Let me cry
180 pages
Français

Vous pourrez modifier la taille du texte de cet ouvrage

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Description

Son prénom : Hunter


Son job : Exécuteur ( enfin... pas vraiment)


Son rôle : indéfini pour le moment.


Le contrat qu’il doit remplir : Amener Abbygaëlle à l’apprécier, à l’aimer, afin qu’il fasse d’elle son esclave...


Son but : Obliger ses bourreaux à sortir de leurs trous et enfin pouvoir se venger de leurs actes de torture et seul Abby peut l’y aider.



Ce qu’il déteste : La voir pleurer....

Sujets

Informations

Publié par
Nombre de lectures 222
EAN13 9782819102762
Langue Français

Extrait

LET ME CRY
Du même auteur aux Editions Sharon Kena Au cœur de la volupté Les cow-boys lovers La malédiction tsigane tome 1 à 5 JAWD Sous le masque des apparences Défis entre amies l’intégrale Un rôle sur mesure Les Warriors tome 1 à 6 Lever de rideau Flics de mon cœur l’intégrale Une doublure imparfaite Représentation théâtrale Saison féérique tome 1 à 2 Blackburn l’intégrale Let me die
Pierrette Lavallée LET ME CRY
« Le Code de la propriété intellectuelle et artisti que n’autorisant, aux termes des alinéas 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, qu e les « copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective » et, d’autre part, que les analyses et les courtes citations dans un but d’exemple et d’illustration, « toute représentation ou reproduction intégrale, ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ay ants droit ou ayants cause, est illicite » (alinéa 1er de l’article L. 122-4). « Ce tte représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles 425 et suivants du Code pénal. » © 2018 Les Editions Sharon Kena www.leseditionssharonkena.com
Tout d’abord, à Cyrielle, mon éditrice. Un grand me rci aussi aux membres des Éditions Sharon Kena qui œuvrent dans l’ombre, mais sans qui vous n’auriez pas ce livre entre les mains : les membres du comité de le cture, les correctrices qui font un travail formidable, sans oublier Feather Wenlock, n otre talentueuse illustratrice. Merci également à ma famille pour leur soutien inco nditionnel, leur patience, leur amour. Merci à mes adorables Bêtas lectrices : Nath, Tiya, Bibi et Leelane. Je n’oublie pas mes amis qui dans l’ombre me soutie nnent toujours : mes sœurs de cœur tout d’abord : Nathalie R et ma chère Julia T, sans oublier mes « fans » de la première heure : Vanessa L.G, Ana Pinoy, Rinka, Christelle K, Sylvie B… Mes partenaires : Les livres en folies, Kat’c’est m oi, Je lis, tu lis, nous lisons ou le coin des lectures partagées, et les RebellesWebzine . Merci également aux blogueurs de plus en plus nombr eux à suivre mon actualité littéraire, à parler de mes sorties, pour vos chron iques… Mais surtout, un énorme merci à vous, lecteurs, qui tenez mon bébé entre vos mains, c’est grâce à vous, à votre enthousiasme que j’en suis là aujourd’hui !
PROLOGUE CHAPITRE 1 CHAPITRE 2 CHAPITRE 3 CHAPITRE 4 CHAPITRE 5 CHAPITRE 6 CHAPITRE 7 CHAPITRE 8 CHAPITRE 9 CHAPITRE 10 CHAPITRE 11 CHAPITRE 12 CHAPITRE 13 CHAPITRE 14 CHAPITRE 15 CHAPITRE 16 CHAPITRE 17 CHAPITRE 18 CHAPITRE 19 CHAPITRE 20 CHAPITRE 21 CHAPITRE 22 CHAPITRE 23 CHAPITRE 24 CHAPITRE 25 CHAPITRE 26 CHAPITRE 27 CHAPITRE 28 CHAPITRE 29 CHAPITRE 30 EPILOGUE
Table des matieres
PROLOGUE
J’ai toujours entendu mon géniteur me parler des ex écuteurs… Je crois même qu’il a dû rêver, un moment, intégrer leur bande. M ais le problème, c’est que, si t’es un looser mesurant à peine un mètre soixante-c inq et que t’as un gros tonneau de vin à la place du bide, ben t’as pas vra iment la gueule de l’emploi. Mais pour lui, c’était une obsession… À la mort de mes grands-parents, mon vieux a hérité d’une fortune si importante qu’il pouvait subsister de ses rentes et dépenser son fric comme il en avait envie. Principalement en mettant des contrats sur la tête de ceux qui l’emmerdaient et lorsque ça arrivait, il contactait ses « amis », et il éclusait des litres et des litres de rouge en vivant par procuration l’existence de ses héros. Les exécuteurs, un groupe secret qui s’occupe des b asses besognes… rien ne les arrête : cambriolage, viol, meurtre, torture, ils sont sur tous les fronts, et j’ai été baigné par leurs aventures depuis que mon cher papa m’a surpris, un jour, donnant un coup de pied dans les côtes du chat des voisins, mais cette teigne l’avait bien mérité. Mon paternel m’avait regardé d ’un air spéculateur, puis il m’avait saisi par les épaules – unique geste de ten dresse en cinq ans – et dans un rictus diabolique, m’avait dit «On fera de toi un exécuteur, mon fils, je vais t’apprendre tout ce que tu as besoin de savoir sur eux, comment ils agissent, comment ils s’incrustent dans la vie de leurs victimes et dans quelques années, tu seras assez malin pour te présenter devant leur chef et lui demander de te prendre sous son aile. Tu seras l’un d’eux et je serai fier de toi.» Au fil des ans, j’ai dû composer avec mes deux pers onnalités. La première, celle du fiston friqué, amical, entouré de potes, c ollectionnant les conquêtes, ayant parfois envie d’une vie normale et se casant avec l’une d’elles pour quelques mois… Puis la seconde, celle d’un futur tu eur à gages… sans âme, froid, calculateur, se servant des autres pour atteindre son objectif. Et j’y suis arrivé, je suis parvenu à découvrir l’u n d’eux, à le surveiller, à observer sa façon de travailler, à le pister dans l’ombre, puis à le convaincre, en usant de perfidie et de chantage, de m’emmener renc ontrer son boss… Mais je me suis planté en beauté, au lieu d’être ac cueilli à bras ouvert, au lieu d’être félicité pour mon esprit d’initiative, j’ai été battu, torturé, laissé pour mort… À présent, six ans plus tard, je suis de retour et je n’ai qu’un mot en tête : VENGEANCE !
CHAPITRE 1 HUNTER
Comme chaque jour après mon boulot, j’entre au Blue river, je jette un coup d’œil vers le comptoir, passe ma commande, la récup ère et pose mon cul dans un box au fond de la salle. Le café ne paye pas de mine, les sièges sont usés, la musique qui se déverse des haut-parleurs, complètement démodée, mais l’end roit a l’avantage d’être situé près de la seule université de la région et m ater les étudiants qui défilent comme s’ils valaient mieux qu’un simple mécano est à la fois affligeant et très instructif. La plupart du temps, je reste affalé sur la banquette, ma bière posée devant moi, que je sirote à petites gorgées, regardant par la vitre, ou alors, je m’installe au flipper et je fais quelques parties. Personne ne vient me parler et j’en fais de même, je n’en ai pas l’utilité, je n’ai aucune envi e de me sociabiliser, au contraire... Mais j’ai une raison précise pour venir ici tous le s soirs à la même heure, c’est parce qu’ELLE sera là. Elle, c’est Abbygaëlle, Abby pour les intimes, et ils sont peu nombreux. Ça fait plusieurs mois que je l’obser ve et je ressens diverses émotions à son égard, de la colère, du ressentiment, mais aussi du désir… La première fois que je l’ai vue, je l’ai trouvée t oute en contradiction, elle semblait douce, pourtant n’a pas hésité à remettre à sa place un gars qui touchait l’arrière de ses cuisses… Parfois, ses yeux s’attardent sur moi ; je l’intrig ue, mais je sais qu’elle garde une certaine distance avec les inconnus. C’est pour ça que je désire que notre rapprochement soit de son fait : je veux qu’elle se sente en confiance, qu’elle s’attache à moi. Après, je pourrai prendre soin d’elle… à ma façon. Il est presque dix-huit heures et dans quelques min utes, ce sera le début de son service. Elle se pointera, ses cheveux relevés en une queue-de-cheval sur son crâne, un tee-shirt blanc au travers duquel on peut deviner la couleur de ses dessous et un short noir qui arrive un peu plus bas que ses fesses. Juchée sur des hauts talons, elle a un équilibre parfait et je me demande comment ce serait de m’enfoncer en elle debout, alors qu’elle ne port erait que ses chaussures. Parviendra-t-elle à tenir de façon stable sur ses p ieds ou au contraire, aura-t-elle besoin de mon soutien au moment de l’orgasme ? Ça y est ! Du coin de l’œil, je la vois entrer dans le café. Elle sourit déjà et lance un «Bonsoir tout le monde !» à la ronde avant de se diriger vers une pièce située à l’arrière. C’est là qu’elle dépose son sac de cours, qu’elle attache son minuscule tablier autour de sa taille et qu’elle s’empare d’un carnet pour revenir dans la salle. Je m’installe toujours au même endroit, dans son es pace de travail, mais comme je suis déjà servi à chaque fois qu’elle arri ve, nous n’avons jamais eu l’opportunité d’échanger la moindre parole… Enfin p as encore, je compte sur ma chance et sur sa curiosité pour l’amener à engager la conversation avec moi.
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