À travers mes yeux
64 pages
Français

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Description

Cette histoire est celle d’un garçon à qui la vie n'a pas fait de cadeaux. Sa descente aux enfers fut telle, que quand il se releva, sa souffrance s’était transformée en volonté d'apprendre. Il y a des histoires plus sordides que celle-ci. Mais, la différence majeure se situe dans sa vision des choses. Son esprit a évolué jusqu'à ce qu'il développe de nouvelles hypothèses encore méconnues des gens.


Ce livre est le résultat de l'observation philosophique d'un esprit complexe. Pour mieux comprendre la vie, contrôler instinctivement nôtre destin, il faut revenir à notre évolution logique et voir plus loin que le matérialisme de la société dans laquelle nous sommes robotisés. Le bonheur n'est pas uniquement matériel. Les vraies valeurs sont oubliées. Ont-elles déjà existé dans notre monde moderne ?


Avez-vous déjà pris conscience que nos actions avaient des conséquences ? Que notre destin s'altère en fonction de nos actes et qu'à l'heure actuelle nous ne faisons qu'effleurer le potentiel humain ?


N'oubliez jamais que pour contempler les étoiles, il faut s'éloigner des lumières de la ville...

Sujets

Informations

Publié par
Nombre de lectures 60
EAN13 9782376920182
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0030€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

L’esprit des aigles Chaussée de Forest, 22 1060 Saint Gilles Bruxelles http://espritdesaigles.e-monsite.com ISBN (version papier) :978-2-87485-028-8 ISBN (versions numériques) : 978-2-37692-018-2 Versions eBooks réalisées parIS Editionvia son labelLibres d’écrire. Tous droits de traduction et d’adaptation réservés. Le Code de la propriété intellectuelle interdit les copies ou reproductions destinées à une utilisation collective. Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite par quelque procédé que ce soit, sans le consentement de l’auteur, de ses ayants-droits, ou de l’éditeur, est illicite et constitue une contref açon, aux termes de l’article L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.
Préface
Dans son premier ouvrage, Julien Batter nous fait p art de son adoption, au départ du Sri Lanka, à l’âge de six mois. Il nous y parle aussi de sa ‘différence’, vue par une société peu accoutumée à ce genre de ch oses, à l’époque. Viendra ensuite son adolescence bafouée par ses compagnons de classe, suivie de sa descente aux enfers, résultat d’un manque de communication avec les personnes qui l’entouraient. Pour terminer, il nous présentera ses recherches, e n tant ‘qu’amateur’, sur les actions bénéfiques du Ying et du Yang, de la Physiq ue Quantique, des Lois Universelles et de bien d’autres choses encore… Ave c à l’appui, les références des plus grands pour certifier ses dires. Sans oubl ier bien sûr : ‘Le pouvoir de l’amour’. En prenant la peine de lire ce livre, nous salueron s un travail de plusieurs années où l’auteur se met à nu, sans jamais occulter ses travers. Bernadette Herman
Quelques mots de l’auteur
Bonjour, je m'appelle Julien Batter. J’ai décidé d'écrire cet ouvrage à l’âge de 25 ans. Ce qui va suivre ne reflète que mon opinion personnelle et risque de choquer certaines personnes. Avant de devenir ce que je suis, je suis passé par certaines épreuves difficiles. J'ai donc décidé de vous livrer tout cela sans rien édulcorer.
Un enfant presque comme les autres
J'avais 6 mois quand ma mère adoptive est venue me chercher au Sri Lanka, communément appelé l'île de Ceylan, mon pays natal. Après un long voyage, je me suis retrouvé dans les Ardennes belges. Ma famille étant modeste, mon intégration sociale fut difficile. Et pour cause... Dans les années 90, le racisme était très présent v u le peu de cas semblables au mien et les mœurs de l'époque. Cette situation était similaire à un handicap. J’ai fait mes études primaires dans un petit village ardennais. Les enfants de ma classe étaient assez gentils mais aussi parfois cruels. En fait, leur comportement reflétait simplement l'opinion de leurs parents. J'avais juste un ami. C'était le seul qui m'acceptait malgré ma différence. Quant aux autres, disons que nous n'avions pas les mêmes centres d'intérêt. Malgré cela, j'étais heureux. Mes parents me préservaient de tout. A la moindre embûche, mon père venait à l'école sermonner les in stitutrices. Cela me gênait. Et, en même temps, me procurait une certaine fierté . Je dois dire que, malgré quelques petites disputes, il gérait plus ou moins bien mon vécu à l'extérieur du cocon familial. Ma mère était très protectrice et f aisait mes moindres caprices. J'étais beaucoup trop choyé. J'avais le caractère t ype de l’enfant Roi. J’étais jaloux, égoïste, turbulent et parfois insortable. Heureusement, j’avais un bon fond. Enfant unique, j'avais une imagination plus que déb ordante. Mes parents trouvaient ça normal. Ils entraient dans mon jeu. Cela créa quelques soucis quant à mon développement d’adolescent. J'avais tendance à inventer des histoires, et qui plus est, à y croire. Ils se mêlaient très peu aux gens. On sortait rarement dans le village sauf pour aller au spectacle de l'école. Tout était centralisé sur ma petite personne. Comme ils faisaient tout à ma plac e, je n'étais pas débrouillard pour un sou. Ce qui me posera pas mal de problèmes à l'avenir. Je passais le plus clair de mon temps à la maison, chez mes grand s-parents, avec mon meilleur ami, ma cousine ou le filleul de ma mère décédé à ce jour. A l’époque, ça m'a profondément choqué. Je croyais qu'il n'y avait que les personnes âgées qui mouraient. Comme il n'y avait pas encore Internet, n'ayant pas été surexposé à la médiatisation, mon enfance fut à mon sens plus sain e. Mes parents m'emmenaient partout avec eux. Ils n'avaient pas de grands moyens. Pourtant, dès qu'ils en avaient l'occasion, ils tentaient de me faire plaisir. Anniversaire, Saint-Nicolas, Noël, Pâques, promenade, parc d'attraction… Plus tard, ils ont accueilli un couple de jumeaux â gés de seize mois, dont la mère était toxicomane. Au début, à mes yeux, c’étai ent des intrus. Le temps passant, je les ai acceptés comme mes frères. Par l a suite, ils ont accueilli une petite fille. Elle a vécu quelques années avec nous avant que sa maman en reprenne la garde. Nous savions dès le départ que c 'était provisoire. Pour mes frères c’était différent. Sachant qu’elle n’était p lus capable de les élever, leur maman savait qu'ils ne reviendraient jamais auprès d'elle. Séropositive, la maladie l'a emportée. Depuis, les jumeaux sont deve nus mes égaux. Une
complicité magnifique s'est installée entre nous. B ien que n’étant pas du même sang, je les aimais. Jusqu'à ma sixième primaire, et malgré quelques bla gues infantiles, dans ma conception le racisme et le rejet étaient quasi inexistants. Au début de mes études supérieures, je m’intéressais plus à mon intégratio n sociale qu'à mes leçons. Entouré de nouveaux pseudo-amis et de parents trop gentils et trop laxistes, j’obtins des points médiocres. Je passais mon temps à faire l'intéressant pour épater la galerie. Dissipé, inattentif, turbulent, j'ennuyais les gens. De plus, les cours ne m'intéressaient pas. Ce qui devait arriver arriva. L'année suivante, je n'eus d'autre choix que les études professionnelles . Relativement intelligent par rapport à un niveau d'étude très bas, je ne m'intér essais à rien. Je passais mes années sans étudier ou vraiment parce qu'il le fall ait. Surnommé ‘l'intello’, tout allait bien. Je me faisais de vrais amis. Pour la première fois, je constatais que les gens, qu’on appelait ‘la raclure des étudiants’, ét aient en fait plus loyaux que certains individus soi-disant plus élevés dans la classe sociale. Je ferai d'ailleurs cette constatation régulièrement. Le mal n'est pas toujours là où on le croit. Je peux recevoir la même information de cent personnes différentes, je me ferai toujours ma propre opinion. C'est justement dans ce type de cas que j'ai rencontré des personnes intéressantes. Grâce à cela , jamais je ne juge, ne suis condescendant ni n'oublie les personnes rencontrées . Peu importe les apparences, les conditions extérieures ou leur classement social, il y a de belles personnalités partout. A ma troisième option d’électricité, ma descente au x enfers commença. Adolescent chétif ayant peu de culture générale, j' étais gentil, naïf, craintif et vivais dans ma bulle. Un monde utopique ou le mal n 'existait pas. Pourtant, sans le savoir, j'allais y être confronté dans un avenir proche. Pas de chance pour moi, la classe dans laquelle j’avais atterri était peuplée de garçons plus âgés, dotés de caractères forts. Dorénavant, je savais que je devrais me passer de l’aide de mes parents. Heureusement, un des élèves de la classe m 'a aidé. Seul contre tous, il m’a protégé des coups. Les insultes et les brimades de ces personnes s'en prenant à moi, parce que j'étais faible et faisais partie d'une minorité, me touchaient profondément. En quelques jours, j’étais passé du statut d'étudiant à celui de bouc-émissaire. Cette année-là, j'allais en cours et quand le temps de midi arrivait, je me retrouvais avec mon ami. Une fois l'école terminée, je rentrais chez moi un peu abattu par les propos blessants de mes compagnons d e classe. Mes parents ignoraient tout ça. Je m'enfermais petit à petit da ns mon monde tout en leur laissant croire que j'étais heureux. L'école était un fardeau. Supporter les commentaires devenait difficile. Le pire, c'était mon incompréhension face à cette situation. La question était : « Je suis gentil avec eux, pourquoi s'en prennent-ils à moi ? » L'année terminée, je ressentis un certain malaise. Les grandes vacances me permirent de me ressourcer auprès de ma famille et de mes amis. Deux mois de plaisir sans insulte, sans être rabaissé constamment, quel bonheur ! C’étaient les premières vacances que j'appréciais autant. Ca m'av ait permis d'occulter tous mes soucis. Mais toutes les bonnes choses ont une f in. La rentrée approchait à
grands pas. Après ce qui s’était passé l'année scolaire précédente, j'angoissais. La peur me donnait envie de vomir. Pourtant, j’étai s loin d'imaginer que mon calvaire ne faisait que commencer. FIN DE L’EXTRAIT
Copyrights Préface
Table des matières
de la version complète
Quelques mots de l’auteur
Un enfant presque comme les autres
La transformation
Retour à l'envoyeur !
Sur la voie de la guérison :
Le pouvoir de l'amour
Un nouveau pouvoir
Un début à tout
La fin du début
Et l'histoire continue
Un étrange pressentiment
Que chaque chose reprenne sa place
Le jour où mon âme s'éveilla
Une autre réalité
Le fantôme de l'apéro
Mes références L'univers L'univers intérieur
Quelques éléments à savoir
Accès à une nouvelle connaissance
A l’aube d’un jour nouveau
Le grand final
Copyrights Préface
Table des matières de l’extrait
Quelques mots de l’auteur
Un enfant presque comme les autres
Table des matières de la version complète
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