Diamanta : un monde nouveau
100 pages
Français

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Diamanta : un monde nouveau , livre ebook

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Description

Si les vacances sont toujours l’occasion de moments de joie, Sophie et sa sœur Stella ne s’attendaient certainement à se voir propulsées reines sur Diamanta. Une nouvelle que toutes deux accueillent avec surprise, mais déjà enthousiastes à l’idée d’assumer leur nouvelle condition, de prendre les rênes du pouvoir et de découvrir un lieu habité par la magie et l’enchantement. Tout serait même pur conte de fées s’il n’existait pas une loi pour le moins désagréable sur Diamanta: l’interdiction faite aux personnes régnant de vivre leur amour, de se marier ou de fonder une famille. Et ça, foi de Sophie, adolescente qui s’est immédiatement éprise du beau Billy rencontré le jour de son arrivée, cela ne se passera pas comme ça! Il est bien connu que, lorsque l’on aime, on est déjà prêt à faire la guerre. Une vérité que Sophie, instituée reine condamnée au célibat, va apprendre quand elle va remettre en question les règles absurdes qui ont cours sur Diamanta! Un sujet autour duquel Laurine Milan compose un récit fabuleux, où l’on croise fées et licornes, où les idéaux de la jeunesse éclatent dans toutes leurs forces, où surtout l’on apprend que l’amour appelle de grands sacrifices pour simplement être.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 26 janvier 2012
Nombre de lectures 34
EAN13 9782748375787
Langue Français
Poids de l'ouvrage 1 Mo

Informations légales : prix de location à la page 0,0038€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Diamanta : un monde nouveau
Laurine Milan Diamanta : un monde nouveau
Publibook
Retrouvez notre catalogue sur le site des Éditions Publibook : http://www.publibook.com Ce texte publié par les Éditions Publibook est protégé par les lois et traités internationaux relatifs aux droits d’auteur. Son impression sur papier est strictement réservée à l’acquéreur et limitée à son usage personnel. Toute autre reproduction ou copie, par quelque procédé que ce soit, constituerait une contrefaçon et serait passible des sanctions prévues par les textes susvisés et notamment le Code français de la propriété intellectuelle et les conventions internationales en vigueur sur la protection des droits d’auteur. Éditions Publibook 14, rue des Volontaires 75015 PARIS – France Tél. : +33 (0)1 53 69 65 55 IDDN.FR.010.0116633.000.R.P.2011.030.31500 Cet ouvrage a fait l’objet d’une première publication aux Éditions Publibook en 2012
Chapitre 1. Les vacances de Noël C’était enfin terminé ! Les contrôles étaient tous passés, alors à nous les congés de Noël et la nouvelle année ! Je sais, j’étais très enthousiaste… mais il fallait me compren-dre, cela faisait plus de deux semaines que les profs nous submergeaient de rédactions, exposés en tous genres, contrôles intempestifs, j’en passe et des meilleurs… Ce-pendant ce n’était pas important puisque j’étais désormais en vacances ! D’autant plus que papa, maman, ma petite sœur Stella et moi-même partions deux jours plus tard pour les Alpes Françaises (je précise puisqu’il existe trois Alpes dans le Monde). Même si nous habitions dans une des petites ré-gions du Sud de la France (le Gard rhodanien), nous n’étions jamais allés plus loin que dans le Vaucluse (et une petite journée à Montpellier dans l’Hérault où nous nous étions égarés à l’aller et au retour). C’était alors une grande joie pour moi et ma sœur de pouvoir aller respirer l’air pur et frais des montagnes. Ces quelques pensées me traversaient l’esprit alors que je regardais le paysage urbain à travers la vitre du bus sco-laire qui me ramenait à la maison. Pendant que tous les autres se jetaient des boules de papier dans la tête tout en discutant de ce qu’ils allaient faire pendant les vacances. Le genre d’occupations que peuvent avoir les élèves dans tout bus scolaire qui se respecte… Ma maison n’était pas aussi luxueuse que certaines au-tres du quartier, néanmoins elle me convenait parfaitement ! Même si de mauvaises langues disaient que ma maison avait des allures de vide-ordures, moi je
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l’aimais et c’était certainement le plus important. Son cré-pi était d’un beige clair (tant à l’extérieur qu’à l’intérieur), il y avait des volets en bois de chênes, une porte rectangu-laire en un bois très clair qui servait également de boîte aux lettres, la précédente qui se trouvait au bout du chemin avait été arrachée par un camion. Vu de l’extérieur, je trouvais déjà mon « petit paradis » magnifique, mais à l’intérieur il l’était encore davantage : un joli petit escalier en bois me permettait de rejoindre ma chambre (idem pour mes parents et ma sœur), au centre de notre maison se trouvait un salon couleur crème très cha-leureux avec une belle cheminée. Juste derrière la porte, au fond de la pièce, se trouvait la cuisine qui sentait bon les épices, les herbes et aromates. Dès mon retour, je montai immédiatement faire mes devoirs pour ne pas me faire de soucis pendant nos vacan-ces tant attendues (j’étais une bonne élève et lorsque je ne faisais pas mes devoirs et que je devais faire autre chose à la place je me sentais mal). Les profs exagéraient quand même : nous étions en vacances, notion qui leur échappait apparemment, puisqu’une page entière de mon agenda était recouverte de devoirs à rendre le jour de la rentrée. Les jours qui suivaient n’annonçaient pas vraiment le ré-pit : un tas d’exercices nous attendaient. Franchement, ils ne pouvaient pas trouver autre chose pour nous embêter ? Être absents pendant une semaine ou deux par exemple ? Ou encore se casser une jambe et ne plus venir pendant un mois ? Bref… une fois que toute la montagne de travail fut terminée, je préparai ma valise : dedans j’y mis des livres (j’adorais la lecture, c’était mon passe-temps favori). Un très bel ensemble veste/survêtement rose avec un tee-shirt blanc sur lequel était représentée une héroïne de roman blonde, avec une mèche blanche qui rehaussait sa magni-fique chevelure. Cette héroïne connue de tous les lecteurs était Tara Duncan (j’aurais aimé faire dédicacer mon joli haut par la grande Sophie Audoin-Mamikonian mais je devais aller voir ma grand-mère pour ses soixante-dix ans,
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