Partition complète, Dans le pétrin, Folie-Opérette en un acte, Nargeot, Pierre Julien
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Partition complète, Dans le pétrin, Folie-Opérette en un acte, Nargeot, Pierre Julien

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Description

Retrouvez la partition de Dans le pétrin partition complète, opérettes, composition de Nargeot, Pierre Julien. Cette partition romantique dédiée aux instruments tels que: solistes vocaux, orchestre
Cette partition propose plusieurs mouvements: 1 Act et est classée dans les genres opéras, langue française, Stage travaux, partitions pour voix, opérettes, partitions pour orchestre, pour voix, orchestre, pour voix avec orchestre
Consultez de la même façon tout un choix de musique pour solistes vocaux, orchestre sur YouScribe, dans la catégorie Partitions de musique romantique.
Edition: Paris: Felix Mackar et Gresse, n. d. (ca. 1866). Plate F. M. et G. 1000.
Libbretiste: J. A. Sorant (fl. 1870)
Dédicace: A Madame Boisselot

Sujets

Informations

Publié par
Nombre de lectures 26
Licence : Libre de droits
Langue Français
Poids de l'ouvrage 3 Mo

Extrait

MUSIC L1BRARY
JNC-CHAPEL H!LL
A Madame BOISSELOT.
D3
Folie-Opérette en un acte. f
Paroles de
n
Musique de
J.NAMEOT
AVEC LIVRETPARTITION CHANT ET PIANO
: fPrix net <P
PianoNota.- Airs détachés Chant et .Se vendent séparément: des
netIVfParties d'Orchestres
Valse parSTRAUSS:6f
Panoramas,Paris, FELIX MÀCKAR et Editeurs-Commissionnaires, Passage des&RESSE,
Propriétépour touspays Déposé
* litn r'w<J.'MB. _^Att/\ir-f£ eletc.DES JOURNAUX DE PARIS, etc.,EXTRAITS (1860).
Les par autorisation spéciale,Chonans actes). voitures se glissent,lia Guerre des (5
entre les bosquets fleuris de M. Alphand; le fanal du
Théâtre de Grenoble.
théâtre a des feux plus empourprés le gaz, des clartés
;
J.-A. DE n.A M. plus mettentétincelantes, et les sergents de ville des
gants blancs. La foule envahit le contrôle, on refuse—votre drame.monsieur, la distribution deVoici,
queue et toute ladu monde, il y a de la presse à lajoueraura l'honneur devotre serviteur quiC'est
presse dans la salle : les critiques les plus influents,— au théâtre du Vau-Je suis resté deux ansMarcel. — compris le somnolent Sarcey, — taillent leursycru de monreprésentation ici. J'aideville, et suis en
bonnes plumes de Tolède, les gandins astiquent leursl'ouvrage, de ne confier cedans l'intérêt dedevoir,
lorgnettes. On frappe les trois coups, on commence...
moi-même.rôle qu'a
Tenez, ce qui vient paraître... La pâtissièreartistes pour que votre voilà deJ'ai fait un choix parmi nos
possible. a des écus,— un mari, et, avec cela, des velléités im-interprétée le mieuxœuvre soit
nmodérées du faire « cascader, cascader sa vertu,
Distribution :
terrible Mogolistan, j'auraisPendant l'absence du —
Duriez.MM.Marcel autant aimé Afghanistan ou Bélouchistan, qui est allé
Stainville.Marcor à Cancale recueillir l'héritage d'un oncle, sa moitié,
p Jolly.
- son départ, gardeTalec qui s'est parfaitement consolée de
H. Jolly.Jordic la boutique et se laisse conter fleurette par un jeune
OHivier. fils d'un fabricant de faux-cols et possesseurYyon cocodès,
Léonce. rente; lequel va passer toutesLe Duc de 813 fr. 47 cent, de
Richard. —Marius ses soirées dans ses châteaux, le château d'Asniëres
M"" Léonce.Comtesse Soudain, voilà Mogolistan quiLa et le Château-Rouge.
Léontine.Marie. revient comme jadis le sire de Framboisy ; il rapporte
Charvet.Jeanne avec lui, de Cancale, quelques moules... à biscuits, et,
écaiilère laisséeen fait d'huitree, une qu'il a à lacan-nos critiques j'ai convoqué ces messieursJ'ai vu ;
tonnade, et dont il compte faire une pieuvre à sonrépétition générale.pour la
« petits Messieurs... »usage et à celui de ces C'est
dire, monsieur, que la lecture deJe dois vous
naturel, du reste, cette femme doit avoir l'expérience
grand effet. — Vous savezvotre drame a produit un
cette sorte de mollusque... Bref, surpris par cede
les artistes se trompent, cela est très-rare; jeque si — l'amoureux,retour imprévu, Balandar, c'est — fuit
pouvoir vous assurer d'avance un grandcrois donc
dans le pétrin, pour en ressortir bientôt après tra-
succès.
pâtissier : il fait accroire à Mogolistan qu'ilvesti en
Agréez, etc.,
lui a volé la recette d'un certain gâteau qu'il a
DURIEZ.
signé, et le force ainsi à le garder chez lui. . . Joignez
janvier 1866.15
l'écaillère que l'on ne voit toujoursà cela pas, et
vous aurez le plus joli petit ménage à quatre que l'on
puisse rêver... Alors on chante un trio et... c'estRevenant de Mexico, opérette en un acteEn
fini !..
de M. de IL, musique de M. Nargeot, qui devait
saynète est lestement troussée; le dialogueCette estreprésentée le 30 janvier, et qui avait été inter-être —
vif, les couplets sont gentils et nombreux, mais,
dite par la censure, a été autorisée sous le titre de :
ohl il a un mais! — cela manque un peu trop deyLes Exploits de Sylvestre, et représentée avec succès
dénoùment; pour cette folie, il fallait une fin insen-
avril 1866.le 14
sée, quelque chose de plus incohérent qu'un trio;
BJne Famille eréole, roman sur les Antilles
mais je sais l'auteur homme d'esprit, il nous servira
françaises, 1 vol., par J.-A. de R., doit paraître pro- —le dénoùment à part, à la prochaine occasion.
chainement.
La musique de M. Nargeot n'a pas peu contribué au
Les Nuits de la Tourelle, mystères d'un cer- succès de cette pochade : elle est charmante, vous de-
tain monde, idem. comme tout quevez bien le penser, ce fait l'auteur de
tant et tant de mélodies populaires, deDrinnl Drinnl
c'est ça? etc. 11 n'yde l'Amour, gué' qu qu' a pas de
Société des Auteurs, Compositeurs
prétention dans tous ces petits motifs, et pourtant ils
et Éditeurs de Musique. tous d'une excellente facture. Le duo : « Tristesont
» l'air : «exilé, loin de sa pâtissière, Sont-elles bienA M. J.-A. DE R.
civos huîtres? » le duo : Je serais cent foisfraîches,
J'ai le plaisir de vous annoncer que votre demande
» avec la jolie phrase : « Répète encore, »plus féroce,
d'admission comme membre de la Société des Auteurs,
et le trio final sout des plus finement traités.
Compositeurs et Éditeurs de Musique, a été favorable-
parLa pièce est très-joyeusement enlevée les inter-ment accueillie par notre Syndicat dans sa séance
prètes qui se démènent en vérité avec la même con-
d'hier, etc.
arrivé... M. Maxnère débiteviction que si c'était
L'agent général,
comme un petit volcan les phrases qu'on lui met
L. ROLLOT.
dans la bouche; il a du tact dans tout ce qu'il fait,y
2 juin 1866.
Hippolyleet, de plus, il chante avec goût. M. Vernier
rend bien aussi le personnage du mari malheureux
M'"" Boisselot est unechez lui et heureux ailleurs, etDans le pétrin,
Arthémise échevelée qui ne manque ni de comique ni
Folie-opérette, en un acte, de m. de sorakt (j.-a. de r.), d'originalité, me semble déjà être au diapasonet qui
musique de m. j. nargeot. Première représentation de la maison.
le vendredi 31 août 1866.
F. SAVARD,
(Messager des Théâtres),Folies-Marigny.
2 septembre 1866.
Les Folies-Marigny exercent réellementune influence
attractive sur les masses; on vienty et l'on y revient,
et là, peut-être plus encore intitulée Dans lequ'ailleurs, les soirs de On a joué vendredi une opérette :
« première » ont tout à fait des allures solennité. bluette dont l'action, qui entassezde pétrin: c'est uned'an pâtissierrisible, re passe dans la boutique du se livrait a une chorégraphie qui n'a rien de commun
nom do Mogolistan; sa femme le trompe, il trempe sa avec celle de Cellarias.
et tout le monde est content. Les ai;s defemni", Le Balandar sus-nommé s'introduit dans la bouti-
M. Nargeot sont bien réussis; on reconnaît lay que du pâtissier, et obtient, de la sensible Arthémise
fine de l'auteur de Drinn! drinnl et detouche 1 aveu d'une flamme partagée.
VAmour, que' qu' c'est qu' r.n? La pièce est bien jouée Là-dessus, duo bouffe, avec accompagnement de
epar MM. Maxnère, Vernier et Boisselot, un trioM" baisers, de soupirs et de projets de fugue... quand,
fort amusant. patatras! survient gros, bête, laid et prétentieux, le
(Gazette Étrangers).des maître pâtissier, Mogolistan, troisième du nom, inven-
teur du gâteau le mogolistan.
3 septembre 1860.
Balandar se dissimule dans le comptoir. Mogolis-
tan tientIII des discours incohérents qui font croire à
était au siècle dernier,De môme qu'il de bon goût, Arthémise qu'il est au courant de sa conduite.
un quatrain dans VAlmanach des Muses, ded'insérer Terreur! et duo
!
bon ion de se faire jouermême, aujourd'hui, il est de
Surpris plus tard aux genoux de la pâtissière, Balan-
j'y vuaux Folies-Marigny. L'acte que ai samedi est
dar avoue qu'il s'est introduit dans l'officine de Mogo-
écrivain d'esprit qui a mis un loup surl'oeuvre d'un
listan pour surprendre la recette du fameux gîiteau, et
duson visage. Bien qu'il soit connu des lecteurs
le pâtissier, pour sauver sa gloire, prend pour garçon
Artiste, dois respecter son incognito et meMonde je<

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