La Saison de l'amour

Eric Ngango

Description

L’espérance et la spiritualité sont des armes pour lutter contre le désespoir et la mort. Il suffit d’ouvrir les yeux pour embrasser la beauté de la vie et ne plus craindre de plonger dans l’amour, ce bonheur sans cesse renouvelé qui nous nourrit et nous sauve de la solitude. Car Dieu n’a pas créé le monde pour nous soumettre à l’ennui, mais pour que nous glorifiions l’amour. Formidable message d’espoir et de vie, "La Saison de l’amour" est un voyage initiatique. Légère et habitée, la poésie de ce recueil nous guide sur la voie de l’amour comme on part en pèlerinage, dépouillé de ses chaînes, ouvert à la joie et au plaisir. La joie d’aimer l’autre et de le découvrir, le plaisir de le désirer et de le chérir. Au pays de l’amour, la solitude est vaine, car c’est à travers l’autre que l’on se sent vraiment vivant.

Informations

• Publié par: publibook
• Nombre de lectures: 24
• EAN13: 9782748369564
• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 1 Mo

Extrait

La Saison de l’amour

ÉricNgango La Saison de l’amour

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Retrouvez notre catalogue sur le site des Éditions Publibook : http://www.publibook.com Ce texte publié par les Éditions Publibook est protégé par les lois et traités internationaux relatifs aux droits d’auteur. Son impression sur papier est strictement réservée à l’acquéreur et limitée à son usage personnel. Toute autre reproduction ou copie, par quelque procédé que ce soit, constituerait une contrefaçon et serait passible des sanctions prévues par les textes susvisés et notamment le Code français de la propriété intellectuelle et les conventions internationales en vigueur sur la protection des droits d’auteur. Éditions Publibook 14, rue des Volontaires 75015 PARIS – France Tél. : [phone] IDDN.FR.010.0116503.000.R.P.2011.030.31500 Cet ouvrage a fait l’objet d’une première publication aux Éditions Publibook en 2011

À ma mère, Madame Ndibin Madeleine, Pour l’amour que le temps Ne lasse pas, Pour la tendresse que les vents Ne courbent pas.

Remerciements J’aimerais avant toute chose m’acquitter d’une dette in- tellectuelle à l’égard de plusieurs personnes. Je la dois en premier lieu à mes enseignantes de l’école maternelle et primaire du groupe six (Nkongsamba au Cameroun), puis à messieurs Jacques Mathurin Ze Mak- son, Nzoki Epoh, Clément Fonkou, qui m’ont appris à déclamer un poème. En deuxième lieu à mes enseignants de langue française du secondaire, Dieudonné Tombi et Éric Mekinda, pour les astuces sur la versification et les figures de style. En troisième lieu, à mes ami(e)s poètes, Paul Serge Ntamack Epoh, Caroline Kamdoum, Roméo San- gouana, Jean Éric Chanou, Emanuel Koumti Edimo, Jules Fonkou, dont la critique que j’espère qu’ils feront de cette œuvre la fera grandir.

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