Chronique édilique
116 pages
Français

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Chronique édilique , livre ebook

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Description

En sa qualité d'ancien maire, l'auteur rend hommage à la ville de Saint-Flour au travers d'un rappel de faits historiques et d'une analyse sociologique et économique prospective. Cet ouvrage fait coïncider l'expérience d'une ouverture politique avec la tentative d'épanouissement de l'intérieur et vers l'extérieur d'une cité jusqu'alors autarcique.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 01 février 2012
Nombre de lectures 64
EAN13 9782296483545
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0500€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

CHRONIQUE ÉDILIQUE
La nouvelle édition comporte un addendum avec un résumé des critiques reçues à la première publication et une situation comparée en 2010 actualisant la problématique de l’autoroute gratuite A75.

En couverture : Saint-Flour, Barbara Robinson, huile sur toile, 1990, musée de Saint-Flour.

© L’Harmattan, 2012
5-7, rue de l’École-polytechnique ; 75005 Paris
http://www.librairieharmattan.com
diffusion.harmattan@wanadoo.fr
harmattan1@wanadoo.fr
ISBN : 978-2-296-55985-1
EAN : 9782296559851
François Delpeuch
CHRONIQUE ÉDILIQUE
Relation de la vie publique à Saint-Flour 1989-2012
L’Harmattan
Graveurs de mémoire
Jean Michel CANTACUZENE, Une vie en Roumanie. De la Belle Époque à la République populaire. 1899-1960 , 2011.
Claude DIAZ, Demain tu pars en France. Du ravin béni-safien au gros caillou lyonnais , 2011.
Jacques QUEYREL, Un receveur des Postes durant les trente glorieuses, 2011.
Benoît GRISON, Montagnes… ma passion, Lettres et témoignages rassemblés par son père , 2011.
Henri Louis ORAIN , Avec Christiane, 68 ans de bonheur , 2011.
Pascale TOURÉ-LEROUX, Drôle de jeunesse , 2011.
Emile HERLIC, « Vent printanier », nom de code pour la rafle du Vél’ d’hiv’. Récit , 2011.
Dominique POULACHON, René, maquisard. Sur les sentiers de la Résistance en Saône-et-Loire , 2011.
Shanda TONME, Les chemins de l’immigration : la France ou rien ! (vol. 3 d’une autobiographie en 6 volumes) , 2011.
Claude-Alain CHRISTOPHE, Jazz à Limoges , 2011.
Claude MILON, Pierre Deloger (1890-1985). De la boulange à l’opéra , 2011.
Jean-Philippe GOUDET, Les sentes de l’espoir. Une famille auvergnate durant la Seconde Guerre mondiale , 2011.
Armand BENACERRAF, Trois passeports pour un seul homme, Itinéraire d’un cardiologue , 2011.
Vincent JEANTET, Je suis mort un mardi , 2011.
Pierre PELOU, L’arbre et le paysage. L’itinéraire d’un postier rouergat (1907-1981) , 2011.
François DENIS et Michèle DENIS-DELCEY, Les Araignées Rouges, Un agronome en Ethiopie (1965-1975) , 2011.
Djalil et Marie HAKEM, Le Livre de Djalil , 2011.
Chantal MEYER, La Chrétienne en terre d’Islam , 2011.
Danielle BARCELO-GUEZ, Racines tunisiennes , 2011.
Paul SECHTER, En 1936 j’avais quinze ans , 2011.
« La France est pleine de racines ;
Le progrès s’y incruste mal, n’y trouvant jamais une place nette. »
Jacques Chardonne, Matinales - 1956
Édile (du latin aedilis )
Dans l’antiquité romaine, magistrat préposé à l’administration des édifices, des jeux et de l’approvi-sionnement des villes.
Francisé, ce terme a été successivement appliqué aux baillis, bourgmestres, échevins, capitouls et consuls. Depuis le XVIIIème siècle, il désigne les magistrats municipaux, qu’ils soient Conseillers ou maires (qui, dans ce dernier cas, ont alors le titre de « premier édile »)
Avertissement
Ce récit édité en octobre 1997 en autoédition est épuisé. La présente édition reprend la première édition in extenso avec un ajout au chapitre « sur tous les fronts » et fait l’objet d’un addendum sur l’actualisation par rapport à la situation de 1997 et d’un condensé des différentes critiques reçues.
Ce livre a été retenu par le syndicat de l’Edition - au titre de l’auto édition - pour ses bonnes qualités (terme de rhétorique) pour le salon du livre 1999 où je suis le seul représentant de l’Auvergne (toutes éditions confondues), alors que dix autres régions sont représentées.
Le Président Chirac qui inaugure le salon, en voisin corrézien, me salue, alors qu’il est accompagné de la Star de l’Edition de l’année Viviane Forester, auteur du livre prophétique L’horreur économique .
Résumé des critiques
Fourmillant d’anecdotes, ce livre est un hommage à la ville au travers d’un rappel de faits historiques et d’une analyse sociologique et économique prospective. Cet ouvrage, de 95 pages, est resté longtemps sur le site de l’Institut Mitterrand à la rubrique bibliothèque pour illustrer l’époque.
Le livre a reçu de nombreux échos favorables de la classe politique et notamment du Premier ministre Lionel Jospin : « Votre expérience à la tête de la municipalité de Saint-Flour, alors que la cité médiévale du Cantal connaissait une situation financière des plus délicates, illustre l’engagement dynamique dont peuvent faire preuve de nombreux élus locaux. »
Le maire de la ville jumelle d’Orléans - jumelage à l’initiative de nos prédécesseurs - Jean-Pierre Sueur m’écrivit : « Combien j’ai apprécié ton récit, celui-ci décrit sans fard, sans ostentation mais avec beaucoup de conviction le dur chemin qui fut le tien pour faire changer concrètement les choses sur le terrain, la réforme c’est toujours dur en France. »
Les commentaires de politiques connaissant bien Saint-Flour et du département voisin sont intéressants sur bien des points.
Le Président du Conseil Général qui devint Président de la Région, Monsieur P.J. Bonte, en février 2000 :« C’est avec beaucoup d’intérêt que j’ai suivi le parcours de l’un des plus jeunes maires de France a œuvré avec énergie pour le renouveau de sa ville natale dont le développement économiques était altéré par une situation financière catastrophique. Ton parcours démontre que la fonction de Premier Magistrat d’une commune s’apparente à un véritable apostolat et qu’il est très difficile de remettre en cause le conservatisme et les privilèges de certains. »
Le député d’Issoire en février 2000 :
« Je sais toute la passion avec laquelle tu as dirigé cette commune de Saint-Flour et je sais aussi combien tu en as été l’animateur hors et le gestionnaire avisé, tout en restant proche des administrés dans leur vie quotidienne. »
Les visiteurs de Saint-Flour Roger Fauroux et l’économiste Jean Matouk pour une chronique dans une revue Autoroute et Mobilité en décembre 2001 sur l’autoroute : « Bravo et bon courage ».
Le Médiateur ancien ministre d’ouverture Jacques Pelletier avec l’humour qu’on lui connaissait considère que je décris à merveille avec poésie et réalisme ce qui arrive dans nos bonnes villes.
La lettre de l’excellent journaliste de l’époque JCN : « Je me suis plonge dans la lecture de ce texte d’un trait avec le souvenir d’une époque passionnante »
Il y a aussi quelques réactions locales, celle d’un maire voisin : vous aviez beaucoup de clefs grâce à vos compétences personnelles, mais ils mettront vingt ans pour s’apercevoir qu’ils sont dans l’erreur mais ce sera trop tard pour le pays de Saint-Flour ou alors celle d’un ami psychiatre : en psychologie sociale ces archaïques sont trop individualistes pour jouer la solidarité.
Rencontré à l’Unesco où il dialoguait avec Madame Ockrent, lecteur de la chronique édilique, le Procureur général Burgelin, m’écrivait en 1998 :
« Sa lecture m’a bien intéressé, car vous avez su, avec beaucoup d’alacrité de plume, évoquer les multiples problèmes que connait une équipe municipale nouvelle, lors de son arrivée à la mairie.
Je crois qu’il faut avoir un enthousiasme et un esprit d’initiative exceptionnels, à notre époque, pour se lancer en une telle aventure. »
« Puisse votre exemple servir de modèle à d’autres bonnes volontés ! »
Les confrères acquéreurs ou destinataires de ma chronique édilique ne sont pas avares de commentaires, le président du conseil national des barreaux en mars 2000 :
« Il est bien que les avocats prennent des responsabilités dans la vie citoyenne, il est encore mieux de savoir en tirer les leçons, comme vous le faites avec humour et pertinence et d’en conserver la mémoire. »
La présidente d’une association de juristes européens m’écrit en décembre 1999 :
« Votre Chronique édilique écrit dans un style charmant et très intéressant quant au fond qui ne me surprend, du reste pas, me heurtant fréquemment dans le cadre de mon activité professionnelle, qui inclut les problèmes de la politique agricole commune, au clan des notables qui, de génération en génération, monopolisent les organisations professionnelles.
Pour l’avenir, je vous souhaite de garder votre dynamisme et vos idées fraîches,

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