Voilà un récit intéressant, plein d’humanité, avec des messages importants. Avec un ton percutant, l’auteur dénude la société et la met face à ses maux et imperfections et l’invite à repenser ses fondements. La Femme, trame de fond du récit, y est défendue dans tous les angles. Le narrateur s’y érige en avocat du sexe faible à tel point que l’on serait tenté de le qualifier de féministe. Le viol, l’excision, le mariage forcé, la marginalisation de la femme, la mendicité, le bien fondé des coutumes et traditions sont, entre autres, les thèmes sociaux qui se glissent tout au long du texte. Mélodramatique dans le fond, la mort le jonche de bout à bout et l’amour y occupe une place de premier ordre. En plus de la dose de réalisme flagrant, des évènements réels viennent rendre l’intrigue plus captivante et le style descriptif plus vivant, plus visuel. C’est une histoire qui peint le côté cruel et imprévisible de la vie, c’est une histoire qui met en garde le lecteur et le convie à adopter une attitude de résistance devant les coups du destin. C’est l’histoire d’une jeune fille qui en a vu de toutes les couleurs !
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A papa, mon bailleur de fonds ; et maman, mon héroïne !
A une Aïssatou !
Ce texte est dédié à toutes les femmes, celles qui souffrent en silence de même que celles qui osent dire NON puis dénoncer !
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Mes chaleureux remerciements à :
M. Mballo, professeur d’Histoire et de Géographe aude Mbacké, lycée pour ses conseils, ses suggestions et la disponibilité de son œil correcteur ;
Une tierce personne dont je tarai bien le nom, elle se reconnaîtra, pour nos échanges intéressants dont la plupart des idées abordées trouvent place dans ce texte ;
Sokhna Astou Seydina Yakhine Diop (sacré nom), une âme qui m’esttrès chère, pour sa contribution à travers des idées et des propositions.
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«Romancer, c’est arriver à décrire la réalité avec d’autres mots en tronquant quelques séquences mais en restituant une vérité telle qu’elle existe. C’est-à-dire, c’est habiller la réalité avec d’autres habits »
ELGAS, auteur deUn Dieu et des mœurs, Présence Africaine, 2017