Procédés de Calcul. Moyennes. Corrélations - compte-rendu ; n°1 ; vol.30, pg 889-898
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L'année psychologique - Année 1929 - Volume 30 - Numéro 1 - Pages 889-898
10 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

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Publié le 01 janvier 1929
Nombre de lectures 16
Langue Français

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4° Procédés de Calcul. Moyennes. Corrélations
In: L'année psychologique. 1929 vol. 30. pp. 889-898.
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4° Procédés de Calcul. Moyennes. Corrélations. In: L'année psychologique. 1929 vol. 30. pp. 889-898.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/psy_0003-5033_1929_num_30_1_5019PROCEDES DE CALCUL. MOYENNES. CORRELATIONS
1412. — I. KARTOUZANSKAIA et A. N. MATZKIEWICZ. — Les
profils psychologiques de Rossolimo appliqués aux écoliers nor
maux (en russe). Problèmes de Pédologie normale et pathologique
Kharkoff, 1928, p. 91-105.
Les auteurs ont appliqué collectivement à 270 écoliers, âgés pour
la plupart de 14 à 16 ans, la méthode abrégée de Rossolimo. 70 % des
enfants avaient une hauteur moyenne du profil égale à 7-8 et à 8-9,
11,4 % des profils d'enfants doués (9-10) 13,5 % étaient
légèrement débiles (hauteur de 5-6). Ces résultats corre
spondent à ceux obtenus individuellement. En ce qui concerne les
trois composants des profils,, le tonus s'est montré bien bas car 14 %
seulement des enfants ont atteint le chiffre 7-8. il en est de même des
processus supérieurs. Par contre, le niveau de la mémoire est assez
haut (77 % ont atteint 9-10 et 8-9). Quand à la structure des profils,
47 % ont manifesté un type hypotonique-dément et 2,5 % seulement
un type harmonieux. Ces derniers résultats sont en contradiction
avec ceux obtenus individuellement. Aucune corrélation entre la
hauteur des profils et la santé des enfants, mais il existe une corré
lation entre la hauteur des processus supérieurs et les progrès scolaires.
Quant aux différences entre les deux sexes, elles sont le plus accusées
à la 5e année scolaire, elles s'atténuent à la 6e année et disparaissent
à la 7e. Comme conclusion générale, les auteurs trouvent que la mé
thode peut servir à dépister les arriérés pour les écoles de perfection
nement, mais que, dans le cas de profil avec une hauteur moyenne,
elle demande à être vérifiée individuellement. J. A.
4° Procédés de calcul. Moyennes. Corrélations 1
1413. — O. DECROLY et R. BUYSE. — Introduction à la Pédagogie
quantitative. Eléments de statistique appliqués aux problèmes pé-
dagogiques. — In-16 de 151 pages. Bruxelles, Lamertin, 1929.
Ce petit volume, publié dans la collection des Documents Pédo
techniques (VIII, 1), complète utilement l'ouvrage des auteurssurla
Pratique des tests mentaux.
Il donne aux éducateurs les principales données élémentaires
indispensables pour la pratique des mesures ; et il est peut-être
préférable, pour un grand nombre de praticiens de la pédagogie, de
consulter un livre qui ne soit pas écrit par des mathématiciens, trop
souvent soucieux d'une cohérence théorique, dont n'ont que faire ces
praticiens, et qui entraine à des considérations et à des développe
ments de nature à les effrayer.
Ils sont sûrs de ne trouver ici que des données élémentaires facil
ement assimilables, et d'application pratique immédiate.
Ils trouveront aussi des tables commodes, facilitant les calculs,
l'une donnant les carrés et racines carrées des nombres jusqu'à 1.000,
une autre traduisant immédiatement en pourcentage des rapport de
deux nombres (de 1 à 60) et quelques autres encore relatives aux
corrélations. H. P.
1. Voir aussi le n° 5. - ANALYSE^ BIBLIOGRAPHIQUES OÇÛ
1414. -r M. F. MARTIANEZ. — Los Métodos Estadisticos en Psico-
tecnia [Les méthodes statistiques en psychotechnique);. — R. de F. Pr.,
Fyérier 1929, p. 3-5 et Mars 1929, p. 3-8.
La Psychotechnique, en tant que science expérimentale doit
employer les méthodes statistiques, c'est pourquoi les Instituts d'O.
P. de Madrid et de Barcelone; comptent la statistique parmi les mat
ières enseignées aux futurs psychotechniciens. L'auteur démontre,
sur un test d'O et de S. P. de Madrid, comment on détermine les
moyennes, les écarts et les coefficients d'asymétrie, par la « méthode
des moments » de Pearson. En un langage, très clair et très explicite,
accompagné de tableaux et de graphiques, il indique comment on éta
blit la médiane, les quartiles, les déciles et les centiles, qui servent
ensuite à calculer les coefficients de variation et d'asymétrie, si
importants en psychotechnique. L. B.
1415. — KARL J. H0LZ1NGER. — Statistical Tables îor Student*
in. Education and Psychology. — Ia-8 de 81 pages, University of
Chicago: Press, 1929 (Londres, Ginn et Cy. Prix : 10,6 sh. ).
Le développement des calculs statistiques dans la pratique des
méthodes de tests a conduit divers auteurs à la recherche de moyens
pour la simplification de tâches fastidieuses. Des machines spéciales le calcul' des corrélations ont été établies, et l'on a multiplié
L'emploi de tables toutes prêtes.
Gelles d'H/olzinger sont de nature à rendre' les plus grands services.
On. y trouve les carrés et racines: carrées des 1050 premiers nombses,
les produits des nombres entiers jusqu'à 100 X 100, et leurs quo
tients, avec 4 décimales, les produits des nombres de 1 à 100 par les
carrés des; 1-2 premiers nombres, les logarithmes (à 5; chiffres) des
expressions 1 — r2 et \/l — r2, les valeurs de \/l — r, celles du rapport
d,e i'er.peur probable à la racine carrée de N (évalué en di&aines)^ les
erreurs probables des coefficients de. corrélation, pour les, nombres
de 20 à 1-000 par unités de 5, puis de 10, puis de 20, les valeurs carac
téristiques des courbes de probabilité pour une sériede valeur # /a, 500
valeurs de- \Jpq quand p ■+- q = 1 pour- des grandeurs de p (oui
de q) à partir de 0,001 jusqu'à 0,499, etfi
Êa somme les; calculs courants de corrélation, par la méthode de
Bravais.-Pearson ou celle de Spearman, peuvent être considérable-
naönt accélérés par l'emploi de ces tables, ainsi quela déteriaiaationT
d'un grand nombre de coefficients statistiques. H. P.
Ï4JÊ0. — B. BIEGELEISEN;. — - Die Bewertung psychotechttis^hreß
Prüfungsergebnisse [La notation des résultats des tests). — Ind1.
Psychot. , Vï; 5,1 929, p. 1 45-1 56.
Description et discussion de quelques procédés de notation : notes
à égale fréquence, notes à inégale fréquence, division de la courbe
cumulée, centiJago. .
Détails utiles sur- ces procédés- pour la plupart employés en All
emagne ; mais revue incomplète, lös « échelles absolues » n'étant même
pas mentionnées. D. W. Procédés de calcul. moVemses. correlations
1417. — P. LAZARSFELD.— Dfe Bpdeutuag #er normalen Vçrtei-
lungs kurve für die Leistungsmessung {V importance de la courbe de
répartition normale pour la mesure du rendement). — Psychot. Z.,
IV, 4, 1929, p. 104-107.
En mesurant le rendement en unités physiques (nombre de lettres
barrées, par exemple, dans un test de barrage) c'est, au fond, un ren
seignement sur la fonction psychologique que l'on désire obtenir. Si
la courbe de répartition de la fonction était connue, les répartitions
du rendement empiriquement obtenues permettraient de connaître
les valeurs vraies de la fonction psychologique. La répartion de la
fonction étant inconnue, ne peut être que postulée à priori, en
vertu d'hypothèses plus ou moins plausibles. L'hypothèse la plus
plausible semble être précisément celle de la répartition normale ; eu
sa faveur L. signale, notamment, que : l8 un grand nombre de re
cherches psycho -physiques montrent, après transformations con
formes à la loi de Weber-Fechner (soit transformation logarithmique)
des répartitions normales ; 2° que, comme l'a montré Thorndike sur
un grand nombre de sujets lorsqu'on superpose des tests, dpnt chacun
donne des répartitions asymétriques, on obtient une répartition en
cloche symétrique ; 3° qu'il y a lieu de rechercher si les répartitions
empiriques ne peuvent pas, par des transformations plausibles, être
ramenées à des répartitions normales. L. a montré par un exemple
concret qu'il en était ainsi pour les répartitions- asymétriques des
temps, celles-ci donnant des courbes symétriques lorsque les temps
ont été remplacés par leur réciproques ; et cette transformation est
légitime, car ri

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