Rôle du Temps et Tachistoscopie. Persistance et fusion. Images consécutives. Impressions de succession et de mouvement. Motriciié oculaire - compte-rendu ; n°1 ; vol.30, pg 644-656
14 pages
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Rôle du Temps et Tachistoscopie. Persistance et fusion. Images consécutives. Impressions de succession et de mouvement. Motriciié oculaire - compte-rendu ; n°1 ; vol.30, pg 644-656

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Description

L'année psychologique - Année 1929 - Volume 30 - Numéro 1 - Pages 644-656
13 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

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Publié le 01 janvier 1929
Nombre de lectures 15
Langue Français
Poids de l'ouvrage 1 Mo

Extrait

d) Rôle du Temps et Tachistoscopie. Persistance et fusion.
Images consécutives. Impressions de succession et de
mouvement. Motriciié oculaire
In: L'année psychologique. 1929 vol. 30. pp. 644-656.
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d) Rôle du Temps et Tachistoscopie. Persistance et fusion. Images consécutives. Impressions de succession et de mouvement.
Motriciié oculaire. In: L'année psychologique. 1929 vol. 30. pp. 644-656.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/psy_0003-5033_1929_num_30_1_4984BIBLIOGRAPHIQUES ANALYSES
d) Rôle du temps et tachistoseopie. Persistance et fusion. Images
consécutives. Impressions de succession et de mouvement. Motricité
oculaire 1.
856. — W. SCHEGEL. — Die Abhängigkeit des Umfangsder
tachistoseopischen Neuauffassung von der Intensität des Reizes
(Influence de Vintensité de Vexcitant sur Vétendue de la perception au
tachistoscope). — A. f. ges. Ps., LXX, 3-4, 1929, p. 463-520.
Erdmann et Dodge avaient cru trouver que la quantité de signes
disparates perçus au tachiscope atteignait d'emblée son maximum
(de 4 à 6 signes) et ne variait pas sensiblement avec la variation des
temps d'exposition entre 1 /10e et 1 /400e de seconde. Ce résultat étant
en contradiction avec une ancienne recherche de Baxt et avec des re
cherches encore inédites de Wirth, S. a entrepris une vérification dans
l'Institut de Wirth précisément. Il présente aux sujets des points
lumineux de 3 mm. 5 de diamètre en nombre variable de 1 à 4, appa
raissant par transparence sur un écran longitudinal formé de six
carrés de 7 millimètres de côté, disposés en file, un seul point appa
raissant dans un carré, mais certains carrés pouvant rester vides.
Pour chaque nombre de points toutes les combinaisons possibles de
cases ont été systématiquement utilisées. Le temps d'exposition a été
toujours de 112 tf, mais l'intensité lumineuse variait par déplacement
de la source lumineuse de 1 98 centimètres à 53 centimètres.
Les seuils montrent une élévation de l'intensité nécessaire pour la
perception exacte du nombre et de la position des points avec augment
ation du nombre de points, les valeurs des seuils étant, par exemple,
pour un sujet (en unités d'éclairement) : 114,7 ; 140^1 ; 142,5 et 144,6 1, 2, 3 et 4 points respectivement (sans utiliser les deux cases
extrêmes de l'écran) ; lorsque les six cases ont été utilisées, les chiffres
ont été : 190,6 et 193,7 pour 3 et 4 points respectivement.
L'emploi des cases extrêmes défavorise par conséquent la per
ception, mais l'élévation des seuils constatée chez les 3 sujets en
fonction du nombre de points exposés ne saurait être ramenée entièr
ement, ainsi que S. le montre par un calcul spécial, à une influence
exclusive de la position des points. D'ailleurs, l'indication correcte
du nombre de points va pratiquement de pair avec la localisation
exacte. Cependant certaines combinaisons sont plus ou moins bien
perçues que d'autres ayant le même nombre de points ; mais ce facteur
semble fortement variable suivant les sujets. D. W.
857. — C. EDMUND. — On the duration of the luminous impres
sion (»Sur la durée de V 'impression lumineuse). — Acta Ophtalmo-
logica, VI, 4,1929, p. 414-424.
Tscherning attribue aux bâtonnets la perception de la composante
violette de la théorie Young-Helmholtz. Observant un œil avec un
de ses verres photométriques et réalisant une diplopie au moyen d'un
prisme, il constate que le mouvement d'un objet est perçu en retard
1. Voir aussi les n<* 8, 94, 118, 137, 159-161, 345, 405, 730, 732, 799, 800,
852,1065,1173. vision, motricité: oculaire
du côté observé, ce qu'il attribue à la lenteur de la perception du
violet.
En raison du phénomène de Pulfrich, mettant en évidence le
retard de perception par moindre luminosité (retard que bien
d'autres travaux ont établi mais que ne connaît pas l'auteur), il a
pu paraître que le phénomène constaté par Tscherning n'était pas dû
au caractère violet de la perception de l'œil observé mais à la dimi
nution de luminosité.
C'est ce que l'auteur, élève de Tscherning à Copenhague, a vérifié
en procédant à des observations d'un objet mobile avec diplopie
prismatique en utilisant des verres assombrissants rouges.
Les allongements d'impressions seraient de 3 centièmes de seconde
par unité photométrique (équivalant à une unité logarithmique),
mais ce chiffre est basé sur 3 échelons observés seulement. H. P.
858. — R. J. LYTHGOE et K. TANSLEY. — The Relation of the
Critical Frequency of Flicker to the Adaptation of the Eye {Relation
entre la fréquence critique du papillotement et Vadaptation dej'œil). —
Pr. of R. S., B, CV, 734, juin 1929, p. 60-92.
Les auteurs ont étudié avec une grande précision l'influence, sur la
fréquence critique w, des deux plus importants facteurs physiolo
giques : la région rétinienne excitée et le degré d'adaptation.
Leurs courbes montrent qu'en vision fovéale l'adaptation à l'obscur
ité fait toujours décroître w (surtout durant les 10 premières mi
nutes). Au contraire, en vision périphérique, avec de faibles intens
ités du stimulus intermittent, w croît constamment. Cependant, opé
rant avec un stimulus rouge de .faible intensité, les auteurs n'obtinrent
aucune courbe croissante quelle que fût la région excitée. La chute de
to résulterait donc de l'adaptation des cônes ; la montée, de l'adapta
tion des bâtonnets.
En vision périphérique, avec des intensités moyennes, les courbes
présentent, au début de l'adaptation, une chute d'environ 10 mi
nutes, suivie (si l'intensité n'est pas trop élevée) de la montée attr
ibuée aux bâtonnets, montée plus hâtive et plus, rapide à mesure
qu'on s'éloigne de la fovea. La chute initiale est d'autant plus ample
que le stimulus était plus intense et la région plus proche de la fovea.
Elle n'est donc pas imputable aux bâtonnets, mais aux cônes péri
phériques, dont la réponse domine d'abord car ils peuvent apprécier
une plus grande fréquence.
Dans une seconde série d'expériences, les auteurs (qui donnent aussi
quelques courbes de u> en fonction de l'adaptation à la lumière)
étudient l'influence du champ environnant. Les résultats confirment
les précédents, en accord avec l'hypothèse que la diminution de
brillance environnante a le même effet que l'adaptation à l'obscurité.
Le maximum de co a lieu, pour les cônes, quand les intensités envi
ronnante et centrale sont égales, pour les bâtonnets, quand l'obscur
ité est complète autour du stimulus.
Certains résultats conduisent les auteurs à supposer un fonctionne
ment des cônes périphériques plus accusé que celui des cônes fovéaux.
Mais leurs courbes de fréquence critique ont surtout mis en évidence
la différence de fonctionnement des cônes et des bâtonnets, que les ANALYSES B1BL10GHAPHJQÜES 646
auteurs rapprochent des résultats comparables déjà obtenus pour la
sensibilité différentielle, l'acuité et la sensibilité.
Discutant la loi linéaire de Ferry-Porter (w en fonction du log de
l'intensité), les auteurs constatent que leurs propres courbes sont
continues et qu'il importe peu d'appliquer la loi à une certaine portion
seulement (Cf. H. Piéron, An. Ps., 1927, p. 110, note 2). La relation de
Ferry-Porter ne se vérifie que dans le cas où la région excitée est à
10° de la fovea, si la brillance environnante est égale à celle du st
imulus intermittent.
L'un des sujets était héméralope. Ses courbes sont identiques
pour tous les angles. Celles des expériences précédentes appuyaient
les conclusions des auteurs. G. D.
859. — F. BROER. — Das Purkinjesche Phänomen im Nachbild.
(Le phénomène de Purkinje dans Vintage consécutive). — Z. f. Ps.,
CXIII,l-3,1929,p. 9-90.
Ce travail contient d'abord un historique détaillé du phénomène de
Purkinje* et des interprétations auxquelles il a donné lieu, puis des
expériences personnelles sur ce phénomène dans l'image consécutive.
Les images sont observées d'a

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