANALYSES BIBLIOGRAPHIQUES
1323. — G. P. GROWDEN. — The practical value of Physiology
to Industry (La valeur pratique de la physiologie pour Vindustrie).
— Hum F., VIII, 2, 1934, p. 57-69.
L'A. passe en revue les recherches effectuées dans le domaine
de la physiologie du travail et relate ses propres travaux se rapportant
en particulier au chauffage dans les écoles et aux casques militaires
pour la protection contre les grandes chaleurs. Il réclame une coopé
ration étroite entre les médecins et les psychotechniciens qui est
indispensable pour le progrès de la science du travail. D. M.
1324. — JULIAN HUXLEY. — Science and industry (Science et
industrie). — Hum. F., VIII, 3, 1934, p. 83-86.
Introduction à une série de causeries de l'auteur sur Les recher
ches scientifiques et les besoins sociaux L'auteur examine le travail
de P« Ind. Health Research Board » et de l'Institut de Psychologie
industr. d'Aldwych qui en utilisant les méthodes scientifiques s'o
ccupent des questions de l'organisation de travail, ainsi que de
l'orientation et de la sélection des travailleurs.
L'orientation faite à Birmingham prouve l'efficacité de tous les
efforts de ce genre qui servent à augmenter le rendement, à améliorer
les conditions de travail et à créer une atmosphère de bien-être grâce
à une meilleure adaptation du travailleur à sa tâche. D. M.
1325. — W. F. WATSON. — The worker's point of view. XVIII.
Stray thoughts on works management (Quelques réflexions sur
la façon de diriger le travail). — Hum. F., VIII, 9, 1934, p. 312-322.
Même l'ouvrier moyen porte beaucoup d'intérêt à son entreprise
et lui souhaite la plus grande prospérité. Les chefs ont bien souvent
tort de ne pas tenir compte des opinions de leurs subordonnés.
L'auteur en se basant sur son expérience personnelle fait quelques
suggestions concernant une meilleure compréhension du facteur
humain et une meilleure organisation de travail que le psychotechn
icien pourrait obtenir en servant d'intermédiaire entre l'adminis
tration et les ouvriers. D. M.
1326. — F. GIESE. — Arbeitsauffassung im Wandel der Zeiten
(L'évolution dans le temps de la conception du travail). — Ind.
Psychot., XI, 3, 1934, p. 65-71.
Considéré dans l'ancien temps comme une occupation dégradante
et comme une punition infligée à l'homme pour ses péchés, le travail
fut reconnu ensuite comme une occupation honorable. Plus tard,
on a envisagé le travail une marchandise, comme un moyen
d'arriver à pouvoir jouir de la vie. Ce n'est que maintenant dans
l'Allemagne nouvelle que la valeur culturelle du travail en soi est
pleinement reconnue. Le travail n'est pas un moyen mais il a son
but en lui-même. Dans l'organisation du travail l'attention doit donc
être surtout dirigée sur le facteur humain. B. N.
1327. — H. MEYERHEIM. — Fehlerprüfstelle in Grossbetrieben
(Centre pour V étude des erreurs commises dans de grandes industries )
— Ind. Psychot., XI, 5, 1934, p. 138-140.
L'auteur croit utile d'organiser dans les grandes industries un PSYCHOLOGIE APPLIQUÉE. APPLICATIONS GÉNÉRALES 791
bureau spécial, chargé d'analyser les erreurs commises au cours du
fonctionnement de l'industrie. Cette analyse permettra d'établir les
causes des erreurs commises et les moyens de les prévenir dans
l'avenir. B. N.
1328. — P. L. STANGHFIELD et Z. G. DICKINSON. — Suggestion
systems in 1932 and 1933 (Le système des suggestions dans les
années 1932-1933J. — Pers. J., XIII, 4, 1934, p. 197-203.
Le nombre des suggestions apportées par les employés pour
améliorer leur travail est allé en diminuant dans les années 1931-1933.
Une tendance à l'augmentation a été observée au début de 1934.
La somme des primes payées pour ces suggestions est également allée
en diminuant durant cette période, sans toutefois présenter d'aug
mentation en 1934. Le pourcentage des adoptées n'a pes
présenté de changement appréciable d'année en année.
Ces conclusions ont été tirées à la suite de l'étude de réponses
fournies par 41 établissements industriels différents. B. N.
1329. — E. KUPKE. — Die Streuung der Stoppzeiten bei verschiede
ner Arbeitsgeschwindigkeit (La distribution des durées chronomét
rées au cours des éléments isolés du travail, effectué suivant une
vitesse variable). — Ind. Psychot., XI, 2, 1934, p. 44-48.
En chronométrant les durées des mouvements du travail au
cours du vissage des écrous, on obtient des valeurs de temps se
distribuant sur une échelle assez étendue. Sous l'influence de l'exer
cice, la dispersion de la courbe de fréquence ainsi obtenue diminue,
cette courbe devient plus ramassée. Lorsque le travail devient plus
rapide, la courbe des fréquences des durées chronométrées, tout en
restant assez dispersée, se déplace vers les durées courtes.
B. N.
1330. — H. TAKAHASHI. — L'influence des pé