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Contrat de Ville Étude quartiers 3ème partie LES LOGEMENTS 59 LES CATEGORIES DE LOGEMENTS Le parc de logements à Quimper a progressé de 14% entre 1990 et 1999 pour atteindre près de 32 000 logements. Ceux-ci sont à 90% des résidences principales. Cette propor-tion de résidences principales ne cesse d’augmenter au détriment des résidences se-condaires et des logements vacants, déjà peu nombreux. Sur les 4 300 résidences princi-pales supplémentaires constatées, le quart ont été construites au Braden Saint Laurent et à Penvillerc’h. O Le recensement de 1999 a permis de comptabiliser près de 4 000 logements supplémentai-res. Néanmoins, cette progression n’est imputable qu’aux résidences principales puisque le nom-bre de logements vacants (2 166) a diminué de 9% et celui des résidences secondaires (957) de 13%. O Le rythme de construction des résidences principales est supérieur au taux de croissance de la population. Sur les 28 800 résidences principales, 4 300 ont été construites dans les années 90. Ceci représente une augmentation de 17.5%, contre 6.5% pour la population. L’éclatement des ménages ainsi que le nombre important de petits logements construits expliquent ce phéno-mène. O Le rythme de construction des résidences principales est supérieur au taux de croissance Répartition des logements quimpérois en 1999 de la population. Sur les 28 800 résidences principales, 3 740 ont été construites dans les années 90 et plus de 550 sont passés du ...

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Contrat de Ville Étude quartiers
3ème partie
LES LOGEMENTS
59 LES CATEGORIES DE LOGEMENTSLe parc de logements à Quimper a progressé de 14% entre 1990 et 1999 pour atteindre près de 32 000 logements. Ceuxci sont à 90% des résidences principales. Cette propor tion de résidences principales ne cesse d’augmenter au détriment des résidences se condaires et des logements vacants, déjà peu nombreux. Sur les 4 300 résidences princi pales supplémentaires constatées, le quart ont été construites au Braden Saint Laurent et à Penvillerc’h.
OLe recensement de 1999 a permis de comptabiliser près de4 000 logements supplémentai resm. Néanmoins, cette progression n’est imputable qu’aux résidences principales puisque le no bre de logements vacants (2 166) a diminué de 9% et celui des résidences secondaires (957) de 13%.
OLe rythme de construction des résidences principales est supérieur au taux de croissance de la population. Sur les28 800 résidences principales, 4 300 ont été construites dans les années 90. Ceci représente une augmentation de 17.5%, contre 6.5% pour la population. L’éclatement des ménages ainsi que le nombre important de petits logements construits expliquent ce phéno mène.
OLe rythme de construction des résidences principales est supérieur au taux de croissance de la population. Sur les 28 800 résidences principales, 3 740 ont été construites dans les années 90 et plus de 550 sont passés du statut de logement vacant ou secondaire à logement principal. Le nombre de résidences principales a augmenté de 17.5%, contre 6.5% pour la po pulation. L’éclatement des ménages ainsi que le nombre important de petits logements cons truits expliquent cet écart.
OLecentre ville, moins propice à un dévelop pement de l’urbanisation si ce n’est par le biais de réhabilitations, connaît cependant une crois sance modérée du nombre de ses logements. Il s’agit essentiellement du secteur de la Provi dence et du quartier de la gare (+400 résiden ces principales).
Kerfeunteun Penhars Centre ville Er ue Armel Quim er
Logements
6 593 6 584 6 095 8 737 28 009
1990 Résidences Résidences sdaires Lgts principales occas. 5 990 172 5 993 148 4 723 504 7 835 276 24 541 1 100
Répartition des logements quimpérois en1999
Logements vacants 7%
Résidences sdaires Lgts occas. 3%
Logements vacants
431 443 868 626 2 368
Logements
8 037 7 231 6 614 10 078 31 960
1999 Résidences Résidences sdaires Lgts principales occas. 7 340 227 6 699 141 5 431 339 9 367 250 28 837 957
Résidences principales 90%
Logements vacants
4 3 8 4 2 1
Avant 1915 de 1915 à 1948 de 1949 à 1967 de 1968 à 1974 de 1975 à 1981 de 1982 à 1989 1990 ou a
Répartition des logements quimperois selon leur époque d'achèvement
606 547
 1 583  3 202  7 962  4 008  4 134  4 208  3 740  28 837
100%
90%
Répartition des résidences principales selon l'année de construction
OL’ancienneté de l’habitatpermet d’approcher les grandes étapes du développement urbain quimpérois. Ainsi, Quimper a connu un vaste chantier de construction et de reconstruction de ses logements entre 1949 et 1967, et ceci dans l’ensemble des quartiers. En effet, 28% à 30% des résidences principales de ces quartiers datent de cette époque.
3202 1583
Quimper
830 134 Ergue Armel
447 92 Penhars
1154
Centre ville
de 1982 à 1989
1990 ou après
4134
4008
de 1975 à 1981 de 1968 à 1974 de 1949 à 1967 de 1915 à 1948 Avant 1915
4208
2223
1518
993
2358
1152
1531
7962
2103
1014
1970
1052
997
1610
1294
40%
30%
60%
50%
80%
70%
1331
5% 11% 28% 14% 14% 15% 13% 100%
20%
773 203 Kerfeunteun
10%
492 386 325 391
OKerfeunteunetErgue Armelsont des quar tiers plus récents. Le tiers des résidences prin cipales de Kerfeunteun date d’après 1980. Quant à Ergue Armel, ce quartier s’est urbanisé essentiellement dans les années 80. Penvil lerc ’h et Braden Saint Laurent étant les plus ré cents.
3740
LES CATEGORIES DE LOGEMENTS
0%
1311
OPour le reste, il existe un décalage important entre le centre ville, Kerfeunteun et Ergue Ar mel. En effet, 42% des résidences principales ducentre ville datent d’avant 1949 et depuis 1968, le rythme de construction se tasse.
60
OLes trois IRIS ayant connu les plus fortes urbanisations entre 1990 et 1999 se répartissent e n tre Kerfeunteun, Ergue Armel et Penhars :  Ergue Armel: le nombre de résidences principales du Braden Saint Laurent a augmenté de 542 logements , soit +138%, principalement de petits logements accueillant plutôt une population estudiantine.  Kerfeunteun: le quartier de Penvillerc’h s’est étoffé de 554 logements, soit +56%. Constitué à grande majorité de pavillons individuels, ces nouvelles résidences principales accueillent pri n cipalement des actifs de 35 à 45 ans.  Penhars: le Corniguel est une zone en pleine expansion. Le nombre de logements a pro gressé de 30%, soit 255 résidences, plutôt à destination de familles d’actifs âgés entre 35 et 45 ans.
LES CATEGORIES DE LOGEMENTS
Répartition des résidences principales selon leur époque de construction
Exemple de lecture: plus de 50% des résidences principales du Braden Saint Laurent ont été construites après 1990, soit 479 logements.
61
62 LA PLACE DES LOGEMENTS COLLECTIFS ET INDIVIDUELSLe parc des résidences principales quimpéroises se répartit équitablement entre le lo gement individuel et le logement situé en immeuble collectif. Cependant le rythme de construction des collectifs est supérieur à celui des logements individuels.
Les résidences principales par catégorie en 1999 Nombre de Répartition des résidences OLamoitiédes 28 800 résidences principales résid. princ. individuelles collectives autres que compte Quimper sont deslogements indi Kerfeunteun 7 340 64% 35% 2% viduels. Cette proportion demeure très variable Penhars 6 699 47% 51% 2% selon les quartiers. Il existe néanmoins un gra Centre ville 5 431 19% 77% 4% dient progressif du centre ville à la périphérie. Ergue Armel 9 367 60% 38% 3% Plus on s’éloigne du centre ville de Quimper Quimper 28 837 50% 49% 2% moins la proportion de logements collectifs est 2 % 2 % 2 % 3 % 100%4 % importante. Quelques exceptions demeurent comme Kermoysan. 92% des logements de ce 90% 3 5 % 3 8 % quartiers sont en immeuble collectif.80% 4 9 % 5 1 % 70% 60%7 7 % OLa proportion de logements individuels tend 50% à décroître au profit des logements situés en 40% 6 4 % immeuble collectif. Le rythme de construction6 0 % 30% 5 0 % 4 7 % des logements collectifs s’est en effet accéléré 20% dans les années 90. 6 résidences principales 1 9 % 10% sur 10 achevées entre 1990 et 1999 sont dites 0% collectives.K e r f e u n t e u n P e n h a r s C e n t r e v i l l e E r g u e A r m e l Q u i m p e r individuelles collectives autres
OPeu de quartiers ont connu une répartition égale de leurs nouveaux logements entre le collectif et l‘individuel. Le plus souvent, une majorité de logements collectifs a été bâtie. Les zones rési dentielles déjà exclusivement composées de pavillons sont les seuls quartiers à compter plus de construction de logements individuels que de collectifs parmi leurs nouvelles résidences.
Part des logements collectifs dans les résidences principales en 1999
Part des logements collectifs dans les résidences principales bâties entre 1990 et 1999
% des résidences principales Moins de 15% de 15 à 25 % de 25 à 50% de 50 à 75% Plus de 75%
63 LES LOGEMENTS HLMEn 1999, près de 9 200 quimpérois vivent dans un des 4 251 logements appartenant à un organisme HLM, soit 14% de la population totale. Le nombre de ces logements so ciaux s’est considérablement accru entre les deux recensements et ce développement s‘est accompagné d‘un relatif desserrement géographique du parc HLM.
OAu recensement de 1999, 4 251 logements quimpérois appartenaient à un organismeHLM, soit15% des résidences principales.
OLe parc HLM quimpérois s’est considérable ment étoffé dans les années 90. Il s’est en effet enrichi de plus de 1 000 logements pendant cette période, ce qui représente une augmenta tion de 31%.
Les logements HLM à Quimper 1990 % résid. 1999 % résid. HLM rinci ales HLM rinci ales Kerfeunteun 246 4% 694 9% Penhars 1 910 32% 1 979 30% Centre ville 392 8% 636 12% Er ue Armel 686 9% 942 10% Quimper 3 234 13% 4 251 15%
O3 logements sur 10 achevés entre 1990 et 1999 sont des logements appartenant à un or Part des logements HLM parmi les résidences principales ganisme HLM. Ceuxci ont été inégalement ré construites depuis 1990 4 5 % partis. Ainsi, sur les 1 017 nouveaux logements 244 sociaux, 448 (44%) ont été construits à Ker 4 0 % feunteun, plus particulièrement à Prat ar Rouz 448 69 3 5 % et à Penvillerc’h, 256 (25%) à Ergue Armel, 2441 017 3 0 % (24%) au centre ville et 69 (7%) à Penhars.2 5 % 4 1 %256 OCette répartition des logements sociaux est à 2 0 % 3 3 % 3 2 % mettre en parallèle avec l’ensemble du parc de1 5 % 2 9 % logements des quartiers. Si le nombre de loge 1 0 % 1 9 % ments sociaux récemment bâtis au centre ville 5 % reste modeste, ils représentent tout de même 0 % 41% des nouveaux logements de ce quartier. Kerfeunteun Penhars Centre ville Ergue Armel Quimper Ces mêmes logements HLM représentent le Ex : 32% des résidences princ. construites à Kerfeunteun depuis 1990 sont des logements tiers des nouvelles résidences de Penhars et HLM, soit 448 logements HLM de Kerfeunteun. Enfin, 19% des logements achevés entre 1990 et 1999 à Ergue Armel sont des résidences HLM.
1990
Part des logements HLM parmi les résidences principales
1999
LES LOGEMENTS HLM
64
OLesdisparités géographiques, quant à leur répartition et leur importance dans le parc global de logements, sont conséquentes. Penhars se démarque avec une plus grande proportion de lo gements sociaux, 30%. Ceuxci se concentrent essentiellement à Kermoysan. Suit Kerfeunteun avec 9% de ses logements.
OSur les 4 251 logements sociaux recensés à Quimper, 40% (1 700) sont localisés à Ker moysan. Un desserrement de ces logements est tout de même à noter. Alors que leur nombre a progressé pendant la période intercensitaire sur l’ensemble de Quimper, il a plutôt stagné à Ker moysan. En 1990, Kermoysan concentrait près de 60% des logements sociaux quimpérois.
OLe revenu dont dispose le ménage constitue l’un des critères d’attribution d’un logement so cial. La population résidant ces logements est ainsi à nette dominante employée et ouvrière. Ces deux catégories socioprofessionnelles sont sur représentées dans la population vivant en loge ment HLM.
35%
30%
25%
20%
15%
10%
5%
0%
Comparaison de la répartion des catégories socioprofessionnelles en 1999 de la population résidant dans un logement HLM et de celle ne résidant pas dans un logement social
0% 0%
Agriculteurs expl.
4% 3%
Artisans commerçants
2%
11%
Cadres
18%
12%
Professions intermédiaires
25%
13%
Employés
31%
13%
Ouvriers
30%
16%
Retraités
HLM Hors HLM 10%10%
Sans act prof
 250  554  75  151  160  155  5  1 350
Résidences principales 1999  1 424  1 186  1 341  1 480  5 431
Kervir/ Rozolen
Cosquer/ Kermabeuzen Coat Ty Dreux/ Moulin Vert Nord Kerfeunteun/ Penhars Total Kerfeunteun
% logements HLM dans nouveaux logements 15% 24% 39% 33% 29%
 1 344  1 535  974  681  959  1 024  823  7 340
Total centre ville
 1 107  679  848  882  1 313  768  1 102  6 699
 1 220  827  818  617  952  934  824  916  718  1 238  303  9 367
 171  1  149  2  66  141  359  28  18  7    942
4% 9% 14% 19% 12%
% logements HLM 1999
Résidences principales bâties après 1990
Paludec/ Kervilien/ Kerlagatu
Sud Ergue Armel Total Er ue Armel
25%
 67  584  567  539  37  35  150  1 979
41% 2% 0% 0% 0% 19% 73% 19% 20% 0% 0% 16%
17% 35% 17% 29% 44% 42% 0% 32%
20% 0% 0% 0% 9% 39% 56% 28%
 4 251
15%
 28 837
Penhars/ Kergestin Prat Ar Rouz/ Terre Noire Total Penhars
Quimper
6% 255 86%  3 67% 2 61% 23 3% 179 5% 36 14% 214 30% 706
 1 082
LES LOGEMENTS HLM
Quimper Centre
Providence/ Saint Mathieu
Gare/ Coteau Du Frugy
 4 296
La Tourelle/ Kergoat Al Lez L Eau Blanche/ Kerlaeron Kervillou/ Quistinidal Kerambellec/ Ty Bos/ Bourdonnel Braden/ Saint Laurent
Braden/ Croas Ar Plouz Frugy/ Pen Ar Stang Locmaria/ Creac H Cadic Coz Maner/ Kernoter
Rosmadec/ Kergos
Guerlac H/ Pen Ar Run Penvillerc H/ Metairie Neuve Kermoguer/ Kerroue La Foret/ Cuzon
Place D Ecosse/ Rue Du Limousin Kermoisan Rue De Vendee/ Bd De Bretagne Cap Horn/ Penanguer/ Merdy
Logements HLM bâtis après 1990
 123  219  201  165  708
4% 22% 1% 10% 9% 13% 0% 9%
 54  344  14  68  83  131    694
Logements HLM 1999
 60  104  184  288  636
14% 0% 18% 0% 7% 15% 44% 3% 3% 1% 0% 10%
 19  52  79  54  204
65
Détail du nombre de logements appartenant à un organisme HLM et son évolution par IRIS en 1999
 200  61  46  60  224  523  44  129  69  128  48  1 532
 42  193  13  44  70  65    427
 51        17  14  119  201
 81  1        97  32  25  14      250
66 LES LOGEMENTS VACANTSEn mars 1999, 2 166 logements sont disponibles à l’achat ou à la location. Cette va cance touche inégalement les quartiers. L’état, la situation et la taille du logement sont autant de facteurs influençant le taux de vacance. Le centre ville se démarque nettement : le quart des logements vacants quimpérois se situent dans ce quartier et tous les types de logements de ce secteur de la ville sont touchés par un taux de disponibilité impor tant, anciens ou récents, petits ou vastes.
O7% des logementsquimpérois, soit 2 166, Les lo ements vacants en 1990 et 1999 sont déclarés vacants en mars 1999. C’est 200 1990 1999 de moins qu’en 1990.Nombre Tx vacanc Nombre Tx vacanc OLeslogements collectifssont plus sujets auKerfeunteun 431 7% 470 6% turn over et à la vacance. Ainsi, 68% des loge7% 391 5%Penhars 443 ments inoccupés sont des logements collectifs. Centre ville 868 14% 844 13% D’une manière générale, quelque soit le quar Er ue Armel 626 7% 461 5% tier, les pavillons sont deux fois moins touchés Quim er 2 368 8% 2 166 7% par la vacance que les logements collectifs : 4% des logements individuels, contre 9% des collectifs
Répartition des logements vacants entre les logements individuels et collectifs 100% 90% 80% 55% 57% 70% 64% 68% 60% 84% collectifs 50% individuels 40% 30% 45% 43% 20% 36% 32% 10% 16% 0% Kerfeunteun Penhars Centre ville Ergue Armel Quimper
OLecentre villeest le quartier le plus concer né par la vacance, quelque soit le type de loge ment. En effet, 13% des logements de ce quar tier sont inoccupés, alors que ce taux atteint 5 ou 6 % dans les autres quartiers. Le centre ville dénombre ainsi 844 logements vacants, ce qui représente le quart des logements vacants quimpérois.
OIl existe une nette corrélation entre lapé riode de constructiondes logements et la va cance. 15% des logements achevés avant 1915 et 11% de ceux construits entre 1915 et 1948 sont disponibles. Un taux récurrent, 5%, carac térise la vacance des logements construits après la Seconde Guerre Mondiale.
les lo 14%
12%
10%
8%
6%
4%
2%
0%
4%
Part des logements vacants parmi
9%
Kerfeunteun
4%
7%
Penhars
13%
10%
Centre ville
Part des logements vacants par IRIS en 1999
individuels collectifs
3%
6%
Ergue Armel
4%
9%
Quimper
12%
13%
12%
Exemple de lecture : 12% des logements composés d'une pièce sont vacants
9%
13%
6%
11%
1 pièce 2 pièces 3 pièces 4 pièces 5 pièces 6 pièces ou plus
13%
Taux de vacance selon l'époque d'achèvement à Quimper 15%
Taux de vacance selon le nombre de pièces en Centre ville 16%
de 1982 à 1989
1990 ou après
LES LOGEMENTS VACANTS
Taux de vacance selon le nombre de pièces àQuimper 18% 16% 14% 12% 12% 10% 10% 8% 8% 6% 6% 4% 4% 4% 2% 0% 1 pièce 2 pièces 3 pièces 4 pièces 5 pièces 6 pièces ou plus
OCe lien entre taux de vacance et période de construction se vérifie dans tous les quartiers quimpérois, y compris dans le centre ville parti culièrement marqué par ce phénomène. 14% des logements de ce quartier sont déclarés inoccupés, soit 844 appartements ou maisons. Cette vacance atteint même 17% pour les loge ments achevés avant 1915. La vétusté ne peut expliquer entièrement ce taux important. En ef fet, la vacance est importante quelque soit l’époque d’achèvement des logements : 10% des résidences construites dans les années 80 et 8% des celles achevées dans les années 90 sont inoccupées.
1990 ou après
OUn autre facteur pouvant affecter le taux de vacance est lenombre de pièces. Malgré une part importante de personnes seules (42% des ménages), ce sont les petits logements qui sont le plus touchés par la vacance.
18% 16% 14% 12% 10% 8% 6% 4% 2% 0%
67
OCette décroissance du taux de disponibilité des logements en fonction du nombre de piè ces est moins net dans les quartiers centraux de la ville. Alors que partout ailleurs les loge ments d’une ou deux pièces présentent un taux de vacance bien supérieur au reste du parc de logements, seuls les appartements d’une pièce unique du centre ville se détachent. La vacance de ceux comptant deux à cinq pièces oscillent entre 12 et 13%. Le centre ville est en effet un quartier où le nombre de ménages constitués au plus de deux personnes est particulièrement élevé (83%, dont 62% de personnes seules). La demande est donc plus « forte », malgré une vacance importante, pour les 2 pièces.
Taux de vacance selon l'époque d'achèvement 17% e ncentre ville
Exemple de lecture : 15% des logements achevés avant 1915 sont vacants
8%
18% 16% 14% 12% 10% 8% 6% 4% 2% 0%
OLe taux d’occupation des logements croît avec le nombre de pièces. Ainsi, 12% des loge ments ne comptant qu’une seule pièce sont va cants, 8% des trois pièces et 4% des logements d’au moins six pièces.
de 1949 à 1967
de 1915 à 1948
13%
Avant 1915
11%
6%
5%
5%
de 1968 à 1974
de 1975 à 1981
de 1982 à 1989
5%
10%
10%
18% 16% 14% 12% 10% 8% 6% 4% 2% 0%
Avant 1915
de 1949 à 1967
de 1915 à 1948
de 1968 à 1974
de 1975 à 1981
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