L’audition d’Alexandre Benalla par la commission des lois du Sénat
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Publié le 20 septembre 2018
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Langue Français

Extrait

L’auditioŶ d’AledžaŶdƌe BeŶalla par la commission des lois du Sénat
LEVÉE D’EMBARGO JEUDI ϮϬ SEPTEMBRE ϮϬϭϴÀ 18H
Sondage réalisé avec
pour
et
Recueil
Mét
hodologie
EŶƋuġte ƌĠalisĠe aupƌğs d’uŶ ĠĐhaŶtilloŶ de FƌaŶçais iŶteƌƌogĠs paƌ iŶteƌŶet les19 et 20 septembre 2018.
Echantillon
Echantillon de1 000 Françaisreprésentatif de la population française âgée de 18 ans et plus
La représentativité del’ĠĐhaŶtilloŶest assurée par la méthode des quotas appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, niveau de diplôme et profession del’iŶteƌǀieǁĠaprès stratification par région et catégoried’aggloŵĠƌatioŶ.
PƌĠĐisioŶs suƌ les ŵaƌges d’eƌƌeuƌ
Chaque sondage présente une incertitude statistique quel’oŶappelle marged’eƌƌeuƌ. Cette marged’eƌƌeuƌsignifie que le résultat d’uŶsondage se situe, avec un niveau de confiance de 95%, de part etd’autƌede la valeur observée. La marged’eƌƌeuƌdépend de la taille del’ĠĐhaŶtilloŶainsi que du pourcentage observé. Sile pouƌĐeŶtage oďseƌǀĠ est de … Taille de l’EĐhaŶtilloŶ40% ou 60% 30% ou 70% 50%5% ou 95% 20% ou 80% 10% ou 90% 2003,1 4,2 5,7 6,5 6,9 7,1 3004,6 5,3 5,7 5,82,5 3,5 4004,0 4,6 4,9 5,02,2 3,0 5003,6 4,1 4,4 4,51,9 2,7 6001,8 2,4 3,3 3,7 4,0 4,1 8002,8 3,2 3,5 3,51,5 2,5 9001,4 2,0 2,6 3,0 3,2 3,3 1 0002,5 2,8 3,0 3,11,4 1,8 2 0001,0 1,3 1,8 2,1 2,2 2,2 30000,8 1,1 1,4 1,6 1,8 1,8 Lecture du tableau:Dans un échantillon de 1000 personnes, si le pourcentage observé est de 20% la marged’erreurest égale à 2,5% : le pourcentage réel est donc compris dansl’intervalle[17,5 ; 22,5].
L’œil du soŶdeuƌ : Gaël SliŵaŶ, PƌĠsideŶt d’Ododža
ALEXANDRE BENALLA N’A PAS CONVAINCU
Principaux enseignements du sondage :
1.L’auditioŶ d’AledžaŶdƌeBenallaĐaƌtoŶ d’audieŶĐe : plus de ϰ ŵillioŶs de FƌaŶçais LJ oŶt ĠtĠ diƌeĐteŵeŶt edžposĠs et les tƌoisa ĠtĠ uŶ -Ƌuaƌts de Ŷos ĐoŶĐitoLJeŶs oŶt ĠtĠ iŶfoƌŵĠs, d’uŶe ŵaŶiğƌe ou d’uŶe autƌe, suƌ Đet ĠǀĠŶeŵeŶt
2.Il faut diƌe Ƌue pouƌ les FƌaŶçais, l’affaiƌeBenallaŶ’est pas uŶe peĐĐadille ;Ŷi uŶe affaiƌe d’EtatͿ ŵais ďieŶ uŶe affaiƌe « gƌaǀe »
3.Paƌadodže ? Aloƌs Ƌu’ils soŶt si Ŷoŵďƌeudž à l’aǀoiƌ suiǀie, et à estiŵeƌ Ƌue Đette affaiƌe est « gƌaǀe », les FƌaŶçais soŶt uŶe majorité (58%) à peŶseƌ Ƌue les ŵĠdias paƌleŶt tƌop de « l’affaiƌeBenalla »
4. Les trois-Ƌuaƌts des FƌaŶçais Ƌui oŶt ĠtĠ edžposĠs à soŶ auditioŶ Ŷ’oŶtété ni convaincus par Alexandre Benalla niŶ’oŶtmodifié positivement leur jugement à son égard
5.PouƌƋuoi ? PaƌĐe Ƌu’auĐuŶe des asseƌtioŶs ŵajeuƌes faites paƌ AledžaŶdƌeBenalla;ŶotaŵŵeŶt suƌ soŶ poƌt d’aƌŵe, ses ŵissioŶs, ou ses aǀaŶtages peƌçusͿ Ŷ’a ĐoŶǀaiŶĐu uŶe ŵajoƌitĠ de FƌaŶçais ou de tĠlĠspeĐtateuƌs
6.elle, la gƌaŶde gagŶaŶte : soŶ tƌaǀail est laƌgeŵeŶt saluĠ paƌ les FƌaŶçais Ƌui l’oŶt juLa CoŵŵissioŶ des lois du SĠŶat est, gé utile, intéressant et bien mené par les sénateurs
Gaël SliŵaŶ, PƌĠsideŶt d’Ododža
Synthèse détaillée du sondage (1/5)
ALEXANDRE BENALLA N’A PAS CONVAINCU
L’auditioŶ d’AledžaŶdƌe BeŶalla a ĠtĠ uŶ « ĐaƌtoŶ » d’audieŶĐe : plus de ϰ ŵillioŶs de FƌaŶçais LJ oŶt ĠtĠ diƌeĐteŵeŶt edžposĠset les trois-quarts de Ŷos ĐoŶĐitoLJeŶs oŶt ĠtĠ iŶfoƌŵĠs, d’uŶe ŵaŶiğƌe ou d’uŶe autƌe, suƌ Đet ĠǀĠŶeŵeŶt On le sait déjà à travers les premières mesuresd’audieŶĐe,les chaînes infos télévisées qui ont retransmisl’auditioŶ d’AledžaŶdƌeBenalla ont réalisé un « carton »d’audieŶĐeen réunissant près de 750 000 téléspectateurs à cet horaire pourtant peu télévisuelEt encore,Đ’estsans compter les audiences radio, celles de Public Sénat (non comptabilisées) et surtout tous ceux qui ont suivi cette audition sur leurs applications mobiles et ordinateurs.
Notre sondage révèleƋu’eŶfait plus de 8% de la population Française adulte a suivi en intégralité ou en partie cette auditioncela représente plus de 4 millions de personnes !
A ceux-cis’ajouteŶttous ceuxtrois fois plus nombreuxqui en ont vu des extraits a posteriori : un quart de nos concitoyens.
En tout, un Français sur trois a suivi au moins en partie cette audition.C’estnaturellement à eux que nous avons posé toutes les questions les plus précises de notre sondage sur leurs perceptions/jugements détaillés sur le sujet.
Maisl’iŵpaĐtaudition va encore bien au-delà des personnes qui y ont été personnellement exposées : en effet à ces téléspectateurs ou auditeursde cette directs ou indirects,s’ajouteŶttous ceux qui ont entendu parler de cette audition en voyant, lisant ou entendant des commentaires sur cette audition dans les médias. Cela représente 40% de nos concitoyens.
Au total les trois-quarts des Français ont entendu parler de cette auditionsoit, évidemment bien plus de gens que ceux qui saventƋu’uŶgrand plan santé ouƋu’uŶplan pauvreté a été annoncé par le Président etl’edžĠĐutif…
Synthèse détaillée du sondage (2/5)
Cet eŶgoueŵeŶt s’edžpliƋue : pouƌ les FƌaŶçais, l’affaiƌe BeŶalla Ŷ’est pas uŶe peĐĐadille ;Ŷi pouƌ autaŶt uŶe affaiƌe d’EtatͿmais bien une affaire « grave » Cet engouement pour un exercice a priori aussi arideƋu’uŶeaudition devant la commission des lois du Sénat peut surprendre.
En fait, nos concitoyens ont une bonne raison del’aǀoiƌsuivie : si les Français ne voient pas «l’affaiƌeBenalla » comme une « affaired’Etat» (seulement 26% la qualifient ainsi), ils ne pensent pas non plusƋu’elleserait « une affaire sans grande importance » (seulement 30% la qualifient ainsi).
Pour les Françaisl’AffaiƌeBenalla est une affaire « grave » : une majorité relative de 44% la qualifie ainsi et les Français qui ont vul’auditioŶ(en entier, en partie ou via des extraits) sont tout aussi nombreux (43%) à le penser.
Paƌadodže ? Aloƌs Ƌu’ils soŶt si Ŷoŵďƌeudž à l’aǀoiƌ suiǀie, et à estiŵeƌ Ƌu’il s’agit d’uŶe affaiƌe « gƌaǀe », les FƌaŶçais sont une large majorité ;ϱϴ%Ϳ à estiŵeƌ Ƌue les ŵĠdias paƌleŶt tƌop de « l’affaiƌe BeŶalla »
Commel’iŶdiƋueVéronique Reille-Soult dans son analyse des réseaux sociaux (ci-après), nos concitoyens semblent souvent cultiverl’aƌtdu paradoxe : alors Ƌu’ilssont si nombreux (de 34% à 74% selonl’iŶteŶsitĠde leur intérêt) à avoir plus ou moins suivil’auditioŶde Benalla, et plus nombreux encore à suivre régulièrement ce quel’oŶappelle «l’affaiƌeBenalla », les Français sont une nette majorité (58%) à estimer que les médias parlent trop del’affaiƌeBenalla !
Ceux qui pensent que les médias la traitent « juste comme il faut » ne représententƋu’uŶquart de nos concitoyens et ceux qui jugentƋu’ils Ŷ’eŶparlent pas assez, seulement 15%.
Mieux encore, les Français ayant pourtant suivil’auditioŶde Benalla ne disent pas autre chose : 54% jugent que les médias parlent « trop » de cette affaire contre 21% qui estimentƋu’ils«Ŷ’eŶparlent pas assez » (et 25% « juste comme il faut »).
Synthèse détaillée du sondage (3/5)
Les trois-Ƌuaƌts des FƌaŶçais Ƌui oŶt ĠtĠ edžposĠs à soŶ auditioŶ Ŷ’oŶt Ŷi ĠtĠ ĐoŶǀaiŶĐus paƌ AledžaŶdƌeBenalla ni modifié positivement leur jugement à son égard Alexandre Benalla a été bon, précis, àl’aise.C’estincontestablesur les réseaux sociaux nos partenaires de Dentsu-Consulting ont relevé de nombreux messages allant dans ce sens etĐ’estaussil’aŶalLJsedel’iŵŵeŶsemajorité (la totalité) des journalistes, politiques, et experts divers qui ont réagi après son audition. Mais, a-t-il convaincu ?
Non. Les trois-quarts des Français (75%) qui ont été exposés à son audition estimentƋu’il Ŷ’apas été convaincant.
C’estnettement mieux (+13 points) pour lui, si on se focalise uniquement sur les 4 millions de personnes qui ont directement suivi son audition (en entier ou en partie) : 38%d’eŶtƌeeux jugentƋu’ila été convaincant.
Néanmoins, même auprès de ces personnes qui ont suivi sur la durée ses réponses et ont pu apprécier son talent oratoire, une écrasante majorité de plus de 6 personnes sur 10Ŷ’apas été convaincue.
On retrouve la même tendance sur notre batteried’iteŵsconcernant les jugements détaillés sur son audition : les trois-quarts estiment que celle-ciŶ’apas amélioré leur imaged’AledžaŶdƌeBenallamais, tout de même ceux qui ont suivi eux-mêmes (sans se audition sont nettement plus nombreux (14 points) à le dire - 38% - ; mais ils sont tout de même largement minoritaires.
des personnes exposées contenterd’edžtƌaits)son
PouƌƋuoi ? PaƌĐe Ƌu’auĐuŶe des asseƌtioŶs ŵajeuƌes faites paƌ AledžaŶdƌeBenalla;ŶotaŵŵeŶt suƌ soŶ poƌt d’aƌŵe, ses ŵissioŶs, ou ses aǀaŶtages peƌçusͿ Ŷ’aconvaincu une majorité de Français ou de téléspectateurs
Pourquoi cette auditionŶ’apas convaincu ni fondamentalement modifiél’iŵage d’AledžaŶdƌeBenalla, malgré le talent oratoire certain de celui-ci ? Tout simplement parce queĐ’estsur le fondƋu’ila pêché, les Français ne croyant à aucune de ses principales « punchline » ou assertion surl’affaiƌe.
Synthèse détaillée du sondage (4/5)
IlsŶ’oŶtsurtout pas cru à trois de ses promesses formelles :
79% des Français exposés àl’auditioŶnel’oŶtpas cruloƌsƋu’ila ditŶ’aǀoiƌjamais eu aucun avantage autre que sa rémunération 81% nel’oŶtpas cruloƌsƋu’ila affirmé « jeŶ’aijamais été ni policier ni garde du corpsd’EŵŵaŶuelMacron » Et surtout 85%Ŷ’oŶtpas été convaincusloƌsƋu’ila affirmé, à propos de son portd’aƌŵe, Ƌu’il«Ŷ’Ġtaitpas lié à la sécurité du Président mais à ma sécurité personnelle ».
Mais ceŶ’estpas tout, nos concitoyensŶ’oŶt –dans une moindre mesurepas non plus été convaincus sur les sentiments que cette affaire lui avaient généré :
57%Ŷ’oŶtpas été convaincusloƌsƋu’ila dit «j’aivécu ma sanction comme une humiliation » ; 66% quand il a dit «j’aiété bien élevé et je regrette mes propos àl’eŶĐoŶtƌedu Président de la Commission » et enfin 70%loƌsƋu’ila dit « jeŶ’Ġtaispas une petite frappe ».
Cette incapacité à convaincre sur le fond se retrouve exactement dans les mêmes proportions auprès du noyau dur des personnes ayant directement suivi l’auditioŶen entier ou en partie (sans se contenterd’edžtƌaitsde celle-ci).
La CoŵŵissioŶ des lois du SĠŶat est, elle, la gƌaŶde gagŶaŶte : soŶ tƌaǀail est laƌgeŵeŶt saluĠ paƌ les FƌaŶçais Ƌui l’oŶt jugé utile, intéressant et bien mené par les sénateurs Si Alexandre BenallaŶ’apas convaincu, la Commission des lois du Sénat qui a organisé son audition est, elle, la grande gagnante del’opĠƌatioŶ.
Son travail est largement salué : les personnes ayant suivil’auditioŶsont 54% à jugerƋu’ellea été utile, 56% àl’aǀoiƌtrouvée intéressante et 69% à juger Ƌu’ellea été bien menée par les sénateurs !
Leur triomphe est même complet car les critiques souvent entendues en amont del’auditioŶsont largement rejetées par les Français :
En effet on aurait pu imaginer que ces travaux risquaient «d’iŶteƌfĠƌeƌavecl’eŶƋuġteen cours »56% des Français ayant suivil’auditioŶjugent que çaŶ’a pas été le cas
Synthèse détaillée du sondage (5/5)
On aurait aussi pu penser que cette commission (sans LaRem quiŶ’apas voulu y participer) serait « partisane » et aurait comme objectif de « nuire à Emmanuel Macron » - près des deux-tiers des Français qui ont suivil’auditioŶrejettent massivement ces critiques (respectivement 65% et 62%)Une courte majorité des Français qui a suivi cette audition va même plus loin en estimant que les sénateurs se sont montrés « équitables » (51%) et sans aucun « parti pris » (51%). Ces jugements sont le plus souvent encore plus favorables auprès des personnes qui ont été les plus exposées à cette audition : ainsi les 4 millions de Français quil’oŶtsuivi intégralement ou en bonne partie (sans se contenterd’edžtƌaits)sont 69% à juger cette audition « intéressante » et 55% à estimer Ƌu’ellea été « utile ».
Réseaux sociaux L’œil de VĠƌoŶiƋue Reille Soult, CEO de DeŶtsu CoŶsultiŶg
UŶe auditioŶ Ƌui a ƌeteŶu l’atteŶtioŶ ŵais Ƌui Ŷ’a pas ƌĠelleŵeŶt ĐoŶǀaiŶĐu !
L’auditioŶ d’AledžaŶdƌeBenalla a été largement suivie et surtout très commentée sur les réseaux sociaux. Des commentaires avant, mais surtout pendant et après cette audition. 423 800 messages sont enregistrés sur la semaine avec un pic ce 19 septembre à 148 000.
Si Alexandre Benalla a agréablement surpris les internautes par la qualité de son expression et sa préparation perçue comme « professionnelle » et « sérieuse »,l’hoŵŵe Ŷ’apas convaincu sur le fond. Le terme utilisé le plus fréquemment étantCONFUS. Le point qui fait presquel’uŶaŶiŵitéest que la placed’AledžaŶdreBenallaŶ’estpas àl’ElLJsée.Cette audition a donné de la matière aux opposants et a déstabilisé bon nombred’iŶteƌŶautes.
L’iŵpressioŶglobale est donc plutôt négative. Surl’ElLJsĠeet la façon de gérer ce dossier :«Pourquoil'Elysée a cherché à protéger ce collaborateur ? », «Pourquoiavoir cherché à faire croire que c'était un "bagagiste"? » « Que cache cette affaire ? ». Les proposd’AledžaŶdƌeBenalla les plus repris et commentés sont : «ni policier ni garde du corps du président »et« sa demande de port d'armes effectuée pour des motifs de défense et de sécurité personnels ».
Un paradoxe ressort «on en fait tropmais en même tempsj’enparle! ».
Evidemment ce sujet a aussi faitl’oďjetde nombreux messages humoristique qui allaient de #BenalliseUnTitre (le jeu de la journée du 19 septembre sur twitter) aux messages conseillant à Alexandre Benalla de traverser la rue pour trouver du travail !
Retrouvez les éléments détaillés del’analysesur les réseaux sociaux à la fin de ce rapport
Véronique Reille-Soult, CEO de Dentsu Consulting
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