Psychanalyse. Schizophrénie. Autisme. Démence précoce c) Obsessions. Psychasthénie. Délire. Etats paranoïaques. Syndromes hallucinatoires - compte-rendu ; n°1 ; vol.41, pg 437-448
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Psychanalyse. Schizophrénie. Autisme. Démence précoce c) Obsessions. Psychasthénie. Délire. Etats paranoïaques. Syndromes hallucinatoires - compte-rendu ; n°1 ; vol.41, pg 437-448

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L'année psychologique - Année 1940 - Volume 41 - Numéro 1 - Pages 437-448
12 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

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Publié le 01 janvier 1940
Nombre de lectures 28
Langue Français

Extrait

b) Psychanalyse. Schizophrénie. Autisme. Démence
précoce__**__c) Obsessions. Psychasthénie. Délire. Etats
paranoïaques. Syndromes hallucinatoires
In: L'année psychologique. 1940 vol. 41-42. pp. 437-448.
Citer ce document / Cite this document :
b) Psychanalyse. Schizophrénie. Autisme. Démence précoce__**__c) Obsessions. Psychasthénie. Délire. Etats paranoïaques.
Syndromes hallucinatoires. In: L'année psychologique. 1940 vol. 41-42. pp. 437-448.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/psy_0003-5033_1940_num_41_1_5924■
PSYCHOLOGIE PATHOLOGIQUE 437
h) Psychanalyse. Schizophrénie. Autisme. Démence précoce
c) Obsessions. Psychasthénie. Délires
États paranoïaques. "-Syndromes hallucinatoires
460. — J. DELAY. — Tic organique et tic mental. — An. Méd.-Ps.f
XV, 1941, t. 17, 328-333. ' -
La différence est difficile à faire entre les tics organiques et ceux
qui seraient d'origine purement psychique. Ainsi, dans l'observation«
rapportée par l'A., le tic du cou à forme de torticolis mental qui est*
déclenché par une forte émotion et qui était le premier signe d'une-'
sclérose en plaques. H. W.
461. — H. CLAUDE, Mme MICHON, RÖSINAUER. I— Démone-
manie et syndrome de Cotard. Rapports avec la mélancolie et lé*
syndrome obsessionnel primitif. — An. Méd.-Ps., XV, 1940K
t. II, p. 273-280.
Femme de 42 ans, active et n'ayant jamais présenté que des-
troubles hépatiques, qui passe d'une façon continue par un état
psychàsthénique, mélancolique, obsessionnel, pseudo-hallucinatoire
pour aboutir à un délire démonomaniaque, à un syndrome de Gotard-.
et finalement au suicide. Les obsessions scatologiques, en opposi
tion complète avec le caractère de la malade peuvent l'avoir poussée,
à .se croire possédée par le démon. Mais les idées de possession se-
transforment en idées de négation, d'énormité, d'éternité.
H. W.
462. — E. BOLT ANS Kl, — Troubles fonctionnels digestifs, hypo-
chondrie secondaire. — An. Méd.-Ps., XV, 1940, t. II, p. 299-305.
L'enchaînement des troubles constatés par l'A. chez sa malade
paraît être le suivant. Obsession causée par une cicatrice cervicale
qu'elle juge inesthétique et pour laquelle elle fait une première-
tentative de suicide ; déséquilibre neuro-végétatif causé par ces
soucis et ayant entraîné des troublei gastro-intestinaux avec auto
intoxication, idées hypochondriaq.ues en rapport avec ces troubles
et qui se substituent aux premières obsessions. Une tentative malheur
euse pour effacer la cicatrice ramène le malade à sa première- obses
' 'sion et suicide s'ensuit. , H. W. ;
463. — P. DELMAS-MARSALET, LAFON, FAÜRE. — Sur les-
formes pseudo-schizophréniques de la psychasthénie. — Enc,
XXXV, 1942, I, p. 1-12. .
Le repliement sur soi, l'accaparement par les obsessions, peuvent
chez le psychasthénique prendre le masque de l'autisme, le sentiment
de dépersonnalisation lui, donné l'impression d'action extérieure.
Cependant le contact avec l'ambiance est conservé, la dissociation»
psychique n'est qu'apparente. Il y a cependant entre la psychasthénie
délirante et la schizophrénie des confins où il est impossible de
discerner avec certitude si le passage de l'une à l'autre ne serait
pas possible. H. W,
464. — LAIGNEL-LAVASTINE, CH. DURAND, P, NEVEU. —
Jeux syllabiques obsédants chez un psychasthénique devenu déli- '
.
.

'

438 ANALYSES BIBLIOGRAPHIQUES ■*
rant chronique. — An, Méd.-Ps., XV, 1941, t. II, p. 134-140.
L'obsession de la propreté physique entraîne lé malade de cette
observation à l'incurie la plus totale par impuissance à prendre tous
les soins et toutes les précautions qui lui semblent nécessaires.
L'obsession de la propreté morale l'amène à craindre qu'aux syl
labes de certains mots ne s'accrochent d^autres syllabes qui leur
donnent un « parasite » obscène. De cette crainte naît l'hallucination
correspondante et sur l'hallucination se greffe tout un système, où
les phonèmes sembleat prendre une sorte de réalité cosmique. Il
s'agit d'un autodidacte accumulant des notes plutôt que des
.connaissances. H. W.
465. — LAIGNEL-LAVASTINE, J. DELAY, DESHAIES. —
Délire d'intuition. — An. Méd.-Ps., XV, 1940, t. II, p. 249-^56.
A côté des délires hallucinatoires, interprétatifs, imaginatifs, se
rencontrent des dont la source est purement intuitive. L'intui
tion est immédiate, absolue et présente une forte charge affective.
Elle est plus intime et plus personnelle que la révélation. Dans
l'observation rapportée l'intuition avait pour contenu la prévision
des événements et des aspirations morales. H. W.
■■■■ - ■• ■■-.■' *
— G. FERDIÈRE. — A propos de l'érotomanie, d'une définition 466.
proposée et d'un eas initialement proposé eomme pur. — An.
Méd.-Ps.,. XV, 98« ann.,I, 1940, p. 176-180.
L'érotomanie n'est qu'un syndrome qui peut se développer en
liaison avec différents états psychopathiques. Elle est toujours
délirante. Elle répond à des sentiments d'insatisfaction matérielle,
sexuelle, affective. , H. W.
467. — LAIGNEL-LAVASTINE, BOUVET, FOLLIN. — Eroto
manie féminine avec transfert filial, expression de l'instinct de
conservation. — An. Méd.-Ps., XV, 1940, t. II, p. 148-152.
¥ne femme persuadée d'être" aimée s'explique l'attitude réservée .
•et bizarre de « l'objet » par son désir de prolonger plus tard l'amoup
qu'il a pour la mère avec la fille qui est actuellement âgée de 5 ans.
C'est aussi le vœu de la mère. H. W.
468. — HEUYER et FOUQUET. — Erotomanie.; Suite d'une
observation. — An. Méd.-Ps., XV, 1941, t, II, p. 111-122, ,
Le délire érotomaniaque doit être considéré comme chronique
en dépit des réticences et dissimulations à l'aide desquelles le malade
peut donner le change à des personnes non averties. H. W.
469. — LAIGNEL-LAVASTINE, MIGNt>T, H. MAURICE. —
Délire de négation récidivant avec idées d'immortalité. — An.
Méd.-Ps., XV, 1941, t. I, p. 279-285. \
Syndrome de Cotard sans anxiété marquée, disparition des idées
<le transformation corporelle et d'immortalité après 8 ans de durée,
récidive. Pour les idées de transformation physique la cénesthésie
pourrait être mise en cause. Cependant la malade ne sait pas en
quelle matière ses organes s'ont transformés,, si c'est en pierre ou en '
PSYCHOLOGIE PATHOLOGIQUE . 439
bois, d'autre part l'anxiété est beaucoup trop faible pour qu'elle
puisse expliquer l'idée d'immortalité. Cette idée ne serait-elle pas
primitive, et la désignation de la substance impérissable des organes
une justification secondaire de l'immortalié ? H. \y.
470. — G. DAUMÉZON et L. CASSAN. — Délire chez une paraly
tique générale impaludée. Contribution à l'étude du métabolisme
de constitution, — An. Méd.-Ps., XV, 1941, t. I, p. 295-299.
Chez une paralytique générale impaludée, après disparition des
signes neurologiques et des réactions démentielles, se développe un
délire à forme d'interprétation et à tendances paranoïaques en ■parfait
contraste avec le caractère antérieurement docile et effaré de la
malade. Rétrospectivement elle se. remémore tous ses griefs d'épouse
qui semblaient l'avoir laissée indifférente jadis. Au bout de quelque
temps d'ailleurs la démence reparaît, mais plutôt paranoide que
paralytique. ' H. W.
-* 471. — LAIGNEL-LAVASTINE, BOUVET et H. MAURICE.
— Excitation psychique et délire de transformation fantastique.
An. Méd.-Ps, XV, 1941, t. II, p. 122r129.
Une malade,' d'allure hypomaniaque depuis 20 ans, vient à
s'imaginer qu'elle est transformée en chaque objet qui retient son
attention : vache, oie, canard, arbre. Elle a des impressions kines-
thésiques qui répondent aux mouvements ou à l'immobilité de l'objet.
Si elle entend de la musique, elle s'imagine dansant, mais comme elle
se sent également immobile elle ébauche une sorte de

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